L'itinérance est un fléau social qu'il faut prendre à bras-le-corps, en commençant par cesser de jouer à l'autruche devant les actions à prendre, ou pire, au bon missionnaire compatissant qui va prendre dans ses bras les africains qui ont l'ébola pour les réconforter; il faut cesser de se prendre pour la bienheureuse mère Térèsa qui embrasse les lépreux.

Les itinérants sont devenus une nuisance publique; c'est pourquoi on ne doit plus leur permettre de déranger et effrayer les gens ou de squatter des centres-villes entiers. Personne n'a le droit de faire ça. Il faut les écarter de l'espace public, autant pour notre sécurité collective et celle de nos enfants que pour faire régner l'ordre public.
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Des mesures fermes s'imposent
- Que ceux qui sont malades mentaux déréglés et incontrôlés soient internés pour leur propre bien.
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- Que les drogués et soûlons soient placés dans des lieux fermés durant le jour où cuver leur drogue et leur vin. Le soir, ils iront dans un refuge aménagé aux limites de la ville, pas en plein centre-ville comme l'Auberivière à Québec où tout le secteur avoisinant en pâtit.

- Que ceux qui ne sont pas originaires de la ville soient retournés d'où ils viennent. Semble-t-il qu'ils se passent le mot dans le genre: "venez-vous en à Québec, la police ne nous bourrasse pas trop, l'Auberivière est bien chauffée, on est nourris, logés, habillés, les piqueries sont généreuses, c'est facile de quêter en se faisant prendre en pitié pour se faire de l'argent pour s'acheter de la bonne bagosse; les gens nous donnent des tentes, c'est facile de chiper un chariot d'épicerie pour transporter nos affaires".

Ci-dessus: autour du refuge de L'Auberivière à Québec, sale et dangereux. Les gens fuient.

La solution est simple
La solution est simple et existe déjà. Il suffit de faire respecter les règlements municipaux en vigueur ou d'en ajouter au besoin.

Exemples:
- Pas droit de flânage
- Pas droit de mendiance
- Pas d'interpellation, d'intimidation des gens, pas de crises en public
- Pas de comportements anormaux genre malade mental déconnecté de la réalité
- Pas d'attroupements dans les parcs et lieux publics
- Pas de prise de drogue ou d'alcool en public
- Pas d'invasion des bibliothèques qui en chassent les usagers normaux
- Pas de défécation ou actes sexuels en public comme cela se voit à Montréal
- Les autochtones squatteurs des parcs doivent être confinés à leur réserve

Punitions automatiques
- Ceux pris en flagrant délit feront des travaux communautaires dès le lendemain, 1 jour, 1 semaine, 1 mois, ce qui les occupera utilement. Il faut les sortir de leur oisiveté et leur fournir un encadrement quotidien disciplineur. Ramasser les feuilles mortes tombées et les détritus dans les parcs, pelleter la neige des entrées des édifices publics.

- Tous ceux qui sont pris en défaut embarquent immédiatement dans le panier à salade et clairent la place pour la journée. Qu'on aménage de grandes salles de détention quotidiennes dans des entrepôts vacants où on les parquera.

- Si du grabuge est causé par des migrants illégaux, de faux réfugiés ou des pseudos demandeurs d'asile fraudeurs qui rôdent partout, ils seront expulsés
À lire: Tous les logements donnés aux pseudo-demandeurs d'asile doivent être réattribués aux itinérants

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On en est rendu là: il faut prendre les grands moyens pour se débarrasser du fléau des itinérants, pour ne plus les avoir à la vue, pour que les gens se sentent à nouveau en sécurité.
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Cessons l'hypocrisie du petit jeu de la compassion, du cœur sur la main, de la larme à l'œil. Agissons et réglons les choses comme il se doit. On ne veut plus que nos enfants ramassent des seringues. On ne veut plus de piquerie à côté d'une garderie. La tolérance au désordre public a assez duré.

Il y a environ 1 000 itinérants à Québec dans une ville de 550 000 habitants. On ne peut laisser 0.2 % de la population déranger tout le reste.

Les itinérants savent attirer la pitié, vous prendre par les émotions; ne vous faites pas avoir une fois de plus. Les déréglés sociaux sont les meilleurs manipulateurs qui soient. Ils savent comment s'y prendre. Cessez de tomber dans le panneau.
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1 commentaire
Réjean Labrie Répondre
16 décembre 2025Je viens de lire qu'aux États-Unis, les diverses autorités sont sur le point de mettre en pratique des mesures musclées pour s'attaquer à l'itinérance comme mode de vie, un fléau qui affecte et détériore maintenant trop de villes occidentales infestées.
Principales mesures et tendances récentes :
Initiatives locales contrastées (exemples) :
En résumé, la tendance fédérale actuelle pousse vers des solutions plus strictes, axées sur la réinsertion professionnelle et le traitement obligatoire, s'écartant de l'approche « logement d'abord » qui a connu du succès dans certaines villes, et se concentrant sur l'ordre public et la criminalité liée à l'itinérance.
Source: Mesures