Appliquons des solutions pragmatiques

Aménageons des terrains de camping pour itinérants sur les terrains vagues de Montréal

Avec services et surveillance

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Tribune libre

Plusieurs itinérants choisissent de vivre sous la tente comme mode de vie. Parions que ça ne changera pas de sitôt. Alors montrons-nous pragmatiques pour bien gérer cette situation chronique.



Au lieu de les laisser s’installer arbitrairement là où il ne faut pas, et qu’ils dérangent les gens et troublent l’ordre public, pourquoi ne pas installer des terrains de camping urbains pour itinérants sur les nombreux terrains vagues et abandonnés de Montréal et alentour?



La ville défraiera un petit loyer au propriétaire du terrain à l’abandon, ou possiblement sous la forme d’une exemption de taxes municipales.




On choisit un terrain le plus en retrait possible des endroits habités, on y aménage un enclos clôturé, on ajoute quelques services de base comme des toilettes chimiques bleues, de l’eau courante, des poubelles, et le tour est joué.



La popote roulante viendra y faire son tour pour les repas, sans oublier les travailleurs de rue, l’infirmière mobile, et bien sûr, la police.




On établit un règlement municipal qui interdit de monter des tentes ailleurs qu’aux endroits prévus à cet effet. On leur fait comprendre que c’est uniquement là qu’ils doivent se tenir pour éviter les ennuis avec la loi. Chacun devra s’enregistrer à l’entrée et aura un emplacement attitré qui n’empiétera pas sur celui des autres.



Puisqu’il y aura toujours des itinérants pour vouloir monter leur tente anarchiquement un peu partout en ville, autant leur assigner un endroit précis où les regrouper, et où il sera plus facile pour la police de les surveiller et d’intervenir.



Il existera une entente tacite leur faisant comprendre qu’il sera à leur avantage de rester là en tout temps plutôt que d’aller errer partout en ville et d’effrayer les gens par leurs comportements erratiques et leur apparence dépenaillée.



Seuls un encadrement serré et de la fermeté dans l’application des règlements donnent des résultats avec ces gens imprévisibles, instables, perturbés, dysfonctionnels et confus. La population générale n’a pas à subir les inconvénients de leur état.



De là tout l’intérêt de confiner les itinérants dans un lieu précis où un minimum de surveillance et de maintien de l’ordre sera effectué.



Un terrain de camping urbain réservé répondra parfaitement à ces exigences avec l'avantage de mieux assurer la sécurité publique.



Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet


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Réjean Labrie880 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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2 commentaires

  • Réjean Labrie Répondre

    13 novembre 2023

    On se demande que faire des itinérants durant le jour. Ils dérangent, ils font peur au monde, ils enlaidissent les quartiers.


    Une solution: utiliser les entrepôts vacants un peu partout au centre-ville et en périphérie. Que cela leur serve d'abri le jour. On y installera quelques chaufferettes industrielles, des toilettes chimiques, et le tour sera joué.


    NAI Terramont Commercial | Agence immobilière | Détails de la propriété


    Des agents de sécurité veilleront à maintenir l'ordre dans la bâtisse.


    Les propriétaires des immeubles vacants obtiendront en échange une dispense de taxes municipales.


    Plus de places nécessaires pour les itinérants à Montréal | TVA Nouvelles


    La directive sera: vous restez ici ou on vous embarque pour flânage et vagabondage.


    À la municipalité, on renforce les règlements municipaux pour interdire totalement mendiance, flânage et vagabondage.


    De cette façon, les policiers pourront les ramasser un par un dans le fourgon et les amener à un bâtiment aménagé pour eux.


    On leur dit: on t'a ramassé pour vagabondage. Tu restes ici toute la journée, ou on te coffre.


    À 17:00 ils pourront quitter pour aller souper et dormir au refuge.


    Montée du nombre de cas de COVID-19 dans les refuges pour itinérants à  Montréal | COVID-19 : tout sur la pandémie | Radio-Canada.ca


    Refuge pour itinérants: «Si quelqu'un tousse, tout le monde l'attrape» | La  Presse


    Les itinérants apprendront vite cette routine quotidienne et en comprendront les avantages pour eux.


    Les itinérants ont besoin d'encadrements, puisqu'ils en sont incapables par eux-mêmes. C'est aux autorités de le leur fournir.


    Les refuges pour itinérants affichent complet pendant l'hiver –  L'exemplaire – Média-école des étudiants en journalisme


  • Réjean Labrie Répondre

    18 juillet 2023

    Déconfinement : des quartiers ébranlés | La misère d'autochtones laissés  pour compte dans Milton-Parc | La Presse


    Au problème des itinérants malades mentaux s'ajoutent celui des itinérants autochtones, qui s'agglutinent au pied du Mont-Royal à Milton Parc (ou Ghetto McGill), comme si c'était pour y établir un campement, y planter leur tipi et en se mettre à chasser et à pêcher comme si de rien n'était.


    Inuite sans abri happée mortellement: d'autres accidents semblables ont eu  lieu | Le Devoir


    Il faut changer les lois pour que les autochtones sans domicile fixe soient assignés à leur réserve et cessent d'en sortir pour déranger l'ordre public.


    Photoreportage | Les visages d'une crise humanitaire | La Presse


    Leur niveau de désorganisation mentale et communautaire ne cesse d'empirer:


    Rappellons que 12 % des personnes itinérantes à Montréal sont autochtones, alors qu’ils ne représentent que 0,6 % de la population.


    Une nouvelle clôture au coin Milton/Parc inquiète la communauté


    Le quart des sans-abri autochtones sont inuits, alors qu’ils ne constituent que 5 % de la population autochtone.


    Une « crise humanitaire » dans Milton-Parc - La Presse+


    Dans une ligne ouverte, un Montréalais déplorait de voir des épaves dopées au fentanyl avançant comme des zombies dans les rues du secteur.


    Il n'y pas du tout de crise humanitaire. Que des autochtones et inuits qui ne sont pas à la bonne place, c'est-à-dire dans leur réserve avec les leurs, où ils pourront ingérer tout ce qui bon leur semble.


    Mort d'un itinérant autochtone: Ottawa réclame plus d'humanité de la part  de Legault | L'actualité


    Photo ci-dessus: image classique d'autochtones avec leurs bouteilles de bagosse


    Aucune prévention n'est possible. Aucune intégration à la société n'est possible faute de capacité inhérente à le faire. C'est là une inaptitude généralisée à vivre selon les règles de civilisation modernes dont nous ne devons pas faire les frais. Cessons l'attitude des lunettes roses. La seule solution: le confinement volontaire ou non à leur réserve.


    Peut-on envisager qu'ils s'incrustent là jusqu'à la fin des temps et accepter tout bonnement la chose en baissant les bras? Que le gouvernement se réveille et agisse au nom des citoyens qui en ont ras-le-bol.


    Encore beaucoup à faire pour l'itinérance autochtone dans Milton-Parc | Le  Devoir


    Source: Itinérance autochtone dans Milton-Parc