Il se produit quelque chose de fort déstabilisant dans le monde de la transhumance effrénée, ce déplacement migratoire à grande échelle des êtres humains sur la planète: on observe une tendance lourde propre aux sociétés du tiers-monde surpeuplé qui consiste à chercher par tous les moyens à investir les pays occidentaux, avec lesquels ils n'ont pourtant peu ou pas de similitudes, de ressemblance sur quelque plan que ce soit. Attention droit devant: choc des cultures fracassant en vue, avec un risque de déraillement plus que probable.

En effet, que ce soit par des moyens reconnus comme les demandes d'immigration conventionnelles, ou par des moyens détournés à leur profit comme les demandes de statut de réfugiés, l'immigration clandestine, les faux passeports, les tentatives spectaculaires du genre boat people, ou la facilité à circuler dans l'espace européen, l'occident tout entier se trouve pris d'assaut de part et d'autres par des hordes et des hordes de pauvres hères qui se débattent comme autant de diables dans l'eau bénite pour s'en venir ici, cet eldorado où on leur garantit des tartines beurrées d'or et la prise en charge de tous leurs besoins vitaux ad vitam aeternam.

Au lieu de contenir par des mesures draconiennes les pays surpeupleurs, on se trouve étonnamment à les récompenser en leur permettant de s'en venir surpeupler les pays occidentaux, et de poursuivre le processus désastreux de saturation humaine de la planète et sa conséquence environnementale néfaste, la diminution des ressources naturelles et alimentaires disponibles, sans parler de la pollution engendrée par de tels excès. En serons-nous les prochaines cibles visées?

Un cas aberrant tout récent, le gouvernement chinois vient de changer la loi de l'enfant unique pour permettre aux couples d'augmenter chaque famille à 2 enfants au lieu de s'en tenir à un seul. Ne leur est-il pas venu à l'idée qu'il serait de loin préférable que la population totale chinoise diminue de 25% en 25 ans afin que le territoire puisse les nourrir tous?

Le continent africain, l'Inde, les pays arabes, l’Asie, ont tous besoin d'apprendre à contrôler leur démographie s'il veulent pouvoir espérer nourrir ces milliards d'humains sans mettre à sac la totalité des ressources de leur environnement.

Mais combien de bien-pensants préfèrent jouer à l'autruche. Pour chaque illusionné qui croit sauver la planète en s'achetant une voiture électrique Tesla de 60 000$ (sans parler que ça fait un petit velours au statut social), au même moment, il se vend des dizaines de milliers de voitures à essence en Chine et en Inde qui polluent l'air dans un ordre de grandeur de 1000 fois plus. À ce rythme haletant (c'est le cas de le dire), l'alerte rouge risque fort de devenir permanente.

L'analogie qui tue à propos du phénomène d'accélération de l'immigration tiers-monde-vers-l'occident: et si on s'avisait de mélanger pêle-mêle termites, fourmis et guêpes dans une ruche bourdonnante d'abeilles, en faisant le vœu pieux que tous ces polypèdes s'entendent fraternellement pour se partager le territoire, l'habitat, les ressources, la nourriture, et cetera?

Certains allégueront qu'ils sont tous munis de 6 pattes, après tout, d'autres rétorqueront qu'ils possèdent une société hautement organisée ou qu'ils partagent un même mode de vie souterrain. Ces points communs qui les rapprochent tant en apparence ne devraient-il pas suffire à assurer le succès d'une tentative de vie commune garantie par une compatibilité totale? (j'ironise à peine)

Quelle drôle d'idée que celle de remplir un pays de gens dépareillés au profil incompatible et aux valeurs antagonistes, qui vivent en parallèle de notre société, sans jamais chercher à établir de véritable contact au quotidien, avec nous, la population, ne croyez-vous pas?

Cette absence de désir de rapprochement, de mimétisme, pourtant si évident à constater ne semble pas être la stratégie idéale pour créer la concordance entre un mode de vie collective qui favorise un climat social positif et des échanges réciproques productifs.

Les Québécois, on le sait, tiennent à garder un pays fidèle à leur image historique, qui continuera de refléter leur identité profonde et leurs origines centenaires précises.

Mais qui gagne à les contredire, à déchirer le tissu social qui les unit, à contrecarrer leur désir de continuité?

Oui, qui donc cherche secrètement à sectionner sans merci nos racines les plus profondes?