Des étrangers qui le resteront à jamais

Je ne vois pas vraiment de Québécois sur cette photo

Ajoutez-en 100 000 de plus comme eux, et je n’en verrai pas plus

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Tribune libre

Ce n'est décidément pas une bonne idée de remplir un pays d’un gros paquet d’étrangers dépareillés et difficilement compatibles sur le plan culturel, qui finiront par nous dépasser en nombre et nous noyer dans le sable mouvant de leur mouvance surpeupleuse ; cela reviendrait à provoquer un suicide collectif de la nation fondatrice du pays, notre extinction.


À lire : Avant le Grand Remplacement à la grandeur de la nation, le Petit Remplacement


Et la situation se détériore au rythme de la surimmigration massive.


Au Canada, il existe maintenant des villes majoritairement hindoues, des villes majoritairement chinoises. Est-ce normal, désirable ? Non.


À Toronto, la majorité des habitants ne sont pas nés au pays, chaque communauté vivant dans sa bulle hermétique aux autres. Est-ce normal, désirable ? Non.


Au Québec, il y a des villes majoritairement anglophones. Est-ce normal, désirable ? Non.


À Montréal et Laval, bientôt des quartiers majoritairement musulmans. Est-ce normal, désirable ? Non.


Si cela n'est pas de l'envahissement pur et simple, de l'appropriation territoriale, de la dénaturation identitaire, qu'est-ce que c'est alors ?


Au Québec, dont la démographie historique a produit un peuple reconnaissable de par son homogénéité, de par ses origines communes, de par sa ressemblance intrinsèque, il est possible et même aisé d'identifier visuellement ceux qui sont bien de chez nous, les nôtres.


À lire : Québécois d'ici : quelles sont nos principales caractéristiques identitaires?


Amusons-nous à faire un petit test d'observation pour le vérifier.




Je ne vois vraiment pas vraiment de Québécois sur cette photo. Emmenez-en ici 100 000 autres comme eux, je n’en verrai pas un de plus.



Je ne vois vraiment pas vraiment de Québécois sur cette photo. Emmenez-en ici 100 000 autres comme eux, je n’en verrai pas un de plus.



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Je ne vois vraiment pas vraiment de Québécois sur cette photo. Emmenez-en ici 100 000 autres comme eux, je n’en verrai pas un de plus.


Je ne verrai que des étrangers venus de pays où je ne voudrais pas vivre pour rien au monde tellement ils sont en-dessous de ce que nous avons accompli comme type de société occidentale évoluée. Ne laissons à aucun d'eux la possibilité de venir nous faire reculer comme dans leurs pays de misère.


Ce ne sont pas des Québécois que nous avons devant nous sur toutes ces photos, et ils n'en seront jamais. Et ils ne chercheraient jamais à le devenir non plus. Ils n'ont absolument rien à voir avec ce que nous sommes foncièrement et ce que nous représentons comme nation clairement définie.


L'immigration non sélective qui accepte des bandes de n'importe qui de n'importe où ne peut que nous défigurer, nous dénaturer, nous désincarner.


Faites le test : combien pouvez identifier de races, d’ethnies et de nations sur ces photos? Ils sont tellement dissemblables à nous que c’en devient presque impossible.


Qu'ils restent ici 10, 20, 30 ans de plus, cela n'en fera pas plus des Québécois. Ils resteront pour toujours des venus d'ailleurs, des dissemblables, des remplaceurs dont nous n'avons que faire.


On aura beau vouloir tordre au maximum la définition de qui peut se prétendre québécois, il y a des limites qu'on ne pourra jamais franchir, qui ne seront jamais acceptables.


À lire : Jusqu'où peut-on tordre la définition de qui est québécois?


En remplir le Québec serait le remplir de non-Québécois, un non-sens total.


Et plus il y en aura comme ceux-ci, plus on aura le sentiment insécurisant d'être encerclé par des étrangers qui rôdent tout autour de nous.


À lire : Quels sont les immigrants qui créent de l'insécurité collective




Ci-dessus: photo de famille où tout le monde se connaît


Je vois enfin des Québécois authentiques sur la photo ci-dessus, rien que des Québécois authentiques, et c’est comme ça qu’il faut que ce soit. Nous sommes ici au beau pays des Québécois, où nous sommes nés et avons grandi, entourés de gens bien de chez nous. C’est à nous seuls qu’il faut que ce pays ressemble, comme toute nation digne de ce nom le mérite. Ça prend des Japonais au Japon, des Suédois en Suède, des Écossais en Écosse, des Québécois au Québec, pour qu’on continue de se ressembler.


À lire : La diversité, un mal non nécessaire   36 exemples concrets et contre


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Nous autres les vrais Québécois authentiques formons un peuple unique en son genre, une nation bien distincte de toutes les autres, et qui n'est pas un gros pêle-mêle d'inconnus étrangers disparates venus des pires ailleurs, des mélanges hétéroclites de multiethniques qui n'ont à peu de choses près rien en commun avec nous, et même rien à voir entre eux-mêmes. Leur présence excessive ne peut que nous dénaturer, nous faire perdre notre âme collective séculaire. Et aucune considération ne nous oblige à subir cela passivement comme une fatalité. Jamais de la vie !


Pourquoi l'ADN tourne-t-il toujours à droite ? | Pour la Science


Il importe que le Québec demeure à l'image fidèle de son peuple fondateur, les Québécois de souche, les Canadiens-français d'antan. Nous formons une longue continuation ininterrompue comme les hélices de l'ADN porteur de nos traits hérités, avec de multiples lignées de descendance en droite ligne, une succession de plus de 15 générations de familles s'étant multipliées sur notre terre natale.


Vive la nation québécoise !


À lire : Les Québécois de souche sont loin de n'être que des immigrants


Pour que les enfants du Québec continuent de ressembler encore à ceux-ci :


La pluie s'invite aux célébrations de la fête nationale



Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet


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Réjean Labrie949 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Plus de 945 articles publiés en ligne ont été lus 1 600 000 fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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