IMMIGRATION

Zéro immigration tant que les 500 000 derniers immigrés n’auront pas réussi leur test de francisation

Seuils d’immigration à revoir à la baisse

E785397f1c840c16b12d7c8d00038bcc

Tribune libre

De plus en plus d'immigrants n'ayant jamais eu la moindre intention de s'intégrer à la société québécoise trouvent le moyen de contourner facilement les lois et les incitations à ce faire. Ils optent pour l'anglais, pratiquent le communautarisme, ne consomment d'aucune façon la culture québécoise et évitent tout contact avec la population native.



Conséquemment, ils mettent en péril la préservation de l'identité collective du peuple québécois et de sa culture. Ils nous décousent fil par fil.



Pour cette raison, il importe de ramener les seuils d'immigration à zéro pour les 5 prochaines années.



Il s'agit de viser zéro immigration tant que les 500 000 derniers immigrants reçus n’auront pas réussi leur test de francisation et d’intégration, un critère rendu nécessaire pour démontrer leur bonne foi, dont il est permis de douter jusqu'à preuve du contraire.



À raison de 50 000 immigrants par année, le chiffre de 500 000 correspond peu ou prou au nombre d'immigrants reçus ces 10 dernières années. En principe, ils devraient avoir amplement eu le temps d'accomplir leur devoir de nouveau citoyen.



Plusieurs tests sont disponibles pour vérifier le degré d'intégration. Ils serviront à départager le bon grain de l'ivraie, et à procéder contre les fautifs.


1- Test de francisation


2- Test d’intégration


3- Test de connaissance de la culture québécoise


4- Test d'histoire du Québec 


5- Test d'adhésion aux valeurs québécoises et de leur mise en pratique


6- Test de violence et de propension au crime


7- Évidence de dossier criminel


8- Test d'aptitude à voter



Tous ces tests et vérifications permettront de démontrer la capacité d'intégration limitée de certaines races, ethnies, provenances. Pour corriger le tir, ceux qui échouent seront relocalisés ailleurs au Canada. C'est plus simple et expéditif que de les retourner chez eux, ce qui du reste serait l'idéal.



Car quelqu'un qui a eu toutes ces années pour s'intégrer et qui ne l'a pas fait ne mérite tout simplement pas de vivre ici. Alors, on s'en débarrasse. Et c'est de sa faute.



À partir de ces résultats, les critères de sélection des candidats à l'immigration seront révisés pour rejeter d'avance les catégories de candidats au plus faible potentiel d'intégration complète et rapide (à accomplir dans un délai de 3 ans maximum). En général, cela correspond à tous ceux qui viennent du tiers-monde sous-développé économiquement, socialement, humainement, mentalement.



Il va de soi que la passation de ces examens obligatoires sera faite aux frais des immigrés.



Il y a fort à parier que sera une belle occasion de démontrer, chiffres et rapports à l'appui, que le degré d'intégration diminue depuis 25 ans, prouvant que les seuils d'accueil doivent être révisés à la baisse.



Le premier ministre québécois François Legault a tout à fait raison d'affirmer qu'un petit pays, c'est beau, que ce sont eux qui offrent la meilleure qualité de vie, et que cela vaut mieux que de céder à la noyade migratoire tel que voulue par les mondialistes et le patronat, tous deux volontairement aveugles et indifférents aux conséquences dramatiques que cela entraîne.



Zéro immigration tant que les 500 000 derniers immigrés reçus n’auront pas réussi leur test de francisation et d’intégration? J'appuie!



Note: Cliquez sur les mots surlignés en bleu pour approfondir votre réflexion sur le sujet


Featured 08e89f9ca3ccd008612a57afbfe02420

Réjean Labrie817 articles

  • 1 406 715

Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Plus de 815 articles publiés en ligne ont été lus un million 400 000 fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période de plus de 14 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





Laissez un commentaire



1 commentaire

  • Frédéric Charest Répondre

    3 octobre 2022

    Oui!