Ceux qu'on appelle euphémistiquement "itinérants" sont pour la majeure partie des malades mentaux, souvent errant dans un état psychotique (déconnectés de la réalité). Ce sont ceux qu'on appelait avant les fous de l'asile.
Il n'est pas normal que des déséquilibrés mentaux non médicamentés qui ne savent pas ce qu’ils disent ni ce qu'ils font puissent circuler librement dans la rue et causer du désordre public à répétition, au point de provoquer l'insécurité générale.
Dans la société, personne n'a le droit de troubler l'ordre public, de déranger la vie des autres. Si quelqu'un n'est pas capable de se restreindre, de se contrôler, de vivre selon les règles de la société, qu’on le retire de la circulation, un point c'est tout.
C'est un fait qu'un malade mental en liberté cesse rapidement de prendre sa médication et fait une rechute dans la paranoïa, le délire, la délinquance, les actes irresponsables et dangereux.
La population n'a pas à avoir ces pauvres malades continuellement sous les yeux, une vue désolante à les voir assis par terre dans leur saleté, sans parler qu'ils représentent un danger constant d'agression et font peur aux gens en les interpellant. Nous avons le droit d’être protégés et de se sentir en sécurité en tout temps.
Ce n’est pas pour rien que les gens évitent les abords des refuges d’itinérants; ça fait peine à voir tous ces pauvres hères au regard perdu et à l’allure malpropre et bizarroïde dont personne ne veut s’approcher.
Ces pauvres malades en état de crise, inconscients de leurs actes, de l’endroit où ils sont, complètement déconnectés de la réalité, causent tellement de trouble qu'ils comptent maintenant pour la moitié des interventions policières et des appels au 911! Ce n’est pas aux policiers qu’il revient de faire des interventions de préposés aux bénéficiaires d'institutions psychiatriques.
La désinstitutionalisation (l’enfer est pavé de bonnes intentions) entreprise durant les années 70 fut une erreur monumentale, un échec cuisant qu'il est grand temps de corriger. Au lieu de corriger les failles du système, on l’a remplacé par autre chose qui s’est avéré pire comme conséquences. Qui parmi nos élus aura l'honnêteté intellectuelle de le reconnaître et d'y remédier?
Posons des limites raisonnables. Un aliéné aura droit à 3 avertissements, suite à 3 interventions des forces de l’ordre. Au-delà, on l'enfermera aussi longtemps que son état psychologique ne s'améliorera pas, ce qui pour certains signifiera jamais.
La psychiatrie moderne possède tous les tests qu'il faut pour évaluer l'état mental d'un malade et déterminer s'il peut circuler librement sans danger. C'est la règlementation fautive qui force les autorités à relâcher des patients potentiellement dangereux, qui rechutent sans cesse une fois sortis, cessant subitement leur médication parce qu'ils se croient "guéris".
La vie en institution est indiquée pour les malades mentaux incurables pouvant devenir dangereux autant pour eux-mêmes que pour les autres. C’est pour leur propre bien qu'on les met à l'écart.
À l'intérieur, ils bénéficieront de plusieurs avantages et soins:
1- on s'assure que leur médication soit prise ponctuellement pour prévenir crises et délire
2- ils ont un endroit où dormir
3- ils ont leurs 3 repas chauds par jour
4- on veille à leur hygiène corporelle
5- ils sont au chaud dans une salle commune en hiver
6- ils sont à l'abri des ravages de la drogue et de l'alcool
7- ils sont à l'abri d'actes violents à leur égard
8- toutes sortes d'ateliers les maintiennent occupés et paisibles
9- des thérapies leur sont offertes
10- la population sera protégée des psychotiques tueurs fous qui font la une des journaux, un phénomène à la hausse
Pour le bien-être des psychiatrisés eux-mêmes, il appert que la meilleure solution est la protection que leur assure un milieu fermé et sécuritaire.
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30 commentaires
Réjean Labrie Répondre
5 décembre 2024Encore un autre fou de l'asile qui tue son voisin nouvellement retraité. Comme si cela ne suffisait pas d'être fou psychotique, il se drogue à fond et décroche encore plus dans un délire paranoïaque total.
Je ne voudrais pas être dans les souliers du psychiate qui a évalué que le malade mental grave pouvait être remis en liberté sans représenter de danger pour la société. Les psychiatres subissent la pression d'en relâcher le plus possible. C'est une vraie honte.
La place des fous est d'être enfermés à l'asile. On les interne à vie, un point c'est tout, avant qu'ils ne tuent leur famille terrorisée, les voisins ou les passants.
Source: Un fou, un assassinat
Réjean Labrie Répondre
4 octobre 2024Les malades mentaux psychotiques laissés en liberté finissent par commettre des meurtres.
À Lac-Saint-Charles au nord de Québec, un fou à lier en crise complètement déconnecté de la réalité tue son voisin.
Mais il est trop tard pour l'enfermer, la victime est morte.
Dès qu'une évaluation psychiatrique poussée détermine un cas de maladie mentale grave, l'aliéné doit être enfermé à vie pour protéger la société de ses actes déments.
À lire: Devrait-on limiter certains droits et libertés à ceux qui sont inaptes à les exercer?
Plus il y a de fous de l'asile en dehors de l'asile, plus il y aura de meurtres faisant des victimes innocentes, généralement la famille proche: la mère, le père, les frères et soeurs, qui savent tous ce qui les attendent, et qui vivent dans la terreur du moment fatal.
Il faut enfermer les fous de l'asile.
Source: Un autre fou laissé en liberté tue
Réjean Labrie Répondre
4 juin 2024À Laval, encore un autre étranger déréglé mental homicidaire du nom de Konstantinos Tsagaroulis, qui ne parle probablement pas français, et qui nécessitera un coûteux interprète aux frais du contribuable.
Une accusation de meurtre prémédité a été portée contre le malade mental dérangé de 20 ans, l'étranger déréglé mental homicidaire du nom de Konstantinos Tsagaroulis, qui aurait sauvagement poignardé à mort une femme choisie au hasard dans un boisé de Laval, tuée d'une trentaine de coups de couteau. Il a frappé jusqu'à ce qu'il ne voit plus de sang couler.
Le suspect cherchait de la nourriture dans des logements après le crime.
Ces fous incohérents sont soudainement pris d'une rage homicidaire, perdent tout contrôle d'eux-mêmes, et frappent encore, encore et encore, comme dans une transe de folie meurtrière.
Source: Femme poignardée à mort à Laval: une accusation de meurtre prémédité contre le suspect
Ce fou furieux n'a pas été adéquatement filtré à l'immigration et n'aurait jamais dû être accepté au pays.
Faites venir des barbares et vous obtiendrez de la barbarie.
Tous les malades mentaux psychotiques jugés dangereux suitte à une évaluation psychiatrique poussée doivent être internés pour prévenir les assassinats qu'ils ne manqueront pas de commettre tôt ou tard.
À lire: Devrait-on limiter certains droits et libertés à ceux qui sont inaptes à les exercer?
Réjean Labrie Répondre
22 mai 2024Un autre déréglé mental tue sa propre mère, qui devait attendre résignée le jour fatal.
Les malades mentaux diagnostiqués psychotiques dangereux doivent être internés à vie comme cela se faisait avant.
Autrement, leurs familles et leurs proches vivent dans la terreur et l'attente du geste fatal. Ces malades mentaux peuvent aussi frapper d'autre innocents, voisins ou passants, comme cela se produit souvent.
Source: Un fou de l'asile tue sa mère
Réjean Labrie Répondre
5 mai 2024Cette fois-ci, c'est une femme étrangère, atteinte du trouble de personnalité limite, qui tue sauvagement une autre femme à Montréal à coups de couteaux, l'anglophone Préscilla Fournier Tobal, dans l'une de ses crises imprévisibles et destructrices. Elle a ensuite mis le feu.
Sur sa page Quora, elle révèle l'étendue de ses problèmes mentaux:
"I've been diagnosed with BPD (borderline personality disorder) and I've known I had it from an early age.
I've done a number of things to try to improve my condition since. Personally the psychopharmacological route did not work for me, after trying out 6/7 different medications from antidepressant to mood stabilizers and antipsychotics which all had different side effects either worsening my state or not making up for the benefits (developing a major gambling problem on abilify for example)."
Source: Quora
Cette malade mentale incurable aurait dû être internée depuis longtemps, cela aurait sauvé une vie humaine. Dans cette crise meurtrière, elle aurait pu en tuer beaucoup d'autres de plus.
La place des aliénés mentaux dangereux et sujets à la psychose (perte de contrôle et de contact avec la réalité) est à l'asile. Un diagnostic psychiatrique de dangerosité doit être établi, puis ensuite on les enferme pour protéger la société de leurs actes insensés.
Source: Meurtre commis par une malade mentale à Montréal
Réjean Labrie Répondre
16 février 2024Fabio Puglisi, un autre déréglé mental qui aurait dû être enfermé à vie depuis longtemps tue 2 personnes et en blesse une troisième.
Ce fou aux pulsions homicidaires a-t-il été admis au Québec sans évalutation psychologique approfondie? Vous voyez le résultat que ça donne.
Il s’agit d'Elisabetta Caucci-Puglisi, 68 ans, mère du suspect, avec qui elle habitait, et de Manon Blanchard, une voisine de 53 ans.
Une troisième femme a également été transportée dans un centre hospitalier, où son état était jugé critique.
Connu des services policiers, le suspect avait été reconnu non criminellement responsable par le passé d’accusations d’agression causant des lésions corporelles et de fraude.
En 2020, la Commission d’examen des troubles mentaux avait été mandatée pour évaluer l’état mental de M. Puglisi.
« L’accusé, en raison de son état mental, ne représente plus un risque important pour la sécurité du public », avait-elle conclu.
M. Puglisi, qui avait été hospitalisé pendant un mois « à la suite d’une agression contre un automobiliste sur l’autoroute dans un vécu délirant paranoïde » en 2011, présentait des progrès « notables », notamment du fait qu’il était « bien entouré ».
« Il prend la médication comme prescrit. D’ailleurs, il conçoit qu’il va beaucoup mieux en prenant ses médicaments », lit-on dans la décision.
Erreur, aucun traitement ne peut garantir l'absence de dérape mentale mortelle. Seul l'internement peut nous protéger.
Il faut revenir à la pratique de l'internement de tous les malades mentaux évalués comme tel.
Les schizophrènes paranoïaques finissent pas mal tous par péter les plombs et tuer leur famille qui vit terrorisée par l'imminence et l'inévitabilité du geste. Ce n'est pas une vie. Pour leur sécurité et celle du public, il faut enfermer les fous de l'asile.
Référence: Double meurtre par un aliéné avec antécédents
Réjean Labrie Répondre
13 février 2024Faudrait-il enfermer les fous de l'asile comme avant?
La réponse est un oui sans équivoque.
Un autre malade mental déréglé tue une policière en service à Louiseville.
Imaginez la terreur de tous les instants des parents qui pourraient être les prochaines victimes de l'aliéné hors contrôle et délirant. La vie avec un fou est intenable.
Ces malades mentaux sont inaptes à la vie en société. Le risque qu'ils représentent est beaucoup trop élevé pour les laisser en liberté et faire trop de victimes innocentes.
C'est pourquoi ces pauvres malades doivent être internés à vie pour leur propre bien, et surtout pour la protection de leurs proches, du voisinage, du corps policier et de la société en général. On ne sait jamais qui sera la victime de leurs pulsions psychotiques incontrôlables.
Dans ce cas précis, les parents terrorisés le sentait venir.
Source: Policière tuée à Louiseville: les proches du suspect avaient appelé les forces de l'ordre quelques jours avant
Réjean Labrie Répondre
5 janvier 2024Simon Lachance a tiré un coup de feu sur un motocycliste en juillet 2022 à Québec parce qu’il se croyait un «policier civil» chargé de faire «du nettoyage». L’État lui avait envoyé cette mission par télépathie.
Au moment où sa victime est tombée au sol, Lachance pensait qu’elle allait disparaître comme un hologramme, parce qu’il croyait être dans un monde digital. Quand ce n’est pas arrivé, il a ressenti un fort sentiment d’incompréhension.
À son arrestation, Lachance croyait être félicité par l’État. Les policiers étaient en fait des hommes spéciaux et la prison d’Orsainville était un établissement gouvernemental qui accueillait les candidats comme lui.
Tentative de meurtre à Québec: l’accusé était «dans un monde parallèle»
Judith Desmeules, Le Soleil
Simon Lachance a tiré un coup de feu sur un motocycliste en juillet 2022 à Québec parce qu’il se croyait un «pol...
Réjean Labrie Répondre
13 décembre 2023Simon Lachance a tiré un coup de feu sur un motocycliste en juillet 2022 à Québec parce qu’il se croyait un «policier civil» chargé de faire «du nettoyage». L’État lui avait envoyé cette mission par télépathie.
Au moment où sa victime est tombée au sol, Lachance pensait qu’elle allait disparaître comme un hologramme, parce qu’il croyait être dans un monde digital. Quand ce n’est pas arrivé, il a ressenti un fort sentiment d’incompréhension.
À son arrestation, Lachance croyait être félicité par l’État. Les policiers étaient en fait des hommes spéciaux et la prison d’Orsainville était un établissement gouvernemental qui accueillait les candidats comme lui.
Tentative de meurtre à Québec: l’accusé était «dans un monde parallèle»
Judith Desmeules, Le Soleil
Simon Lachance a tiré un coup de feu sur un motocycliste en juillet 2022 à Québec parce qu’il se croyait un «pol...
Réjean Labrie Répondre
28 novembre 2023L'histoire se répète toutes les semaines.
À Laval, un fou psychotique tue sa tante. Le commentaire habituel: "il est si tranquille et effacé en temps normal." C'est précisément pour ça qu'il faut les enfermer: À un moment donné, ce genre de malade mental perd contact avec la réalité, ne sait plus ce qu'il fait, fait une crise paranoïaque et tue. Enfermons les fous à l'asile des fous. Plus on attend, plus ils font de victimes innocentes, en général leur propre famille, leurs parents.
Pendant toutes ces années, les proches vivent dans la hantise d'être la prochaine victime. Ce n'est pas une vie. Il faut les libérer de ce fardeau insoutenable en enfermant les aliénés mentaux dangereux.
Meurtre à Laval | Il aurait tué sa tante après une possible psychose
Meurtre à Laval | Il aurait tué sa tante après une possible psychose
« La seule hypothèse pour moi, ce serait qu’il ait fait une psychose » : un proche de Jérôme Frigault, le jeune ...
Réjean Labrie Répondre
27 octobre 2023Les dizaines d'exemples de fous qui tuent que j'ai ajoutés dans les commentaires précédents concernent des cas répertoriés au Québec.
Je me permets d'ajouter le récent cas de la tuerie chez nos voisins de Lewiston au Maine, exécutée par un ex-soldat schizophrène fou braque:
Tuerie à Lewiston : la maladie mentale rend le tueur imprévisible
Il aurait dû être interné à vie depuis longtemps, plutôt que de le laisser en liberté avec des mitraillettes à entendre des voix.
La place des fous dangereux est à l'asile.
Qu'on les enferme tous comme avant, avant qu'ils nous tuent.
Réjean Labrie Répondre
25 septembre 2023Un autre problème aigu avec les malades mentaux incurables et dangereux, c'est qu'on en importe à vitesse grand V.
Encore un autre étranger schizophrène possédé qui tue 3 hommes au hasard. C'est un arabe musulman du nom de Abdulla Shaikh.
S'il avait été filtré au préalable par un test de santé mentale, le fou Abdulla Shaikh ne serait jamais entré au pays pour tuer et tuer encore.
Le ministère de l'immigration ne joue pas son rôle de protection de la population. Il a une large part de responsabilité dans ce genre de tuerie à répétition. On ne laisse pas entrer au pays des déréglés qui deviennent une menace pour la société.
Photo: Le père de l'assassin dément. Impossible de trouver la moindre photo du fou tueur armé Abdulla Shaikh. Les médias ont le don de cacher ce genre de choses, comme on le vérifie cas après cas pour qu'on ne voit pas que ce sont des étrangers.
Référence: Triple meurtre par un immigré musulman
Réjean Labrie Répondre
2 août 2023Je fais suivre certains de mes articles aux journalistes et chroniqueurs en vue de nos médias.
J'écris: "voici une suggestion de thème d'actualité à aborder", suivi de mon texte.
Même si la proposition n'est pas retenue, au moins elle est diffusée chez les représentants des médias, ce qui n'est jamais inutile.
M. Richard Martineau semble avoir eu la piqûre pour cette idée, et l'audace qu'on lui connaît de parler de ce sujet tabou.
Mon titre volontairement impolitiquement correct était:
Faudrait-il enfermer les fous de l'asile comme avant?
Dans son article allant dans le même sens que le mien, il reformule ainsi:
N'est-il pas temps de retourner les malades dans les institutions psychiatriques?
Sa conclusion est fort sage. Je cite:
"Les instituts psychiatriques ont bien changé, depuis le temps. Ce sont des hôpitaux, pas des prisons.
Ne serait-il pas temps de songer à réinstitutionnaliser certaines personnes pour les aider?"
Réjean Labrie Répondre
28 juillet 2023Les cas de psychotiques en crise laissés en liberté se multiplient.
Après qu’un policier ait été gravement blessé par un homme en crise mercredi, à Montréal, c’est une autre intervention du genre qui a mené à des blessures par balle pour celui qui menaçait de s’en prendre à d’autres personnes à coups de couteau, à Québec le lendemain.
Un homme en crise qui a menacé des gens avec un couteau a succombé à ses blessures après avoir été atteint par balle dans une intervention du Service de police de la Ville de Québec (SPVQ) près de l’hôpital de l’Enfant-Jésus, jeudi midi. Il s’agit du deuxième évènement du genre depuis le début de l'année à Québec.
Le décès de l'individu a été confirmé par le Bureau des enquêtes indépendantes (BEI) en fin d'après-midi, jeudi. Ce dernier a étés appelé à intervenir dans le dossier, puisque l’homme désorganisé a été blessé par les forces de l'ordre au courant de l'opération.
Si ce fou dément avait été interné à vie, il serait toujours en vie.
Source: Un fou, un couteau
Réjean Labrie Répondre
28 juillet 20233 interventions sur 4 de la police de Montréal mettent en cause des malades mentaux en crise incontrôlée.
Si tous ces malades étaient internés pour leur bien, la police pourrait faire son travail de lutte au crime et être 4 fois plus efficace.
D’après le policier à la retraite du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) et analyste spécialisé en usage judicieux de la force, Stéphane Wall, les incidents impliquant des problèmes de santé mentale sont extrêmement complexes à gérer. Selon lui, ces derniers représentent d’ailleurs 70 à 75% des interventions annuelles du SPVM.
Source: 3 interventions sur 4 de la police de Montréal vient de malades mentaux
Réjean Labrie Répondre
28 juillet 2023Un psychotique dément du nom de Biplobe Dash souffrait d’importants problèmes de santé mentale, et ce, depuis de nombreuses années.
En 2017, un jugement avait été rendu par la Cour supérieure afin qu’il soit traité contre son gré par l’Institut universitaire en santé mentale Douglas, notamment pour sa schizophrénie et ses hallucinations. En plus de devoir résider dans une ressource d’hébergement autorisée, la Cour lui avait ainsi ordonné de se médicamenter et de suivre les traitements recommandés par son équipe de soins. Selon les documents consultés par Le Journal, M. Dash a toujours nié et minimisé la sévérité de sa maladie.
Le quadragénaire était d’ailleurs en attente de deux procès pour des dossiers d’agressions armées, de vol et de menaces. Selon nos sources, lors de récentes audiences devant le juge, l’homme tenait des propos décousus et semblait instable.
Il est rassurant de savoir que la Cour peut exiger des soins forcés dans l'intérêt du malade. Ce devrait être la même chose pour les témoins de jéhovah qui refusent les transfusions sanguines pour leurs enfants malades.
Si ce pauvre hère avait été interné à vie, il serait toujours en vie.
Source: Soins forcés
Réjean Labrie Répondre
6 mai 2023Un autre malade mental psychotique laissé en liberté s'en prend à sa voisine septuagénaire.
Sa place est à l'asile des fous, dont il ne devrait plus jamais sortir. Il est un danger public qui recommencera à la prochaine occasion.
Source: Une septuagénaire sauvagement battue par un fou furieux violent en crise psychotique à Jonquière
La place des malades mentaux graves et incurables est à l'asile, à vie.
Réjean Labrie Répondre
25 avril 2023Encore 3 autres meurtres commis par des malades mentaux en liberté sur leurs proches.
La place des malades mentaux est à l'asile. Quand le comprendra-t-on enfin?
Un homme aux prises avec des problèmes de santé mentale aurait tué sa mère dimanche matin dans sa maison de Saint-Jean-sur-Richelieu, sur la Rive-Sud de Montréal.
Depuis le début de l’année, deux autres personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale s’en seraient prises mortellement à leurs parents.
À la mi-février, Amel Benali, 26 ans, aurait poignardé à mort sa mère dans leur logement de Villeray, à Montréal. L’accusée a des antécédents psychiatriques et serait atteinte de schizophrénie, selon nos informations.
Arthur Galarneau aurait tué ses parents et sa grand-mère dans leur maison bigénérationnelle de Rosemont. Le jeune de 19 ans avait déjà été suivi pour des problèmes de santé mentale, avait-on alors appris.
Les familles des malades mentaux vivent l'enfer, se considérant comme des morts en sursis.
Mettons de la pression sur nos élus pour que les fous soient internés.
Source: Encore 3 fous qui tuent leur parents
Réjean Labrie Répondre
29 mars 2023Pourtant, la loi permet de forcer la médication:
Quand un patient majeur n'est pas capable de consentir seul aux soins de santé et qu'il refuse catégoriquement les soins, l'établissement de santé peut demander au tribunal une ordonnance de soins. Par exemple, le tribunal peut ordonner à un patient de prendre des médicaments pour un trouble de santé mentale.
Source: Les soins forcés
Il faut croire qu'on répugne à faire observer la loi lorsqu'il s'agit de malades mentaux dont on veut conserver tous les droits possibles, incluant celui de tuer à volonté. Et on s'en sort facilement en prétextant la "non-responsabilité criminelle pour cause de troubles mentaux".
Source: L'échappatoire facile de l'invocation de la non-responsabilité criminelle
Les malades mentaux graves doivent suivre leur médication ou être internés.
Réjean Labrie Répondre
28 mars 2023La grande majorité des malades mentaux schizophrénes non médicamentés laissés en liberté consomment toutes les drogues qui leur tombent sous la main comme des bonbons, les rendant encore plus déconnectés de la réalité, plus paranoïaques.
Pas surprenant qu'ils deviennent alors explosifs et tueurs fous.
L'internement est la seule solution pour protéger la population de leurs actes meurtriers.
Réjean Labrie Répondre
28 mars 2023La même histoire se répète semaine après semaine: une sergente de la SQ a été tuée par un malade mental détraqué et psychotique à Louiseville.
Pourquoi un tel être dangereux déjà arrêté plusieurs fois et violent n'était-il pas enfermé à vie?
Il faut de nouvelle règles plus restrictives pour protéger la population de tous ces fous maniaques en liberté, n'attendant que le bon moment pour frapper sur leur famille, leurs proches, les voisins, les policiers, les passants innocents.
Si un malade mental perturbé se fait arrêter une seconde fois, on l'enferme. On ne lui accorde qu'une seule chance. Après, c'est l'internement.
Source: Une sergente de la SQ tuée par un malade mental détraqué à Louiseville
Réjean Labrie Répondre
22 mars 2023Il n'est pas normal que des personnes mentalement dérangées errent en toute liberté dans nos rues, prêtes à exploser à tout moment.
Leurs familles sont terrorisées à l'idée d'être les premières victimes d'un acte de folie. Elles n'ont pas de vie.
Les crimes sont commis sur toute la population innocente sur la place publique.
Les malades mentaux psychotiques doivent être internés dès que le diagnostic est posé par un psychiatre.
Personnes en crise ou avec l’état mental perturbé
Dans une métropole comme Montréal, les problématiques liées à la santé mentale sont nombreuses et peuvent prendre plusieurs formes. Il s’agit parfois d’un épisode très court, lié à une situation donnée, à un problème existant qui est sous contrôle, ou qui fait soudainement surface.
Les policiers du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) répondent annuellement à plus de 33 000 appels concernant une personne en crise ou dont l’état mental est perturbé. Cela correspond à une centaine d’appels par jour environ.
Réjean Labrie Répondre
21 mars 2023Un autre crime d'un fou furieux immigrant africain étranger de race noire, gesticulant et tuant tout ce qui bouge, incluant les animaux, avec un long couteau dans chaque main, vraisemblablement en proie à des pulsions sanguinaires primitives.
Fidèles à leurs mauvaises habitudes de dissimuler les faits essentiels qui expliquent le geste, les médias cachent le nom étranger du criminel, son identité, sa photo et ses origines, alors que cela a tout à voir avec la gravité de ses actes insensés et le degré de leur caractère sauvage et impulsif.
Comment un tel fou dérangé a-t-il pu être accepté au pays? Quel manque flagrant de sélection appropriée.
La seule façon de comprendre à quelle espèce d'individu détraqué on a affaire est de visionner la vidéo qui montre clairement le fou furieux immigrant africain étranger de race noire, gesticulant et tuant avec un long couteau dans chaque main. Il a poignardé sauvagement 2 femmes et un chien, ne sachant plus ce qu'il faisait.
On peut supposer que cet africain était musulman et leur religion méprise les chiens, donc il avait la caution religieuse pour commettre son acte infâme.
Cela s'est passé dans un quartier de Sainte-Foy qui commence à être habité par des multiethniques africains et arabes. Un témoin musulman dit qu'il était habitué à voir cela à Montréal. C'est un secteur près de la Cité-Universitaire, avec un pullulement d'étudiants étrangers issus du tiers-monde sous-civilisé, qui n'ont manifestement pas dû être très filtrés à l'entrée. On les voit rôder en masse dans les gros centres commerciaux à proximité. On y croise là tellement de musulmanes voilées qu'on se croirait en Iran ou en Afghanistan. Vous en avez toujours une dans votre champ de vision.
Tout le pourtour de l'université donne l'impression malaisante d'être entourés, encerclés d'étrangers.
À lire:
17 SOLIDES RAISONS CONTRE La ville de Québec ne doit pas devenir une deuxième métropole
Importez à Québec des barbares, et vous obtiendrez automatiquement de la barbarie.
Il faut protéger les régions du Québec de l'immigration étrangère qui nous ensauvage et nous met tous en péril, comme ce fou furieux immigrant africain étranger de race noire.
Sinon, ces crimes odieux de la part d'êtres aux instincts primaires impulsifs se répandront partout sans limite.
À lire: Immigration: surtout ne pas contaminer les régions du Québec 8 solides raisons contre
À lire: Comment distinguer les bons des mauvais immigrants? Guide en 25 points à appliquer
Référence: Vidéo montrant le fou furieux immigrant africain étranger de race noire commettant ses crimes
Référence: Un fou dément africain frappe
Référence: Un fou furieux immigrant africain étranger de race noire attaque avec 2 couteaux des Québécoises blanches et un chien
Réjean Labrie Répondre
20 mars 2023Un autre malade mental dangereux laissé en liberté, un chauffeur d'autobus cambodgien vivant à Laval.
Pierre Ny fait maintenant face à neuf chefs d’accusation, dont deux de meurtre prémédité, après avoir foncé dans la Garderie éducative Sainte-Rose, mercredi matin, alors qu’il était au volant d’un autobus.
La gravité de son geste a mené à bien des spéculations, notamment sur son état de santé mentale. Pierre Ny a comparu mercredi après-midi depuis une chambre de l’Hôpital du Sacré-Cœur, sous la garde de policiers. Il s’en est pris à l’un d’eux, ce qui a forcé l’interruption de la procédure judiciaire pendant environ 20 minutes.
Le personnel hospitalier a demandé à ce qu’il subisse une évaluation psychiatrique, mais pour déterminer son degré de dangerosité.
Les enfants adoptés à l'international ont souvent des problèmes affectifs dus à des carences de toutes sortes en bas âge, ou nés de parents poqués.
Les malades mentaux dangereux doivent être tous tenus à l'écart de la société et être internés sous surveillance constante.
Source: Un malade mental cambodgien déréglé fauche la vie d'enfants en garderie
Réjean Labrie Répondre
18 mars 2023Encore un autre drame familial dans Rosemont dû à un malade mental déséquilibré et psychotique.
Quand comprendra-t-on enfin que la place des aliénés est dans un hôpital psychiatrique?
Dès qu'un psychiatre signe une évaluation psychologique de diagnostic de schizophrénie, le patient devrait être interné.
Pour son propre bien, celui de ses proches vivant dans l'angoisse du pire et finissant par y succomber, et celui de la société.
De cette façon, il sera médicamenté, contenu, et hors d'état de mettre en danger la vie d'autrui.
Un malade mental grave est inapte à la vie en société. Il doit en être retiré au nom de la sécurité publique.
La sécurité générale est au-dessus des droits des malades mentaux.
Aucun investissement d'argent n'y changera rien, aucun programme, aucune thérapie, aucune aide gouvernementale. La seule solution: l'internement.
Réjean Labrie Répondre
15 mars 2023Le récent drame à Amqui aurait pu être évité si le tueur malade mental avait été interné dès les premiers signes de sa maladie psychotique qui lui a fait perdre les pédales.
Pour leur propre sécurité et pour celle du public, les aliénés doivent être enfermés et empêchés de nuire. Le danger qu'ils représentent est beaucoup trop grand pour les laisser en liberté.
L'internement doit redevenir la bonne marche à suivre.
La protection de la population passe avant les droits des malades mentaux détraqués.
Réjean Labrie Répondre
24 octobre 2022Encore un autre cas d'un fils dément qui poignarde son père à Québec.
Les malades mentaux terrorisant leur famille qui redoutent à chaque instant une crise meurtrière doivent être enfermés à l'asile de fous.
"L'aliéné criait que c’était à cause de son père qu’il était comme ça et il criait qu’il voulait voir son psychiatre. Il était vraiment désorganisé", confie un couple résidant dans l’un des logements du complexe.
Source: Fous en liberté, un choix de société?
Réjean Labrie Répondre
7 août 2022Voici un autre cas de malade mental triple assassin qui n'aurait jamais dû être accepté au pays, et qui n'aurait jamais dû sortir de l'asile des fous de sa vie.
3 meurtres gratuits commis en 24h à Montréal par un immigré arabe musulman du nom de Abdulla Shaikh.
(impossible de trouver de photo du triple meurtrier, politiquement correct oblige)
La police avait déjà dû intervenir auprès de lui. Pourquoi alors n'a-t-il pas été expulsé dès le début? Ces 3 meurtres auraient pu être facilement évités.
Photo: le père du triple assassin musulman
L'immigré arabe musulman du nom de Abdulla Shaikh avait déjà été arrêté plusieurs fois pour méfaits et aggressions sexuelles. On rapporte même que: a psychiatrist determined that Shaikh “still represents a significant risk to public safety because of his mental state.” Pourtant, on ne l'a pas expulsé comme on aurait dû le faire sans délai. Le système protège les ethniques à nos dépens. Source: Des crimes qui auraient pu être évités
À lire: Les immigrés criminels doivent être expulsés
On constate que les crimes commis par des immigrés sous-développés du tiers-monde sont plus graves, plus crapuleux, plus violents, plus mortels. Et surtout, dans un pourcentage nettement plus élevé que dans la population native. C'est ainsi qu'on ensauvage notre pays pour le pire.
La place des fous furieux est à l'asile. S'ils viennent d'ailleurs, on les expulse avant qu'ils ne commettent leurs crimes, dès qu'ils sont identifiés comme malades mentaux sévères.
Réjean Labrie Répondre
28 juin 2022Le Journal de Montréal rapporte:
Un homme en psychose attaque quatre personnes à Montréal
Le beau-père et la mère de l’agresseur font partie des victimes poignardées
Un homme de 72 ans a été poignardé à mort, aujourd'hui, par son beau-fils en psychose qui a fait preuve d’une « rare violence » en agressant au total quatre victimes, à Montréal, avec son arme blanche.
Un homme en psychose a poignardé quatre personnes dans un immeuble de la rue Drummond dans l’arrondissement Ville-Marie à Montréal.
Source: Un autre carnage dû à un psychotique
Les malades mentaux itinérants dangereux autant pour eux-mêmes que pour les autres, doivent tous être internés.
Tôt ou tard, ils feront une crise psychotique fatale pour leur famille, le voisinage et des victimes sans lien avec eux.
Ils ne savent pas ce qu'ils font et représentent une grave menace pour la société.
Il faut enfermer les fous de l'asile.
Réjean Labrie Répondre
28 juin 2022Une solution pratique à l'afflux de malades mentaux et de drogués rebaptisés itinérants pullulant dans les grandes villes consisterait à les regrouper tous dans certaines villes fantômes du Québec, comme Shefferville, Gagnon, Saint-Jean-Vianney.
La ville cloturée incluerait une clinique psychiatrique pour la médication des malades, une SAQ, une SQDC et une piquerie supervisée pour leurs besoins quotidiens.
Des intervenants et préposés aux malades patrouilleraient les rues pour intervenir au besoin.
Les aliénés habiteraient dans les maisons restantes de la ville fantôme et ne dérangeraient plus les honnêtes citoyens qui ont droit à la sécurité et la tranquillité.
Soit qu'on les enferme à l'asile comme avant, soit qu'on les relocalise dans une ville fantôme cloturée.
Tentons ce projet pilote prometteur.
Source: Villes fantômes du Québec