Les actes de violence ayant pour auteurs des africains et arabes ne connaît plus de limites sur le territoire du Québec. Il faut agir, et vite à part ça. Un test psychologique visant à vérifier la propension à la violence et l'impulsivité doit leur être administré avant leur acceptation conditionnelle au pays.
Il ne se passe pas une semaine, un jour, sans qu'on rapporte des crimes de plus en plus violents mettant en cause des africains ou des arabes. Cela contribue directement à l'ensauvagement de la vie en société.
Cette plus grande violence observée chez les africains et les arabes se traduit par des attitudes innées, des comportements à risque et une plus grande propension à pratiquement tous les genres de crimes et méfaits imaginables:
1- pourcentage de criminalité plus élevé par rapport à leur nombre
2- maltraitance physique sur une base régulière de l'épouse et des enfants
3- recours à l'aggression physique plus facilement
4- attaques sur des policiers avec vol d'armes
5- formation de plus de gangs de rue
6- guerre des gangs sanglante faisant des victimes collatérales innocentes
7- prostitution adulte et juvénile de noires, proxénitisme
8- intimidation scolaire
9- insécurité de la population accrue par leur faute
10- radicalisation religieuse menant aux actes terroristes
11- plus d'actes violents gratuits et de voies de fait
12- vandalisme, graffitis
13- vols d'auto
14- actes sordides propres au tiers-monde barbare (comme immoler sa femme ou mutilation corporelle infligée)
15- vente de drogue
16- trafic de Blanches
17- pornographie
18- trafic d'armes prohibées
19- fraude en tout genre, incluant l'hameçonnage informatique
21- extorsion
22- augmentation des plaintes pour femmes battues et menacées de mort
24- hausse du pillage lors de manifestations non pacifiques
25- hausse du grabuge dans les prisons
27- hausse de la dangerosité de certains parcs, secteurs, quartiers complets
28- vols par effraction
29- braquage de banques, de commerces
30- enlèvements et séquestration
En fait, il y a un accroissement marqué de la violence dans la société québécoise qui est attribuable en bonne partie à la présence de ces communautés naturellement plus violentes et impulsives que les Occidentaux. Les statistiques officielles sont plus qu'éloquentes à ce propos (voir les citations à la fin de l'article).
A- ils sont plus nombreux en comparaison du pro-rata
B- ils se déclenchent plus facilement (impulsivité)
C- ils atteignent un degré plus élevé de force et de sauvagerie utilisées
D- ils se répètent à une plus grande fréquence (exemple: battage de femme et enfants)
E- il y a récidive dès la sortie de prison
F- les criminels coupables ne montrent aucun repentir, aucun remord, aucun désir de s'amender, aucune considération pour les victimes, aucune volonté de se réhabiliter
Pour toutes ces raisons, tout candidat au statut d'immigrant d'origine africaine et arabe doit subir une évaluation psychologique complète (à ses frais) dans le but de déterminer avec précision le degré de propension à la violence et à l'impulsivité du requérant, incluant une vérification fouillée de ses antécédents en la matière, ainsi qu'une enquête sur l'existence d'un casier judiciaire chargé.
Grâce à de telles mesures préventives serrées, peut-être serons-nous en mesure d'éviter que ne soient commis autant de crimes, aggressions, blessures, meurtres envers les citoyens formant la population québécoise.
* * *
Pour terminer, voici quelques statistiques officielles.
À remarquer que les auteurs des rapports dénotent une nette tendance à la hausse.
Citation 1:
The findings indicate that Caucasians, along with Asians, are under-represented in the Canadian federal correctional system, while Blacks are over-represented. As noted earlier, there is a similar disproportionate representation of Blacks in correctional facilities in the United States (Stephan, 2001) and England/Wales (Elkins & Olgundoye, 2001).
Differences emerge when specific groups are examined. For instance, although they account for about 2% of the population in Canada, Blacks make up 6% of offenders incarcerated in federal correctional facilities and 7% of those serving time in the community.
La surreprésentation des noirs en prison se vérifie dans tous les pays. Ils sont 3 fois plus nombreux que leur pourcentage de la population.
Citation 2:
Depuis 2003, le nombre de Noirs incarcérés dans des prisons fédérales a augmenté de 80 % et celui des autochtones, de 46 %, tandis que le nombre de personnes blanches a diminué, lui, de 3 %.
« L’augmentation récente de la population carcérale est presque exclusivement due à la croissance du nombre de délinquants de différentes origines ethniques et culturelles », conclut l’enquêteur correctionnel, Howard Sapers, dans son rapport annuel déposé mardi au Parlement.
Il y note qu’en 2013, les Noirs représentent 9,5 % de tous les prisonniers fédéraux alors qu’ils ne forment que 2,9 % de la population canadienne générale. Ce déséquilibre existe aussi pour les autochtones, eux qui constituent le quart de tous les détenus, mais 4,3 % de la population du pays.
La population carcérale d'origine autochtone a augmenté de 46,4 % au cours des 10 dernières années, selon le rapport de l'enquêteur correctionnel Howard Sapers, pendant que les membres des minorités visibles – les Noirs, les Asiatiques et les Hispaniques - ont vu leur nombre exploser de 75 %.
Le nombre de Noirs a particulièrement augmenté de 80 % au cours des 10 dernières années. Ils représentent près de 10 % de la population carcérale canadienne (9,5 %) alors qu'ils représentent moins de 3 % de la population civile.
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