Plusieurs itinérants choisissent de vivre sous la tente comme mode de vie. Parions que ça ne changera pas de sitôt. Alors montrons-nous pragmatiques pour bien gérer cette situation chronique.
Au lieu de les laisser s’installer arbitrairement là où il ne faut pas, et qu’ils dérangent les gens et troublent l’ordre public, pourquoi ne pas installer des terrains de camping urbains pour itinérants sur les nombreux terrains vagues et abandonnés de Montréal et alentour?
La ville défraiera un petit loyer au propriétaire du terrain à l’abandon, ou possiblement sous la forme d’une exemption de taxes municipales.
On choisit un terrain le plus en retrait possible des endroits habités, on y aménage un enclos clôturé, on ajoute quelques services de base comme des toilettes chimiques bleues, de l’eau courante, des poubelles, et le tour est joué.
La popote roulante viendra y faire son tour pour les repas, sans oublier les travailleurs de rue, l’infirmière mobile, et bien sûr, la police.
On établit un règlement municipal qui interdit de monter des tentes ailleurs qu’aux endroits prévus à cet effet. On leur fait comprendre que c’est uniquement là qu’ils doivent se tenir pour éviter les ennuis avec la loi. Chacun devra s’enregistrer à l’entrée et aura un emplacement attitré qui n’empiétera pas sur celui des autres.
Puisqu’il y aura toujours des itinérants pour vouloir monter leur tente anarchiquement un peu partout en ville, autant leur assigner un endroit précis où les regrouper, et où il sera plus facile pour la police de les surveiller et d’intervenir.
Il existera une entente tacite leur faisant comprendre qu’il sera à leur avantage de rester là en tout temps plutôt que d’aller errer partout en ville et d’effrayer les gens par leurs comportements erratiques et leur apparence dépenaillée.
Seuls un encadrement serré et de la fermeté dans l’application des règlements donnent des résultats avec ces gens imprévisibles, instables, perturbés, dysfonctionnels et confus. La population générale n’a pas à subir les inconvénients de leur état.
De là tout l’intérêt de confiner les itinérants dans un lieu précis où un minimum de surveillance et de maintien de l’ordre sera effectué.
Un terrain de camping urbain réservé répondra parfaitement à ces exigences avec l'avantage de mieux assurer la sécurité publique.
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2 commentaires
Réjean Labrie Répondre
13 novembre 2023On se demande que faire des itinérants durant le jour. Ils dérangent, ils font peur au monde, ils enlaidissent les quartiers.
Une solution: utiliser les entrepôts vacants un peu partout au centre-ville et en périphérie. Que cela leur serve d'abri le jour. On y installera quelques chaufferettes industrielles, des toilettes chimiques, et le tour sera joué.
Des agents de sécurité veilleront à maintenir l'ordre dans la bâtisse.
Les propriétaires des immeubles vacants obtiendront en échange une dispense de taxes municipales.
La directive sera: vous restez ici ou on vous embarque pour flânage et vagabondage.
À la municipalité, on renforce les règlements municipaux pour interdire totalement mendiance, flânage et vagabondage.
De cette façon, les policiers pourront les ramasser un par un dans le fourgon et les amener à un bâtiment aménagé pour eux.
On leur dit: on t'a ramassé pour vagabondage. Tu restes ici toute la journée, ou on te coffre.
À 17:00 ils pourront quitter pour aller souper et dormir au refuge.
Les itinérants apprendront vite cette routine quotidienne et en comprendront les avantages pour eux.
Les itinérants ont besoin d'encadrements, puisqu'ils en sont incapables par eux-mêmes. C'est aux autorités de le leur fournir.
Réjean Labrie Répondre
18 juillet 2023Au problème des itinérants malades mentaux s'ajoutent celui des itinérants autochtones, qui s'agglutinent au pied du Mont-Royal à Milton Parc (ou Ghetto McGill), comme si c'était pour y établir un campement, y planter leur tipi et en se mettre à chasser et à pêcher comme si de rien n'était.
Il faut changer les lois pour que les autochtones sans domicile fixe soient assignés à leur réserve et cessent d'en sortir pour déranger l'ordre public.
Leur niveau de désorganisation mentale et communautaire ne cesse d'empirer:
Rappellons que 12 % des personnes itinérantes à Montréal sont autochtones, alors qu’ils ne représentent que 0,6 % de la population.
Le quart des sans-abri autochtones sont inuits, alors qu’ils ne constituent que 5 % de la population autochtone.
Dans une ligne ouverte, un Montréalais déplorait de voir des épaves dopées au fentanyl avançant comme des zombies dans les rues du secteur.
Il n'y pas du tout de crise humanitaire. Que des autochtones et inuits qui ne sont pas à la bonne place, c'est-à-dire dans leur réserve avec les leurs, où ils pourront ingérer tout ce qui bon leur semble.
Photo ci-dessus: image classique d'autochtones avec leurs bouteilles de bagosse
Aucune prévention n'est possible. Aucune intégration à la société n'est possible faute de capacité inhérente à le faire. C'est là une inaptitude généralisée à vivre selon les règles de civilisation modernes dont nous ne devons pas faire les frais. Cessons l'attitude des lunettes roses. La seule solution: le confinement volontaire ou non à leur réserve.
Peut-on envisager qu'ils s'incrustent là jusqu'à la fin des temps et accepter tout bonnement la chose en baissant les bras? Que le gouvernement se réveille et agisse au nom des citoyens qui en ont ras-le-bol.
Source: Itinérance autochtone dans Milton-Parc