Dans le monde biscornu des bien-pensants, il est de bon ton de prétendre que le Québec devrait se montrer toujours plus inclusif et ouvert à la surimmigration illimitée. C'est selon.
Car il serait bon de préciser qu'au départ l'inclusion ne peut se faire qu'à la condition que l'immigrant accomplisse le nécessaire pour être accepté. Ses devoirs et engagements sont multiples, à commencer par l'intention de s'intégrer parfaitement à la société d'accueil. Il doit démontrer qu'il sera un atout et non une nuisance, ce que rien ne garantie à prime abord. En un mot, il doit répondre à toutes nos attentes. Sinon, il ne méritera pas l'inclusion. Et qu'on lui accorde une seule chance de faire ses preuves, pas deux.
À lire: Les limites de l'inclusion et de l'ouverture
Il est cependant possible d'éviter bien des désagréments en écartant d'emblée ceux qui ne répondent pas à nos critères de base pour se qualifier en tant que citoyen utile et fiable.
À lire: Quand l'exclusion est-elle préférable à l'inclusion?
Quels sont ceux envers qui ce serait une erreur de se montrer trop inclusif?
1- à écarter: les étrangers qui s'en viennent avec l'intention bien arrêtée de ne pas apprendre le français (comme le PDG unilingue anglophone d'Air Canada Michael Rousseau s'en est vanté)
2- à écarter: les étrangers qui parlent une langue trop éloignée du français, réduisant pratiquement à néant les chances d'apprentissage de notre langue
3- à écarter: les étrangers qui s'en viennent rejoindre une communauté largement installée ayant déjà opté pour l'anglais plutôt que le français (exemple: Chinois, Hindous, Italiens, Grecs, Jamaïcains)
4- à écarter: les étrangers qui parlent une langue étrangère pouvant facilement prendre de l'expansion ici (arabe, espagnol) et qui gruge notre espace vital (à Los Angeles, 50% des habitants sont maintenant hispanophones, annulant toute pression pour apprendre l'anglais et communiquer dans cette langue), par opposition aux langues qui s'effacent d'elles-mêmes à la longue (polonais, lithuanien, tibétain, un quelconque dialecte régional africain)
5- à écarter: les fondamentalistes obtus qui pratiquent une religion étrangère de manière intégriste et qui prétendent la placer au-dessus des lois humaines
6- à écarter: la venue de parents vieux et perclus de maladies, trop vieux pour apprendre la langue et s'intégrer, et grevant notre système de santé (dans le cadre des programmes ultra-coûteux et abusif de réunification familiale)
7- à écarter: les ethnies enclines à pratiquer le communautarisme, ce type de vie en marge, d'isolationnisme volontaire, qui n'apporte rien à la société d'accueil mais qui la divise en compartiments mutuellement exclusifs
8- à écarter: les pseudo-réfugiés, faux demandeurs d'asile illégaux, étudiants étrangers qui n'étudient pas et flouent le système, les migrants qui passent frauduleusement la frontière pour éviter d'emprunter les voies officielles de l'immigration, sachant bien qu'ils ne remplissent pas les conditions nécessaires pour être acceptés
9- à écarter: les ressortissants des pays où les taux de criminalité, de corruption et de violence sont beaucoup plus élevés qu'ici. Ce n'est pas pour rien qu'ils le sont; c'est à cause de la sorte de monde qui vit dedans. Haïti va mal, implose, à cause des Haïtiens.
10- à écarter: les catégories d'immigrés (première ou seconde génération) qui déjà ont le plus haut taux de criminalité au Québec et qui le font augmenter
11- à écarter: les communautés qui affichent un taux de fécondité élevé (souvent exigé par leur religion obscurantiste) mais qui élèvent leurs enfants en non-Québécois
12- à écarter: les étrangers qui croient en des systèmes politiques incompatibles avec le nôtre: théocratie, communisme, socialisme, régime totalitaire, dictature, anarchie, et qui militent en ce sens
13- à écarter: les étrangers qui ne reconnaissent pas nos valeurs sociales de base: démocratie, laïcité, égalité homme/femme, liberté de pensée, liberté d'expression, liberté de critiquer et débattre de tous les sujets incluant la religion, libre circulation des idées dans les établissements d'enseignement
14- à écarter: les étrangers qui préconisent un système de justice parallèle (comme la charia islamique)
15- à écarter: les étrangers qui sont facilement fanatisables et radicalisables de par leur religion, et qui sont à risque élevé d'en venir aux actes terroristes
16- à écarter: les étrangers qui pratiquent la cruauté animale sous forme d’abattage halal ou kasher, un supplice sanguinaire inacceptable
17- à écarter: les étrangers qui contestent judiciairement et systématiquement les lois voulues démocratiquement par la majorité de la population
18- à écarter: les étrangers qui apportent dans leurs bagages les conflits de leur pays pour les étaler sur la place publique et causer du grabuge
19- à écarter: les étrangers qui cherchent à devenir des Canadiens plutôt que des Québécois
20- à écarter: les étrangers qui n'ont pas l'intention d'adopter notre culture et de dépenser de l'argent pour la faire vivre et rayonner
21- à écarter: les étrangers qui prônent le multiculturalisme, une façon détournée de rejeter notre culture et de ne pas avoir à l'adopter
22- à écarter: les activistes étrangers anti-Blancs comme les bandes de wokes
23- à écarter: les ethnies qui favorisent l'ingérence et l'influence de pays étrangers chez nous à notre détriment
En revanche, on pourra se montrer inclusif envers les catégories suivantes:
1- à rechercher: ceux qui nous ressemblent pratiquement en tout et partout, c'est-à-dire le profil général que présentent la plupart des Occidentaux (puisque ce sont ceux qui ont les meilleures chances d'intégration complète et rapide)
2- à rechercher: ceux qui respectent le portrait initial et la qualité du caractère homogène de la démographie historique du peuple fondateur découlant de nos origines européennes communes
3- à rechercher: ceux qui sont de tradition chrétienne, incluant les non-pratiquants, pour la similitude de la vision du bien et du mal, de la moralité, de la charité humaine et du type de rapports humains à privilégier, tous des éléments qui continuent à guider notre bon fonctionnement social
4- à rechercher: ceux qui sont favorables au projet d'un pays du Québec libre et souverain et qui se joindront à notre lutte émancipatrice
Ces 27 points bien définis constituent un bon point de départ pour déterminer ceux envers qui on peut se montrer inclusif et ceux qui ne le méritent tout simplement pas, et qui doivent conséquemment être écartés pour le bien commun et l’intérêt général.
À lire: La diversité, un mal non nécessaire
Il est primordial que le Québec maintienne son niveau de société avancée, et qu'il ne se laisse pas détériorer, par des nuées de nouveaux arrivants incompatibles et nuisibles qui vont atrophier, sectionner, dénaturer, débiliter, et en bout de ligne mettre en péril notre identité collective, le ciment humain des nations qui assure le maintien de la cohésion sociale si désirable.
À lire: Pour un Québec inclusif, mais sous condition d'intégration
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