J'ai toujours prétendu que dans une optique visant l'excellence, un poste devait être toujours accordé en fonction du mérite, des qualifications, des compétences, de l'expérience, du talent, mais jamais en fonction de la race, de l'ethnie, du genre, de l'orientation sexuelle, de la religion, d'un handicap, ou de l'appartenance à une quelconque minorité.
Je me prononçais déjà sur la question en 2020 : Non à la discrimination positive, synonyme de favoritisme ethnique.
Le gouvernement du Québec, à l'unanimité avec tous les partis d'opposition, semble rejoindre mes vues.
En effet, ils ont tous condamné d'une seule voix l'intention de l'Université Laval d'offrir un poste à des non-Blancs, alors que 90% des Québécois sont blancs. On nous élimine intentionnellement et en bloc de notre propre marché du travail! Quelle impudence!
C'est de la discrimination anti-Blancs. C'est de la ségrégation anti-Blancs. On cherche à nous refouler, à nous tenir à l'écart, comme si on n'était plus du tout chez nous.
Voilà où nous mènent les égarements découlant de l'obéissance aveugle à l'idéologie diversitaire mangeuse de chair blanche.
Et c'est un geste d'autant plus méprisable que l'institution universitaire admet le faire uniquement dans le but d'obtenir des subventions canadiennes fédérales qui imposent comme conditions la diversité et l'ethnicisation de la société, des mesures de dilution sociale visant directement le remplacement du peuple québécois en place.
De tels critères de sélection des candidats sont inadmissibles, car ils cautionnent expressément:
1- la médiocrité
2- le rendement inférieur qu'on passera sous silence
3- des résultats de projets n'atteignant pas les objectifs visés
4- la protection du candidat inférieur pour qu'il ne soit pas délogé de son poste
5- les conflits interpersonnels inévitables
6- le ressentiment justifié contre une telle injustice, qui est une forme de favoritisme inacceptable
7- et indirectement l'influence et l'emprise de certaines religions étrangères dépassées auxquelles se soumettent servilement certains postulants d'abord et avant tout dans toutes leurs prises de décisions et d'orientation, leur fonctionnement personnel et relationnel.
Ce scandale honteux n’est que la pointe de l’iceberg diversitaire fondant sur nous pour nous noyer.
En effet, vous apprendrez sans surprise que la Ville de Québec, sous l'égide de son ex-maire Régis Labeaume, utilise depuis belle lurette un programme d'embauche du même acabit, accordant la priorité aux minorités en tout genre avant les natifs.
C'est ce même maire intempestif qui déclarait à Stéphane Bureau, que la ville de Québec était « trop blanche et trop catholique » à son goût, et qu'il comptait y remédier...
Et combien d'autres villes et institutions sont-elles coupables d'un tel geste anti-Québécois? On serait surpris d'en connaître la liste exhaustive. Et combien d'autres universités et établissements d'enseignement, de centres de recherches, d'hôpitaux?
Offrir des emplois aux minorités de préférence aux natifs, ça se fait déjà à maints endroits. Prenez Radio-Canada. C'est exactement comme ça que ça fonctionne. On n'a qu'à prendre les bulletins de nouvelles pour s'en apercevoir.
Une enquête approfondie serait de mise. Que les émissions comme Enquête se penchent là-dessus.
On remarquera que tous ces règlements d'embauche sont adoptés en catimini, sans que la population ne sache vraiment de quoi il retourne. On nous joue dans le dos. Et personne n'ose s'y opposer, de peur d'être stigmatisé.
Il est ironique de remarquer que l'affaire a été dénoncée par l'humoriste Guy Nantel, plutôt que par un journaliste. Les journalistes sont tous au courant de tels malversations mais aucun d'eux n'oserait enfreindre le sacro-saint tabou de la diversité imposée. Chou!
Dans le cas des immigrés, la règle de base à suivre est pourtant simple :
Jamais un étranger ne doit occuper un emploi qu’un Québécois natif peut remplir.
On ne veut pas de voleurs de jobs.
Voyez ce que ça donne de laisser entrer au pays des hordes d'étrangers du tiers-monde: ils mettront tout en oeuvre pour prendre notre place et nous remplacer, avec la complicité de certaines autorités.
Bravo à nos élus d’avoir eu le courage de dénoncer l'intention de l'Université Laval unanimement et haut et fort. La nation leur en est reconnaissante.
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