Les médias se régalent des anicroches survenant lors de grands événements. Il suffit de 2 ou 3 pancartes de manifestants gesticulant devant l'endroit, et ces derniers auront droit à leurs 5 minutes de gloire au bulletin de nouvelles à l'heure de pointe et diminuant par le fait même le temps d'antenne consacré à l'événement faisant l'objet du reportage.
Et ces mêmes médias avides de scandale et de croustillant ont été bien servis cette année lors de la remise des trophées Oscar à Hollywood.
Le célèbre acteur Will Smith a en effet agressé le maître de cérémonie Chris Rock en montant sur la scène et en frappant l'humoriste au visage en direct devant le monde entier abasourdi devant l'impulsivité du geste et la perte de contrôle flagrante d'un Will Smith devenu fou de rage, dont l'égo démesuré doit se croire tout permis, incluant le droit d'interrompre un gala télévisé pour mettre en scène une bagarre de ruelle, comme les gangs de rue de couleur s'y adonnent dans les quartiers mal famés de Montréal-Nord.
L'agression physique fut suivie d'une agression verbale menaçante, Will Smith se mettant à invectiver la victime de sa place assise et continuant d'interrompre le déroulement minuté de l'émission à grand déploiement, où on s'attendrait à plus de décorum et de comportements civilisés.
Photo: Will Smith continuant à apostropher l'animateur qu'il vient de frapper devant tout le monde
Paraît-il que Will Smith n'aurait pas digéré une mauvaise blague malvenue sur la condition médicale d'alopécie de sa femme. Doit-on en venir aux coups pour autant? N'aurait-il pas pu simplement attendre après la cérémonie pour aller s'expliquer en tête-à-tête avec Chris Rock?
Examinons comment la regrettable situation pourrait se transposer au Québec, et tout ce qui vient compliquer l'analyse des gestes posés, selon la grille d'interprétation utilisée, et les idéologies qui veulent s'imposer.
1- Si l'animateur agressé avait été blanc, on aurait dit que l'acteur noir ne faisait que défendre les droits de sa race, comme le wokisme exige de le faire.
2- Si Will Smith avait été blanc et qu'il avait agressé un animateur noir, on aurait crié au racisme et il serait déjà en prison.
3- Si Chris Rock avait riposté à l'agression, est-ce que les 2 pugilistes se seraient battus en règle, roulant sur le tapis rouge sang jusqu'au KO technique? Il y a tout lieu de le craindre.
4- Si on avait souligné que Will Smith a agi de manière impulsive et violente, 2 traits fortement associés à la race noire qui remplit 5 fois plus que les Blancs les prisons américaines, il y aurait eu un tollé de protestations pour dissimuler les statistiques officielles.
5- Si les 2 belligérants avaient été blancs, on aurait dit: encore 2 gros égos, 2 épais mal élevés saouls ou cocaïnés qui se moquent des conventions, mais qui nous donnent un sacré bon spectacle. C'aurait été de la comédie de mauvais goût, et tout le monde aurait cru que c'était arrangé, une frasque à la Saturday Night Live.
6- Si l’épouse offensée de Will Smith était montée elle-même sur scène pour gifler l’offenseur, les néo-féministes auraient applaudi le geste dans la lignée de l’empowerment.
7- Si l'épouse offensée de Will Smith était de race blanche et était montée sur scène pour gifler l'offenseur, on aurait dit: "c'est une pauvre folle hystérique, faites-la taire, qu'on l'enferme à l'asile". Mais en étant de race noire, on aurait alors tenu un langage différent et mieux calibré dans le genre: "c'est une héroïne des droits civiques, du Black lives matters, du wokisme, du MeToo, elle défend ses droits et de tous ceux de sa race. Applaudissons d'emblée son geste". Comme on le voit, c'est du 2 poids, 2 mesures.
8- J'ai entendu dire qu'aux États-Unis, l'acte commis impliquait une poursuite automatique pour voies de fait, même sans plainte de l'agressé. Ici, semble-t-il faut qu'il y ait un plaignant sinon on balaie le tout sous le tapis et on n'en parle plus.
Photo: l'humoriste fautif Mike Ward
9- Si Will Smith était le père du petit Jérémy et que les deux étaient assis ensemble durant le premier spectacle de Mike Ward s'en prenant sans pitié au handicap du petit Jérémy et à ses infirmités, est-ce qu'il se serait levé pour aller souffleter l'humoriste sans coeur? Est-ce qu'il aurait accepté de bonne grâce que Mike Ward répète le même numéro avec un acharnement sadique plus de 300 fois par la suite, le sourire cruel aux lèvres? Mike Ward s'en prenait par extension à tous les handicapés avec ses propos euthanasiants déplacés. Ils se sont tous sentis visés. Ce n'est pas rien.
10- Certains observateurs estiment que cet acte d'agression n'entachera aucunement la réputation de l'acteur Will Smith, qu'il pourra s'en sortir indemne et poursuivre sa carrière en réclamant les mêmes cachets astronomiques qu'avant. Au Québec en revanche, sa carrière serait déjà terminée et il serait devenu un paria méprisé.
Photo: l'acteur Will Smith dansant et festoyant avec son trophée à la main après la cérémonie, insouciant de son geste et faisant comme si rien ne s'était passé.
Dans le cas de Will Smith, il est à craindre que le capital de sympathie envers les Noirs accumulé depuis le Black Lives matter (la vie des Noirs, ça compte) soit réduit à néant, comme cela se produit chaque fois qu'un Noir en vue se rend coupable d'un quelconque délit.
On comprend que selon la configuration des pions sur l'échiquier de la situation, on évaluera et jugera la même réalité différemment. Et que la décision finale dépendra de la force des idéologies qui s'entrechoquent.
Bien-pensance, wokisme, liberté d'expression, légitime défense, honneur bafoué, recours judiciaire, culture de l'annulation, on brasse le cocktail explosif, avec pour résultat net l'hypertrophie de cette confusion qui caractérise l'époque actuelle, où tout acte (et ses conséquences) peut se voir relativisé selon les droits que l'on peut invoquer pour le justifier.
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6 commentaires
Réjean Labrie Répondre
26 septembre 2024Le monde violent et misogyne des rappeurs de race noires se rend jusqu'à nous.
Un agresseur rappeur étranger somalien de race noire nommée K'naan Keinan Abdi Warsame a agressé sexuellement une Québécoise blanche après son spectacle au Festival d'été de Québec.
Photo ci-dessus: lorgnant se prochaines victimes soumises à l'homme dominant?
L'agresseur rappeur étranger somalien de race noire nommée K'naan Keinan Abdi Warsame n'a pu s'empêcher d'assouvir sauvagement les bas instincts primaires qui le caractérisent, comme dans son pays de misère.
Ce n'est pas parce qu'un barbare comme l'agresseur rappeur étranger somalien de race noire nommée K'naan Keinan Abdi Warsame s'en vient vivre ici qu'il devient automatiquement civilisé comme par magie. Non, les pulsions primitives innées ne se changent pas.
Ce n'est décidément pas une bonne idée d'en remplir l'Occident à coup de boat people débordants. Ensauvagement garanti.
Référence: l'agresseur rappeur étranger somalien de race noire nommée K'naan Keinan Abdi Warsame en cour
Réjean Labrie Répondre
25 septembre 2024Le rappeur de race noire Sean Diddy Combs vient d’être arrêté et croule sous les accusations.
Cela illustre clairement que même si un individu atteint célébrité, richesse, pouvoir, il reste ce qu’il a toujours été depuis le début. On ne peut changer les prédispositions innées. On l’a vu avec un Will Smith resté violent et impulsif, on le voit à nouveau avec le rappeur Sean Diddy Combs. Malgré sa vie opulente dans le monde des riches et célèbres, le rappeur ouvertement misogyne ne songeait qu’à assouvir ses bas instincts sexuels primaires, usant de violence si nécessaire, consommant drogues et alcool, et cherchant à affirmer sa puissance par tous les moyens.
Le rappeur Sean « Diddy » Combs a été arrêté lundi soir à Manhattan après avoir été inculpé par un grand jury pour racket et trafic sexuel, des mois après que le magnat de la musique ait été frappé par une série de poursuites civiles pour agression sexuelle.
Un tribunal fédéral de Manhattan dévoile les accusations portées contre Combs pour racket, trafic sexuel et transport en vue de se livrer à la prostitution, alléguant qu'il « a abusé, menacé et contraint des femmes et d'autres personnes autour de lui à assouvir leurs désirs sexuels, à protéger sa réputation et à dissimuler sa conduite ».
La plaignante April Lampros accuse Combs dans un procès intenté jeudi à New York d'agression sexuelle lors de quatre «rencontres sexuelles terrifiantes» entre 1995 et 2001, dont trois incidents de viol et un cas où Combs l'a forcée à prendre de l'ecstasy.
L'ancienne mannequin Crystal McKinney porte plainte devant le tribunal fédéral de Manhattan, accusant le rappeur de l'avoir droguée et agressée sexuellement dans son studio d'enregistrement de New York en 2003.
En février, le producteur Rodney « Lil Rod » Jones poursuit le rappeur à New York et allègue qu'il a été « soumis à des avances non désirées de la part d'associés de Diddy sous ses ordres » et qu'il a été contraint d'entretenir des relations avec des travailleuses du sexe qu'il avait embauchées. Dans une série d'allégations largement couvertes, Jones affirme dans le procès que Combs organisait régulièrement des « soirées de trafic sexuel » avec des femmes mineures et des drogues illégales, et implique que les dirigeants de maisons de disques qui détournaient le regard ont bénéficié financièrement de l'accès aux célébrités et aux dignitaires.
Combs fait l'objet d'une autre poursuite pour agression sexuelle en décembre, accusant le rappeur d'avoir drogué et participé à un viol collectif sur la femme anonyme en 2003, alors que l'accusateur avait 17 ans.
Sa conjointe Cassie Ventura porte plainte contre Combs, alléguant qu'il l'a violée en 2018 et l'a soumise à une relation abusive de plusieurs années qui comprenait des violences physiques et son affirmation de « contrôle total » sur sa vie personnelle et professionnelle.
Cela illustre clairement que même si un individu atteint célébrité, richesse, pouvoir, il reste ce qu’il a toujours été depuis le début. On ne peut changer les prédispositions innées. On l’a vu avec un Will Smith resté violent et impulsif, on le voit à nouveau avec le rappeur Sean Diddy Combs. Malgré sa vie opulente dans le monde des riches et célèbres, il ne songeait qu’à assouvir ses bas instincts sexuels primaires, usant de violence si nécessaire, consommant drogues et alcool, et cherchant à affirmer sa puissance par tous les moyens.
Ce que toute cette litanie de crimes et méfaits odieux s'étendant sur une si longue période permet de constater, c'est que la richesse de Combs lui a servi à assouvir tous les mauvais bas instincts innés qu'il avait déjà en lui. Il n'attendait que ce moment pour exiger la gratification immédiate et insatiable de ses pulsions primaires. Et sa célébrité servait à se dire "personne n'osera jamais s'en prendre à moi, je suis tout-puissant et invulnérable".
Devenir riche et célèbre ne rend pas automatiquement quelqu'un distingué, évolué, raffiné, avec de bonne manières et du goût. Oh que non, chassez le naturel et il revient au galop. La programmation génétique ne ment pas. Les prédispositions naturelles, les mauvais penchants sont présents dès le départ, et ne peuvent être modifiés de quelque façon que ce soit ultérieurement. Ce cas déplorable l'illustre parfaitement.
Source: Un rappeur violent enfin arrêté
Réjean Labrie Répondre
29 juin 2024Il n'y a pas qu'à Hollywood que ce genre d'actes disgracieux se produisent.
Dans le monde du spectacle américain, les rappeurs noirs misogynes s'enlisent dans la violence.
Le rappeur américain de race noire Puff Daddy fait l'objet de poursuites pour agression sexuelle, violence conjugale, maltraitance et traite des Blanches. 2 de ses fils viennent d'être arrêtés pour à peu près les mêmes raisons. Tel père, tels fils. Même transmission génétique.
Donnez à quelqu'un la richesse subite, la gloire instantanée, la puissance, l’emprise dominatrice sur les femmes tant que vous voulez, cela ne fera pas de vous un bienfaiteur de l'humanité, quelqu'un de bien, un généreux philanthrope.
Rien ne peut malheureusement changer une génétique chargée, l'inclination à la violence innée, les prédispositions naturelles transmissibles, les pulsions primaires à assouvir dans un irrespect total des femmes. Et c'est une mentalité, une culture qui viennent ensuite les renforcer à outrance.
Source: Violence de père en fils dans le monde du rap
et: Puff Daddy, trafic sexuel
Réjean Labrie Répondre
17 décembre 2023Les personnalités de race noire qui perdent le contrôle et posent des gestes de violence brutale se multiplient. Et ce n'est pas seulement dans le monde du rap noir mysogine et assoiffé de puissance.
Le célébre acteur des films Marvel Jonathan Majors est poursuivi pour violence conjugale et brutalité s'étalant sur des années.
Majors est accusé d'une décennie de relations dans lesquelles il aurait été contrôlant, manipulateur et, dans certains cas, physiquement violent. Aujourd’hui, un dossier judiciaire dans l’affaire Majors a révélé que les procureurs recherchent des informations sur un rapport de police supplémentaire lié à l’affaire.
Vidéo le montrant en train d'agresser sa femme en la rouant de coups
Source: Jonathan Majors
Ces accusations sont le portrait type de trop de relations de couples impliquant des gens de couleur. Cela semble être leur normal, malheureusement.
On comprend que malgré la richesse, la célébrité, l'adulation, on ne devient pas des personnes distinguées, raffinées, courtoises, bien élevées et aux manières délicates pour autant.
Ci-dessus: c'est avec ces bras qu'il bat les femmes
Le fond reste là, toujours prêt à ressurgir. C'est pourquoi les prisons sont remplies majoritairement de criminels de couleur violents et impulsifs, n'éprouvant aucun remord de leur actes commis, et recommençant le jour de leur sortie.
On pourrait multiplier cet exemple par mille.
Il ne faut pas croire que les Noirs sont tous aussi violents. Mais plus il y a de Noirs dans une ville, plus toutes les formes de violence et de criminaité augmentent et mettent en danger le reste de la population. Cela donne à réfléchir.
Source: Liste des villes au plus haut pourcentage de crime et de violence liés à la présence de Noirs
Nos critères d'immigration doivent tenir compte de ce risque accru, qui a fait de Montréal-nord un endroit dangereux. Faisons en sorte que Montréal-nord ne s'étende pas au reste de la ville.
Réjean Labrie Répondre
10 mai 2022L'aggression de l'acteur noir Will Smith fait des petits.
Un second humoriste, David Chapelle, vient d'être attaqué en plein spectacle par un spectateur de race noire, Isaiah Lee.
À Montréal, un spectateur de race noire dans un match de soccer attaque le jeune arbitre blanc de 17 ans.
Violence, aggressivité, impulsivité, 3 traits innés qu'ils ont en commun.
Réjean Labrie Répondre
2 avril 2022Lorsque que je parle de la confusion des idéologies qui s'entrechoquent et qui paralysent le jugement, on a eu à la cérémonie des Oscars un exemple parfait: après l'agression impulsive de l'acteur Will Smith qui a carrément perdu le contrôle de lui-même.
Personne dans la salle n'a osé réagir. Tous se demandaient si son geste violent devait être considéré comme acceptable, un cas d'honneur à défendre, selon les nouveaux critères woke et Blacklivesmatter en vigueur.
Aucun invité ne semble être sorti par protestation contre le geste malheureux. À peine quelques-uns ont osé crier chou à l'arrière. Ceux qui étaient assis autour de Will Smith sont restés sagement à leur place. Tous les récipiendaires qui sont montés sur la scène par la suite ont passé l'esclandre sous silence, comme si rien ne s'était passé. On aurait dû rappeler qu'on n'était pas dans une arène de boxe.
Même le service de sécurité sur place n'a pas osé agir, ni même tenté de l'expulser sous bonne garde.
Comme on le voit, la force de ces idéologies mortifères paralyse notre capacité de jugement, et nous empêche de réagir normalement, d'évaluer la situation selon nos critères habituels, et en bout de ligne de faire preuve de tout sens critique, ce qui s'avère être le but visé.
Le petit jeu de la victimisation cautionne des actes répréhensibles qui deviennent désormais permis. Les minorités savent habilement s'en servir pour requérir traitements de faveur et compensations financières en tout genre. Tout cela n'est qu'odieuse manipulation et doit être combattu.
Cette paralysie se voit confirmée par la police du Québec qui affirme ne plus pouvoir procéder à l'arrestation de malfaiteurs noirs ou maghrébins pour ne pas être accusés de racisme.
La société doit se débarrasser de l'influence d'idéologies minoritaires radicales et dangereuses.