Si on souhaite conserver tous les acquis d'une société occidentale avancée comme la nôtre, il importe qu'une immigration inappropriée et mal balisée ne vienne pas tout démolir et dérégler ce que nous avons mis 500 ans à réaliser et perfectionner. C'est une question de quantité, mais aussi de la nature même des candidats.
Plusieurs types de sociétés, de cultures, d'ethnies, sont potentiellement nuisibles à la nôtre. Par leur effet pernicieux et décivilisateur, ils s'avèrent être des facteurs de recul, de rétrogradation, d'appauvrissement culturel, d'ensauvagement. Il est important de bien les identifier pour les garder à distance et s'en protéger.
Ci-haut: Oslo, la capitale de la Suède
La Suède est le plus récent pays à avoir eu l'honnêteté de reconnaître l'échec de sa politique d'immigration, en ayant commis l'erreur impardonnable d'accepter chez eux des n'importe qui de n'importe où, c'est-à-dire les extra-Européens des pays les plus sous-civilisés qui soient. La plupart des pays occidentaux commencent à l'admettre également. Il était temps, car cet embourbement, cet enlisement, étaient tellement prévisibles. Les plus lucides d'entre nous les avaient pourtant prévenus.
Autre bonne nouvelle qui va dans le bon sens: Conseil européen : les Vingt-Sept pays membres veulent durcir la politique migratoire européenne
Actuellement, il existe une certaine confusion sur la question d'accueillir plus ou moins d'immigrants.
D'un côté, ceux qui en veulent toujours plus indifféremment ne voient en tous que de bons immigrants utiles, mais restent volontairement aveugles aux immigrants incompatibles et indésirables, comme s'il leur semblait trop compliqué de faire le tri, de bien sélectionner selon des critères établis. C'est comme s'ils disaient, c'est trop difficile, alors on accepte n'importe qui. On ne regarde pas à la bride.
En revanche, ceux qui font preuve de lucidité et de prévoyance voient le réel danger de laisser entrer au pays trop d'immigrants inadaptables et inintégrables qui amputent notre société de ses forces vives et de son élan. C'est pourquoi il apparaît si important d'établir des critères de sélection resserrés qui protégeront nos acquis.
Au Québec, on reçoit trop d'immigrants, et trop de la mauvaise sorte.
Mais comment départager les bons immigrants à privilégier des indésirables, des nuisibles à écarter?
Voici quelques pistes de réflexion, sous forme de guide détaillé en 25 points à surveiller et appliquer lors de l'évaluation préalable des candidats, avec indications et contre-indications.
1- à écarter: ceux qui s'en viennent avec l'intention bien arrêtée de ne pas apprendre le français (comme le PDG d'Air Canada)
2- à écarter: ceux qui parlent une langue trop éloignée du français, réduisant pratiquement à néant les chances d'apprentissage de notre langue
3- à écarter: ceux qui s'en viennent rejoindre une communauté largement établie ayant déjà opté pour l'anglais plutôt que le français (exemple: Chinois, Hindous, Italiens, Grecs, Jamaïcains)
4- à écarter: ceux qui parlent une langue étrangère pouvant facilement prendre de l'expansion ici (arabe, espagnol) et qui gruge notre espace vital (à Los Angeles, 50% des habitants sont maintenant hispanophones, annulant toute pression pour apprendre l'anglais et communiquer dans cette langue), par opposition aux langues qui s'effacent d'elles-mêmes à la longue (polonais, lithuanien, tibétain, un quelconque dialecte régional africain)
5- à écarter: les fondamentalistes obtus qui pratiquent une religion étrangère de manière intégriste et qui la placent au-dessus des lois humaines
(en passant, saviez-vous que les Hindous sikhs ont l'obligation de porter un poignard pour s'en servir contre ceux qui critiquent leur religion? Qui veut vraiment avoir ce genre de fanatiques fêlés comme voisins de palier?)
6- à écarter: la venue de parents vieux et perclus de maladies, trop vieux pour apprendre la langue et s'intégrer, et grevant notre système de santé (dans le cadre des programmes ultra-coûteux de regroupement familial)
7- à écarter: les ethnies enclines à pratiquer le communautarisme, ce type de vie en marge, d'isolationnisme volontaire, qui n'apporte rien à la société d'accueil mais qui la divise en compartiments mutuellement exclusifs
8- à écarter: les faux réfugiés malhonnêtes qui passent frauduleusement par le chemin Roxham pour éviter d'emprunter les voies officielles de l'immigration, sachant bien qu'ils ne remplissent pas les conditions nécessaires pour être acceptés
9- à écarter: les ressortissants des pays où les taux de criminalité et de violence sont beaucoup plus élevés qu'ici. Ce n'est pas pour rien qu'ils le sont; c'est à cause de la sorte de monde qui vit dedans.
10- à écarter: les catégories d'immigrés (première ou seconde génération) qui déjà ont le plus haut taux de criminalité au Québec et qui le font augmenter
11- à écarter: les communautés qui affichent un taux de fécondité élevé (souvent exigé par leur religion) mais qui élèvent leurs enfants en non-Québécois
12- à écarter: ceux qui croient en des systèmes politiques incompatibles avec le nôtre: théocratie, communisme, socialisme, régime totalitaire, dictature, anarchie, et qui militent en ce sens
13- à écarter: ceux qui ne croient pas en nos valeurs sociales de base: démocratie, laïcité, égalité homme/femme, liberté de pensée, liberté d'expression, liberté de critiquer et débattre tous les sujets incluant la religion, libre circulation des idées dans les établissements d'enseignement
14- à écarter: ceux qui préconisent un système de justice parallèle (comme la charia)
15- à écarter : ceux qui pratiquent la cruauté animale sous forme d’abattage halal ou kasher, un supplice sanguinaire inacceptable
16- à écarter: ceux qui contestent judiciairement et systématiquement les lois voulues démocratiquement par la majorité de la population
17- à écarter: ceux qui ont l'intention de manifester sur notre place publique à propos des conflits dans leur pays mais qui ne nous concernent pas et dont on ne veut rien savoir
18- à écarter: ceux qui cherchent à devenir des Canadiens plutôt que des Québécois
19- à écarter: ceux qui n'ont pas l'intention d'adopter notre culture et de dépenser de l'argent pour la faire vivre et rayonner
20- à écarter: ceux qui prônent le multiculturalisme, une façon détournée de rejeter notre culture et d'avoir à l'adopter
21- à écarter: les activistes anti-Blancs comme les bandes de wokes
22- à rechercher: ceux qui nous ressemblent pratiquement en tout et partout, c'est-à-dire le profil général que présentent la plupart des Occidentaux (puisque ce sont ceux qui ont les meilleures chances d'intégration complète et rapide)
23- à rechercher: ceux qui respectent le portrait initial et la qualité du caractère homogène de la démographie historique du peuple fondateur découlant de nos origines communes
24- à rechercher: ceux qui sont de tradition chrétienne, incluant les non-pratiquants, pour la similitude de la vision du bien et du mal, de la moralité, de la charité humaine et du type de rapports humains à privilégier
25- à rechercher: ceux qui sont favorables au projet d'un pays du Québec libre et indépendant
Il est grand temps que le gouvernement ajuste ses critères de sélection des immigrants pour tenir compte de tous ces facteurs nécessaires pour assurer notre continuation en tant que peuple.
C’est là la seule façon de préserver cette précieuse identité collective qui est la nôtre, et qui fait notre fierté à juste titre. Notre société distincte de toutes les autres doit le demeurer.
Le Québec tel que nous l'avons bâti et voulu est un endroit beaucoup trop remarquable et beaucoup trop bien pour qu'on le laisse tomber entre les mains de hordes de remplaceurs indifférents quant à notre avenir en tant que société soudée et qui n'ont que leurs propres intérêts égoïstes en vue.
Ne laissons pas une immigration massive et malvenue nous détériorer, nous dessoucher, nous effacer, nous rayer de la carte.
Restons pleinement nous-mêmes et rien que nous-mêmes, restons québécois.
Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet
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1 commentaire
Réjean Labrie Répondre
29 août 2023Un exemple d'immigration indésirable et nuisible: le multiethnique ontarien Kenneth Law (nom occidentalisé pour passer inaperçu) qui semble être asiatique, possède un commerce de vente de poison pour le suicide. Il en vend par centaines à travers le monde. Il affirme être le bras droit de Dieu. Il déclare qu'il faut bien gagner sa vie, surtout en temps de pandémie où on s'habitue à voir tout le monde tomber comme des mouches. Un de plus ou de moins, qu'est-ce que ça peut bien changer au fond?
Les mentalités non-occidentales n'ont pas la même conception que nous du bien et du mal. Leur sens moral laisse à désirer. Cela nuit au bon fonctionnement de nos sociétés.
Photo ci-dessus: Kenneth Law, en train de vendre son poison (coup monté pour le piéger)
Kenneth Law, tueur par suicide 1
Kenneth Law, tueur par suicide 2
Photo ci-dessus: le monstre assassin et ses jeunes victimes
Kenneth Law, tueur par suicide 3
Ci-dessus: le monstre, tenant une bonne rasade de son meilleur vendeur
Kenneth Law, tueur par suicide 4
Kenneth Law, tueur par suicide 5
Kenneth Law, tueur par suicide 6
En vendra-t-il à vos enfants, à vos proches?