Pour souligner la parution de mon 400è article nationaliste sur Vigile, j'ai eu l'idée de réunir les listes des divers éléments qui forment notre identité culturelle québécoise que j'avais disséminés dans une série d'articles qui ont remporté ma foi un certain succès, entre autres en raison de la définition innovante de l'identité collective qui y était proposée.
Cette définition, la voici en substance:
L'identité culturelle québécoise se compose d'une infinité d'éléments propres à nous dont l'assemblage forme une mosaïque lumineuse qui nous reflète en tant que collectivité.
Ce sont des valeurs, des mœurs, des traditions, des comportements, des attitudes, des goûts et aversions, des façons de faire, une vision des choses qui nous sont propres et qui font écho au monde environnant qui nous entoure.
Tous ces éléments se combinent pour produire cette identité collective rayonnante qui nous unit tous et qui produit la cohésion sociale nécessaire au bien-vivre ensemble.
Tout cela montre comment nous avons pris racine en cette terre de grands espaces et de neige et fait évoluer la société qui est la nôtre dans le sens que nous avons voulu lui faire prendre.
Cela a produit une société bien distincte de toutes les autres, à l'origine de notre amour de la patrie tel qu'on l'envisage. C'est pour cette raison qu'il revient à chacun d'entre nous de veiller à ce que cela ne change pas, que la définition collective du Nous soit préservée de toutes les atteintes extérieures déformantes.
Cette définition plus englobante que je propose a le mérite de se démarquer des définitions strictement plus académiques qui cherchent à donner une définition réductrice de notre identité, en la limitant à 3 ou 4 éléments généraux, si généraux qu'ils ne nous différencient guère plus des autres peuples, ou à peine.
Car un Québécois, c'est bien sûr un habitant du territoire, avec des origines communes, un héritage religieux, une langue ardemment défendue, une culture partagée. Certes, mais c'est beaucoup plus que ces quelques points de repère objectifs.
Être Québécois, c'est un état d'être participatif, une contribution volontaire et enthousiaste, une partie prenante, une brique ajoutée à l'édifice, une motivation renouvelée à rester pleinement soi chez soi, une mise en partage du butin personnel et collectif, un "j'aime" cliqué sur tout le bon monde de chez nous, avec 8 millions de vues au compteur.
En raison du manque d'espace, je me rends compte qu'il serait impraticable de procéder dans le cadre de ce bref article à l'énumération des 400 caractéristiques promises plus haut, ce qui fait que je vais plutôt vous référer aux articles concernés qui vous les divulgueront pour votre plaisir et votre agrément.
Depuis mes débuts, j'ai toujours eu pour objectif d'exprimer un point de vue nationaliste clair et toujours appuyé par des arguments valables. Aucune affirmation gratuite ne pouvant être démontrée par a + b. J'ai voulu donner toujours plus de raisons de croire en Nous et au pays que nous méritons à titre de nation parfaitement distincte et irremplaçable. Et j'en ai colligé des centaines.
Voici donc quelques traits descriptifs représentant le portrait de famille des Québécois (cliquez sur chaque titre d'article pour le lire).
À quoi reconnaît-on un Québécois ?
Être Québécois, une question d’appartenance à l’identité culturelle
L’identité culturelle, c’est quoi?
Qui sommes-nous en tant que collectivité québécoise?
Québécois d’ici : quelles sont nos principales caractéristiques identitaires ?
Être Québécois, c’est d’abord vivre à la québécoise
Enfin disponible, Un test identitaire de québécité fiable
400 articles publiés, c'est trouver 400 angles pour aborder l'inépuisable question de la chance inouïe d'être québécois et l'occasion de valoriser la riche culture qui est la nôtre. Mille mercis aux près de 400 000 lecteurs, ainsi qu'aux nombreux commentateurs qui ont compris et renforcé mon humble propos.
L'identité culturelle québécoise, en 400 éléments
Une société distincte, unique en son genre
Tribune libre
Réjean Labrie879 articles
Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.
Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème gén&ea...
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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.
Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.
Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.
L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.
Plus de 875 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.
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1 commentaire
Archives de Vigile Répondre
17 juillet 2017Est Québécois qui veut l'être.
Mais cela n'est pas l'acquisition de papiers légaux permettant la résidence, le travail et les services sociaux communs.
Il ne suffit de parler le français. Ou d'être Français.
Être Québécois, c'est de participer à un héritage historique et culturel. Il y a la mémoire collective dont le principal outil de manipulation est la langue française. Les Irlandais peuvent avoir négligé l'usage de la langue gaélique, mais ils transportent leur mémoire dans la langue anglaise.
Si vous trouvez ma définition trop restrictive, alors je suis un Canadien-français. Mais là, je peine à trouver un État pour ma nation.