L'ÉDI, une idéologie à combattre et éliminer au nom du bon, du bien et du juste

Équité, diversité, inclusion: des mots utilisés de façon trompeuse et abusive

Les mondialistes tordent le sens de ces mots à mauvais escient

1c3ea07d3332b5ba6e4ab945363e3f2d

Tribune libre

On parle beaucoup d'une nouvelle idéologie sectaire qui tente de prendre le contrôle de nos institutions et en réorienter l'approche des choses, dans le but avoué de nous rééduquer, nous reformater, nous soumettre, nous diminuer. Elle s'insinue, s'invite, elle cherche à s'imposer.


Cette idéologie aversive s'appelle ÉDI, pour équité, diversité, inclusion.


Voir ici à quel point elle est répandue dans nos institutions d'enseignement et y sème la terreur.



Voyons voir comment ces grands prêtres célébrant leurs messes noires souterraines et débordant de mauvaises intentions sataniques s'y prennent pour nous berner, pour se faire passer pour les bons contre nous les soi-disant méchants.


Photo de propagande: une majorité de multiethniques et multiraciaux présentés comme l'avenir de remplacement des sociétés occidentales


 


Pour nous forcer à se soumettre malgré nous à cette indéfendable idéologie qu'est l'ÉDI, on choisit tout d'abord des mots (équité, diversité, inclusion) qui dégagent une connotation positive communément admise, et puis on en tord le sens de manière abusive pour imposer tout un programme d'actions mauvaises et nuisibles, en disant: "comment pourrait-on être contre ces beaux grands mots parlant de fraternité universelle, de concorde, de bonne entente, de compréhension mutuelle, d'ouverture à l'autre la main tendue, et d'harmonie entre les êtres humains? Cela ferait de vous des grands méchants, des bandes de pas fins. Vous voyez bien que c'est nous qui sommes les vertueux, les bien-pensants, les gentils. Nous savons ce qui est bien pour vous. Et vous n'avez même pas le choix d'y adhérer. Ne voulez-vous pas être du bon bord?".



Photo de propagande: une majorité de multiethniques et multiraciaux présentés comme l'avenir de remplacement des sociétés occidentales


 


Déboulonnons toutes ces faussetés.


 


- L'équité, c'est bien en général. Mais c'est mal lorsqu'on l'invoque pour remplacer les qualifications, le mérite, les compétences, l'expérience, les réalisations reconnues, par le pistonnage racial, ethnique, en fonction du genre, de l'orientation sexuelle, etc.


C'est non à l'équité dans ce sens-là.


 


- La diversité, c'est désirable au niveau mondial: diversité des plantes, des espèces animales, des peuples, des cultures. Mais c'est mal au niveau local. La diversité dans un état de petite taille et une population homogène comme celle du Québec dissout l'irremplaçable identité collective, gangrène sa culture distincte, amenuise sa population de souche, met en péril sa langue, ses moeurs et son mode de vie.


C'est non à la diversité dans ce sens-là.


 


- L'inclusion, c'est bien en général, par exemple inclure un nouveau joueur de hockey pour qu'il sente qu'il fait partie de l'équipe. Mais c'est mal si cela signifie accepter qu'un immigré refuse d'apprendre le français, ne consomme pas la culture québécoise, ne vive pas selon nos règles et valeurs, qu'il cherche à faire passer sa religion au-dessus de nos lois, qu'il conteste judiciairement les lois voulues démocratiquement par la majorité, qu'il se concerte pour empêcher la nation d'atteindre son indépendance libératrice légitime. La bonne attitude à adopter face à lui est alors l'exclusion.


C'est non à l'inclusion dans ce sens-là.


 


Autrement dit, ces 3 termes dont on tord abusivement le sens ne sont pas désirables lorsqu'on s'en sert comme l'ÉDI le fait par fanatisme idéologique, par sectarisme destructeur, pour tromper la population, nous laver le cerveau.



Photo de propagande: et voilà, c'est fait: plus aucun Blanc dans les jambes!


 


Par bonheur, nous avons un premier outil de riposte dans la récente loi 32, qui est censée protéger la liberté d'expression et d'opinion, le droit de penser et de débattre des idées dans les établissements d'enseignement supérieurs dans le but de déjouer les vils idéologues qui cherchent à en prendre le contrôle.



Photo de propagande: un monde enfin débarrassé des Blancs! On ne cache pas sa joie!


 



Image ci-dessus: l'ÉDI sous les traits forts ressemblants de Belzébuth


 


N'hésitons pas à recourir à la loi 32 chaque fois que la diabolique ÉDI pointe sa tête de Belzébuth maléfique dans toutes les sphères de la société.



Photo de propagande: le monde idéal de l'ÉDI:  un monde dédié à l'exclusion des Blancs. Mais qui en veut, sauf les principaux intéressés, c'est-à-dire les remplaceurs de population?


 


En conclusion, il faut opposer un non catégorique à tous ceux qui prônent l'idéologie malfaisante de l'ÉDI et s'activer à les mettre en déroute, comme on doit le faire tout autant pour les bandes de wokes, une autre engeance méprisable qu'il faut mettre hors d'état de nuire.



Photo de propagande: une majorité de multiethniques et multiraciaux présentés comme l'avenir de remplacement des sociétés occidentales


 


Contre l'endoctrinement de l'ÉDI, la loi est désormais de notre bord, la loi 32 québécoise. Ce sont donc bien les Édistes qui sont les méchants dans cette histoire.


 


Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir votre réflexion sur le sujet


Featured 08e89f9ca3ccd008612a57afbfe02420

Réjean Labrie812 articles

  • 1 403 639

Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Plus de 810 articles publiés en ligne ont été lus un million 400 000 fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période de plus de 14 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





Laissez un commentaire



5 commentaires

  • Réjean Labrie Répondre

    17 décembre 2023

    Le programme Équité, diversité, inclusion que certains universitaires gauchistes wokes veulent implanter pour reformater la population fait face à de plus en plus d'opposition, même sur le plan légal.


    Le gouvernement de Floride a signé des lois pour mettre un terme aux programmes sur la diversité dans les universités publiques de son État, relevant son image de pourfendeur de la «bien-pensance».


    Après des restrictions sur l'avortement ou l'immigration clandestine, on a  adopté des lois concernant les campus, que la droite accuse régulièrement d'être le fief de gauchistes «woke» intolérants.


    Le gouverneur déclaire: "ils ont été utilisés comme vernis pour imposer un programme idéologique et devraient plutôt s'appeler Discrimination, Exclusion et Indoctrination",


    Source: Comment combattre le programme Équité, diversité, inclusion par des moyens légaux


    Contactez votre député pour que de telles lois soient adoptées au Québec.



  • Réjean Labrie Répondre

    8 juin 2023

    L'Université anglophone McGill applique allègrement l'idéologie tordue "Équité, diversité, inclusion".


    Elle rejette le meilleur candidat, parce que c'est un Québécois de souche, un homme, un Blanc, un francophone, du nom de Jonathan Dagenais.


    Ce futur professeur apprécié de tous ses pairs s'est vu rejeté afin de favoriser une autochtone anglophone d'une autre province aux compétences et qualifications beaucoup moindres.


    Comme le souligne si bien M. Mathieu Bock-Côté:


    "Le doyen de l’école de musique de McGill a décidé de faire fi des recommandations du comité pour embaucher plutôt la deuxième candidate en lice, ayant toutefois deux avantages qui lui manquaient: c’est une femme issue de la «diversité» – dans ce cas particulier, c’est une Autochtone du Manitoba. 


    Autrement dit, même s’il est arrivé premier au concours, Jonathan Dagenais n’a pas obtenu le poste, et même si sa rivale est arrivée deuxième, elle l’a obtenu."


    (fin de la citation)


    En octobre 2022, l'École de musique Schulich de McGill affiche un poste de professeur adjoint de direction instrumentale, spécialisé en instruments à vent. 


    M. Dagenais, qui est chargé de cours à l’École depuis 2021, fait partie des trois finalistes pour le poste. En février dernier, il participe donc à l’audition finale, qui implique notamment une performance comme chef d’orchestre et une démonstration d’enseignement. 


    Quelques semaines plus tard, le comité de sélection, composé de sept professeurs et étudiants, recommande au doyen de choisir M. Dagenais pour occuper ce poste.


    Mais le doyen de l’École, Sean Ferguson, décide d’aller à l’encontre de cette recommandation, « doutant de la justesse des conclusions » formulées par le comité de sélection, peut-on lire dans une lettre de McGill obtenue par notre Bureau d’enquête.


    Il jette alors son dévolu sur la deuxième candidate en lice, une femme issue d’une nation autochtone, native du Manitoba, qui a passé les dix dernières années à enseigner aux États-Unis. La candidature est ensuite avalisée par le vice-principal exécutif de l’Université.


    A-t-on évalué au moins sa maîtrise du français pour vivre à Montréal, ou viendra-t-elle rejoindre le club sélect des pdg d'Air Canada à la Michael Rousseau qui se vantent de pouvoir vivre entièrement en anglais dans la métropole?



    Ci-dessus: le talentueux chef d'orchestre québécois Jonathan Dagenais


     Les étudiants se mobilisent


    Dans la foulée de cette nomination, une trentaine d’élèves de l’École de musique Schulich ont fait parvenir une lettre au doyen Ferguson, lui demandant de revoir sa décision en faveur du chef d’orchestre Jonathan Dagenais.


    « Nous apprécions quand les décisions sont prises en se basant sur le mérite, le talent et les qualifications, sans égard à l’origine, le genre, l’orientation sexuelle [et] la classe sociale [...] », ont écrit les cosignataires, qui ont d’ailleurs souligné la sensibilité de M. Dagenais aux enjeux de diversité. 


    Ce programme Équité, diversité, inclusion basé sur le racisme anti-Blanc doit être combattu et anéanti.


    Note: impossible de trouver le nom de l'autochtone usurpatrice, ni sa photo, bien cachés par les médias comme d'habitude.


    Sources: La discrimination raciale est permise, et même encouragée, si elle vise les hommes blancs!


    McGill aurait écarté un enseignant parce qu’il est un homme blanc


    500 000 autres Michael Rousseau de trop habitent à Montréal



  • Réjean Labrie Répondre

    26 janvier 2023


    L'application aveugle des programmes anti-Blancs, donc anti Québécois de souche, de l'ÉDI (équité, diversité, inclusion) semble vouloir s'infiltrer partout, même au mouvement Desjardins.


    Ces programmes nocifs de favoritisme injustifiable ne semblent susciter aucune forme de résistance de la part de bien des responsables et administrateurs serviles.


    Voici un de leur récent appel de candidatures:


    Postes en élection et profils recherchés.


    4 postes en élection Le conseil d’administration est particulièrement à la recherche de membres avec les profils suivants :


    • 2 femmes et 2 hommes pour maintenir la parité. Les personnes non binaires sont également invitées à soumettre leur candidature.


    • des membres appartenant aux groupes d’âge suivants : 1 de 18-34 ans, 2 de 35-49 ans et 1 de 50-64 ans.


    • 1 personne représentant la diversité ethnoculturelle


    Source: Desjardins



    De telles exigences doivent être interdites par les lois québécoises qui doivent protéger et favoriser sa population majoritaire, pas les étrangers profiteurs ou potentiellement malhonnêtes.


    Référence:  Un immigré étranger maghrébin nommé Cédric Carrié FRAUDE SON EMPLOYEUR DESJARDINS POUR 243 000 $



     

  • Réjean Labrie Répondre

    18 janvier 2023

    Bonne nouvelle dans la lutte contre le wokisme et l'ÉDI fédéral.



    Universités: la ministre Pascal Déry s’élève contre la censure et l’exclusion des hommes blancs


    La ministre Pascale Déry envoie un message clair aux directions d’universités : la censure et l’exclusion de candidats pour favoriser la diversité n’ont pas leur place sur les campus.


    «Sous aucune condition nous ne devrions tolérer la censure dans les milieux académiques, écrit la ministre de l’Enseignement supérieur dans une lettre envoyée lundi aux recteurs et rectrices du Québec. La censure inhibe la pensée, et la réflexion sous l’emprise de la peur entrave la poursuite de l’excellence qui est au cœur de la mission universitaire. Nous ne saurions sacrifier la liberté académique au nom de certaines luttes spécifiques, au risque d’y perdre les deux en bout de ligne.» 


    Un coupable récent: L’Université Laval s’est également retrouvée dans la controverse après l’exclusion d’hommes blancs dans le processus d’embauche pour des postes de recherche puisqu’ils contrevenaient aux critères fédéraux d’Équité, Diversité et Inclusion des Chaires de recherche du Canada. 


    Dans sa lettre, la ministre écrit d’ailleurs que ces exigences du fédéral ne doivent pas entraîner «quelque forme que ce soit de discrimination ou d’injustice». 


    «Or, les exigences Équité, Diversité et Inclusion (EDI) des programmes de Chaires de recherche du Canada, fixées par le gouvernement fédéral, viennent plutôt restreindre certains droits et réduire la primauté des notions de compétence et d’excellence», déplore-t-elle. 


    Après l’entrevue, son cabinet a précisé que Québec souhaite notamment convaincre le gouvernement fédéral de revoir les quotas à respecter afin qu’ils reflètent la réalité québécoise, plutôt que la moyenne canadienne. 


    Référence: Riposte musclée à l'ÉDI


    La position du gouvernement rejoint celle que je défends depuis des années. Applaudissons.


  • Normand Bélair Répondre

    30 décembre 2022

    Encore une fois, merci de le dire...