Pour célébrer le jour des droits de l'enfant, le 20 novembre.
Que la mère enceinte donne la vie, et pas la mort. Qui s'opposera à cela?

Le droit à la naissance
Dans l'ordre de priorité, est-ce plus important qu'un petit être humain en croissance puisse venir au monde et atteindre un jour son espérance de vie, ou bien qu'une femme décide de le supprimer avant terme pour s'en débarrasser?
La première des deux possibilités est un droit humain qui devrait être considéré comme fondamental, le droit à la naissance, tandis que la seconde ne le sera jamais, puisque l'homicide infantile ne peut être cautionné sous aucun prétexte. Depuis quand un infanticide est-il désirable et socialement acceptable?
Êtes-vous du côté des petits êtres humains sur le point de venir au monde, ou de celles qui veulent les en empêcher?
À lire: Le premier des droits qu'un être humain peut exercer: le droit à la naissance

Ci-dessus: c'est toujours la même petite fille, le même petit garçon, qui grandit dans le ventre de sa mère, de la conception jusqu'à la naissance. C'est toujours le même être humain que l'on tuera si on l'empêche de naître. Il n'est pas moins vivant ou plus vivant selon le stade de son développement; il est toujours vivant.
À lire: L'avortement au Québec: 25 000 morts par année, filles et garçons

Ci-dessus: le petit être vivant, à un mois de grossesse
L'enfant, même non désiré, que tu portes en ton sein ne demande qu'à naître et vivre toute sa vie, n'oublie jamais cela. Il n'a pas à devenir la victime collatérale d'un imprévu. Il ne demande qu’à vivre et tu voudrais l'en empêcher? Personne ne peut s’arroger le droit de vie ou de mort sur un petit être humain en plein développement.
Est-ce qu'on laisserait une femme commettre sur un coup de tête un infanticide sur un poupon de 3 mois, un bébé de 1 an, un enfant de 3 ans? Personne ne pourrait laisser faire ça. Mais c'est pourtant la même petite fille, le même petit garçon qui était dans son ventre à 1 mois, 6 mois, 9 mois de grossesse. Ça n'a jamais été rien d'autre. Il (elle) était tout là, avec son bagage génétique complet, avec son plan de croissance activé, avec la vie en lui à 100% en cours de développement ininterrompu, de la conception jusqu'à la mort.
À lire: Le foetus en plein développement a le droit de naître

Ci-dessus: le petit être vivant, à 2 mois de grossesse
Comme ces petits êtres ne peuvent se défendre, c'est à nous qu'il revient de le faire pour eux. Il faut faire en sorte que tous les enfants conçus restent en vie, et qu'on ne puisse abréger leur existence, les privant de réaliser toutes leurs potentialités et de vivre toute la gamme des expériences humaines.
On déplore la perte d'être chers qui disparaissent trop tôt, que ce soit pour cause de maladie ou d'accident. On se désole lorsqu'ils meurent prématurément à 40, 20 ou 10 ans, considérant tout ce qui leur est enlevé comme expériences de vie. Imaginez alors tout ce dont on vous prive si on vous fait mourir à 1 mois, 6 mois, 9 mois de grossesse, même avant d'avoir vu une seule fois la lumière du jour.
À lire: Défendons le droit à naître de l'enfant

Ci-dessus: le petit être vivant, à 3 mois de grossesse
L'alternative avantageuse à l'avortement
L'alternative de loin préférable à l'avortement est simple: que l'adoption à la naissance avec compensation financière remplace l'avortement. C'est une alternative avantageuse pour tous les partis impliqués.

Ci-dessus: le petit être vivant, à 4 mois de grossesse
Ajouter un incitatif monétaire
La femme enceinte devient alors en quelque sorte une mère porteuse pour des parents adoptifs qui seront prêts à débourser en guise de salaire 2 500$ pour chaque mois de grossesse, pour un montant total arrondi à 25 000$. La mère donatrice recevrait donc 700$ par semaine, même si elle jouit déjà d'un revenu d'emploi, ce qui augmenterait de beaucoup ses revenus. Cet incitatif monétaire saura en convaincre plusieurs d'entre elles de mener leur grossesse à terme et de rendre heureuse une famille d'adoption bien disposée.
25 000$, c'est ce que dépensent certains parents à l'adoption internationale (sachant que ce sont souvent des enfants kidnappés ou vendus par leur pauvre mère miséreuse, le gros de l'argent allant à des corrompus). Faisons alors en sorte que cet argent reste plutôt dans notre économie et serve à récompenser les femmes enceintes donatrices de leur geste noble et généreux.

Ci-dessus: le petit être vivant, à 5 mois de grossesse
Optique nataliste
Pour sa part, le gouvernement, dans une optique nataliste, pourrait accepter que cette somme soit non imposable, afin de rendre la proposition encore plus avantageuse pour la mère donatrice. Il importe de songer au renouvellement de notre démographie historique qui a besoin d'encouragement.
À lire: Que le Québec se dote d'une politique nataliste efficace

Ci-dessus: le petit être vivant, à 6 mois de grossesse
Analogie avec le don d'organes
On admire les gens qui font le don d'organes, sauvant ainsi de nombreuses vies. Dans le même ordre d'idée, quoi de plus beau et généreux que de donner tout un petit être humain qu'on n'est pas en mesure d'élever soi-même à une famille aimante et motivée? Les deux gestes, don d'organes et don d'enfant, participent de la même attitude d'affirmation de la vie et de son caractère précieux et sacré.
Il faut valoriser au plus haut point ce don digne du plus noble altruisme, et faire en sorte que cela devienne une pratique courante et socialement approuvée de tous.
À lire: Le droit à la naissance, de M. Yvonnick Roy

Ci-dessus: le petit être vivant, à 7 mois de grossesse
Analogie avec les mères porteuses
Les mères porteuses rendent des parents heureux. Que les mères donatrices puissent en faire autant et être aussi utiles à la société.
Tous ces petits bébés sauvés seront les premiers à nous remercier un jour de leur avoir permis de naître et grandir.

Ci-dessus: le petit être vivant, à 8 mois de grossesse
Analogie avec la vie dans la nature
Dans la nature, toutes les plantes, de la plus petite à la plus grande, ne demandent qu'à mener leur vie de plante, à éclore, à croître.
Tous les insectes, du plus petit au plus grand, ne demandent qu'à mener leur vie d'insecte, à voler, à fonder une colonie.
Tous les animaux, du plus petit au plus grand, ne demandent qu'à mener leur vie d'animal, à courir, à explorer.
Tous les êtres humains, du plus petit au plus grand, ne demandent qu'à pouvoir mener leur vie d'être humain, à naître et grandir, à donner un sens à leur existence.
Toutes les créatures vivantes feront tout en leur pouvoir pour qu'on n'abrège pas d'un seul instant leur existence, tellement elle est précieuse et irremplaçable.

Ci-dessus: le petit être vivant, à 9 mois de grossesse
Conclusion
Le Québec a besoin de tous les enfants conçus sur leur terre natale, car ils incarnent le précieux capital humain renouvelant l'essence de la nation, notre peuple historique, notre avenir prometteur.
À lire: Nationalisme et politique nataliste vont de pair

Ci-dessus: 2 petits êtres vivants, 2 bébé naissants, jumeau et jumelle

Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondire davantage votre réflexion sur le sujet










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