Il existe une pratique tout à fait insensée qui a cours légal au Canada. Dès qu'un enfant d'étranger (même en voyage touristique) nait ici, il devient automatiquement canadien à vie. Cela s'appelle le droit du sol. Cela inclue même les enfants de migrants illégaux qui n'ont pas d'affaire ici. Quelle aberration!

On connaît cette arnaque très utilisée qui consiste à faire en sorte que des femmes étrangères (en général du tiers-monde miséreux ou de Chine) sur le point d'accoucher s'arrangent pour venir ici dans le seul but de faire automatiquement de leur enfant un citoyen canadien pouvant profiter de toutes les protections et avantages gratuits à vie, prévoyant même la pension de vieillesse dans 65 ans. Cette pratique on ne peut plus douteuse et condamnable s'appelle le tourisme de naissance.

Ci-dessus: photo politiquement correcte montrant une Blanche, alors que l'arnaque attire les femmes enceintes tiersmondistes

Ci-dessus: photo reflétant mieux la réalité des femmes enceintes tiersmondistes profiteuses

Cela leur est ensuite plus facile de demander la résidence permanente pour elle et le reste de la famille, en général nombreuse. Si jamais ils ne l'obtiennent pas, ils se reprennent en sachant que l'enfant peut revenir plus tard se faire payer un cours universitaire de 300 000$, se faire opérer par la médecine de pointe pour une maladie génétique rare avec médication gratuite à vie, etc. Quelle bande de profiteurs exécrables. La bassesse humaine est sans limite.

À lire: Des étrangères par centaines viennent accoucher ici juste pour obtenir la nationalité

Quelques mesures à prendre:

1- Considérant de tels excès et abus, il faut abolir complètement le droit du sol.

2- Un enfant né au Canada de 2 parents étrangers non résidents permanents ne pourra jamais bénéficier d'aucun droit spécial. Ce sont 3 étrangers qui le resteront à jamais et s'en retourneront chez eux.

3- Un enfant né d'un parent canadien et d'un étranger n'obtiendra sa pleine nationalité qu'à la majorité. Si les parents se séparent avant, le parent étranger et l'enfant étranger retourneront chez eux. C'est là une autre arnaque fréquente, appelée mariage de complaisance, qui consiste à épouser un Canadien juste pour obtenir la nationalité, et ils se séparent une fois celle-ci obtenue, une pratique courante dans les pays d'Europe de l'est).

Devant tant de crocheries, on comprendra aisément pourquoi de plus en plus de pays remettent en question le principe même du droit du sol.

Le droit du sang à préférer

Le droit du sang, déjà en application dans plusieurs pays, consiste simplement à décréter que les enfants héritent de la nationalité de leurs parents, quel que soit leur lieu de naissance.

La tendance à l'abolition du droit du sol s'élargit à l'international

En France par exemple, la pression est forte pour l'abolir dans les prochaines années, particulièrement dans une optique de la lutte à l'islam envahisseur, afin de permettre l'expulsion des indésirables qui en abusent allègrement pour se répandre, s'infiltrer et s'incruster, devenant des agents actifs de détérioration sociale.

Ci-dessus: en France

Ci-dessus: en France

Ci-dessus: 2 Français sur 3 contre

Aux États-Unis, la même remise en question est en cours.

Ci-dessus: un type d'arnaque immigrationiste qu'on ne veux plus voir se produire dans les pays avancés

Au Canada

Au Canada, c'est actuellement le Parti conservateur qui préconise l'abolition du droit du sol. Le gouvernement fédéral libéral de Mark Carney subit des pressions en ce sens.

À inclure dans la future constitution québécoise

La constitution québécoise actuellement en préparation devrait spécifier clairement qu'elle ne reconnait pas le droit du sol.

Et si une telle pratique dépassée continue de se faire au Canada, cette différence notable constituera un nouvel élément de différenciation entre les deux nations divergentes; elle s'ajoutera aux autres éléments qui, une fois réunis, démontrent sans l'ombre d'un doute la nécessité d'atteindre la souveraineté.

À lire: Accentuons la spécificité québécoise par des lois différentes du Canada pour s’en démarquer

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