Les immigrés étrangers qui nous font l'affront d'apporter chez nous dans leurs bagages les conflits de leur pays pour les étaler ensuite sur la place publique devraient être bannis à vie et sans hésitation.
Nous avons la chance de vivre dans une société évoluée où règne une relative harmonie sociale, comparée aux pays non-occidentaux instables qui s'enlisent dans la fange, le marasme et le chaos, généralement par leur incompétence et leur ineptie.
Nous avons le droit de bénéficier d'un espace public paisible et tranquille :
- sans campements de manifestants étrangers extrémistes et agressifs même pas foutus de s'exprimer convenablement en français
- sans graffitis dégueulasses vandalisant les propriétés privées
- sans manifestations haineuses répétées dans les rues, à trop haut risque de dérape, à la frontière de la violence, de l'émeute et du pillage
- sans militants étudiants aveuglés qui foutent le bordel à l’intérieur même des cégeps et des universités
Ces bandes d'activistes tordus, masqués, crinqués, dévoyés tentent de répéter comment ils vivent chez eux et de nous l'imposer, alors que nous n'en voulons tout simplement pas. C'est le propre de leur type de société de carburer au conflit et à la haine sans cesse réattisés, et ils n'ont tout simplement pas le droit de transposer leurs modes de vie répréhensibles ici.
Leurs conflits ne nous concernent pas. On s'en fiche comme de l'an quarante. Tous ces pays vont tout croches par leur faute. Il faut comprendre que c'est la sorte de monde qu'il y a dans un pays donné qui fait qu'il va bien ou de travers, pas les conditions extérieures. Si on continue à les laisser se répandre ici, ils vont se mettre à cracher tout le venin qu'ils ont naturellement en eux. Et ce mauvais penchant qui est si frappant aux yeux des Occidentaux, ne peut être enrayé puisque c'est dans leur génétique comportementale, que cela relève de prédispositions innées.
Cela explique pourquoi tous ces pays problématiques n'arrivent pas à s'extirper de leurs marasmes sociaux malgré toute la généreuse aide internationale accordée; c'est la seule attitude qu'ils savent démontrer. Dans 50, 75, 100 ans, on peut être certain que ces pays seront au même degré d'instabilité qu'aujourd'hui. Et on a vu fois après fois qu'ils font toujours exprès pour qu'un conflit ne se règle jamais vraiment définitivement, et qu'il suffit d'une simple étincelle pour déclencher à nouveau la folie destructrice.
Et que des gens de ces pays attardés se mettent à nous achaler avec des causes dont il faut se ficher puisqu'ils en sont la cause directe de la perpétuation, c'est un affront que nous ne pouvons accepter.
Quand c'en est rendu qu'une poignée de ces tarés cherche à dicter et contrôler les placements financiers d'une institution, ses sources d'approvisionnements ou ses politiques générales, une limite inacceptable est franchie. De tels gestes de volonté de prises de contrôles sont impardonnables et méritent l'éviction pure et simple du pays.
Pour ces bandes-là, ce n'est qu'une autre façon de s'attaquer à l'Occident, en occupant illégalement des lieux privés et en s'affichant dans les médias qu'ils savent d’autre part manipuler à leur avantage. Il est clair qu'ils tentent par tous les moyens de faire en sorte que nos bonnes gens ne soient plus calmes et heureux, que plus personne ne se sente en sécurité; ils veulent que tout le monde devienne anxieux et inquiets, c'est là l'un de leurs objectifs de déstabilisation. N’en soyons pas dupes.
Pour toutes ces raisons énumérées, il devient nécessaire que le gouvernement qui nous représente et les forces policières interviennent afin de reprendre le contrôle sur ces fauteurs de trouble indésirables et dangereux dans le but de les chasser définitivement du pays.
C'est la seule et unique façon de retrouver la paix sociale, le sentiment de sécurité publique, et de nous rendre la capacité de vivre sans souci comme nous avons su en créer les conditions. C'est un bon principe de vie et de sagesse de se montrer indifférent aux situations et événements qui sont trop loin de nous et que nous ne pouvons pas changer. Le zen n'enseigne-t-il pas qu'il faut se détacher des choses de ce monde qui sont hors de notre contrôle? On n'est pas responsables des problèmes purulents d'ailleurs, on n'a pas à s'en préoccuper plus qu'il ne le faut. Ça ne nous concerne pas outre mesure.
Si le reste du monde va mal, qu'ils se dépêtrent eux-mêmes. Ils ont couru après. On s'en fiche et c'est bien comme ça.
Qu'on nous sacre patience et qu'on nous laisse vivre en paix dans une bonne entente sociale respectueuse des uns et des autres.
Et que ces bandes d'étrangers destructeurs de notre ordre social soient tous expulsés de chez nous. On n'en veut pas. Qu’on se débarrasse au plus coupant de ces bandes de chahuteurs étrangers nuiseurs qui ne méritent pas de rester ici.
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6 commentaires
Réjean Labrie Répondre
8 novembre 2024Depuis dimanche, on assiste à de violentes émeutes à Brampton, près de Toronto, entre des groupes d'hindous agressifs et de sikhs agressifs. Ces étrangers qui le resteront toujours reproduisent ici les conflits dont ils étaient censés vouloir se libérer en venant en Occident. Oh que non, ces conflits sont si bien ancrés en eux qu'ils ne cherchent qu'à les renouveler sans fin.
Ils ne seront jamais des Canadiens; ils ne seront toujours que des hindous et des sikhs, issus de pays de barbarie.
Tout a commencé par une manifestation de sikhs, plus précisément de partisans de l’indépendance du Khalistan, devant un temple hindou où se trouvaient des diplomates indiens. Puis, en représailles, il y a eu une marche d’hindous, dont certains étaient armés, vers un lieu de culte sikh. Cette marche a toutefois été bloquée par la police. Résultats: des voitures vandalisées, des jets de pierres, des coups de bâtons, des blessés, dont un policier envoyé à l’hôpital, des arrestations, la suspension d’un policier qui a participé à une manifestation, un maire qui menace d’interdire les manifestations devant les lieux de culte et une aggravation de la crise diplomatique entre le Canada et l’Inde. Même le premier ministre indien s’en est mêlé, en dénonçant l’attaque contre un temple hindou.
Comme cette crise touche tout le Canada, pourquoi est-ce principalement à Brampton que de violentes émeutes éclatent? Peut-être est-ce parce que la population de cette ville vient à 58% du sous-continent indien, ou qu’elle est à 25% de confession sikhe et à 18% de confession hindoue? Mais surtout, parce que cette forte immigration aurait dû s’accompagner d’une politique d’intégration tout aussi forte, plutôt que d’une politique du multiculturalisme qui encourage les immigrants à garder intactes leurs identités d’origine. Et ce n’est pas seulement une politique fédérale lointaine car le maire de Brampton est un multiculturaliste radical, au point où il a été à la tête du mouvement des villes canadiennes-anglaises qui ont financé illégalement la contestation de la Loi québécoise sur la laïcité de l’État.
(fin de la citation)
Source: Émeutes violentes en Ontario entre hindous et sikhs : l’échec du multiculturalisme
On ne veut pas de ça chez nous. Qué les barbares restent en Barbarie. Que ceux qui sont ici soient tous expulsés. Ils détruisent notre harmonie sociale. Pas de place ici pour les fanatiques religieux comme les sikhs et les hindous.
À lire: Corrélation entre basse intelligence et obéissance fanatique à une religion
La loi québécoise sur la laïcité doit être élargie pour s'appliquer dans tout l'espace public
Réjean Labrie Répondre
16 septembre 2024Québec redemande la démission d’Amira Elghawaby
La représentante spéciale du Canada chargée de la lutte contre l'islamophobie se retrouve une fois de plus sous ...
Réjean Labrie Répondre
2 septembre 2024À l'université McGill, les étrangers islamistes extrémistes à un cheveu des actes terroristes continuent de vandaliser et saccager les lieux.
Il faut croire que la police a reçu l'ordre de la craintive mairesse Valérie Plante de ne pas intervenir et de n'arrêter personne.
Comme l'a écrit un observateur: On se souviendra de ce jour comme faisant partie du conflit dans la bande de Gazon.
Il faut capturer tous ces étrangers fauteurs de trouble et les expulser manu militari sans délai. Bannissement à vie requis.
Source: Actes de vandalisme à l'Université McGill par des extrémistes étrangers islamistes
Réjean Labrie Répondre
14 août 2024Le dernier exemple d'appropriation de l'espace public par des extrémistes étrangers à des fins de pertubation sociale:
Des manifestants propalestiniens tentent de gâcher le défilé de la Fierté à Montréal
Le défilé de la Fierté où sont rassemblées des milliers de personnes à Montréal a été bloqué par des manifestants propalestiniens, ce qui a donné lieu à des scènes tendues avec les autres participants et les forces de l’ordre.
Cela a forcé les organisateurs à faire dévier les festivités vers l’autre côté du boulevard après avoir été bloquées pendant plus d'une trentaine de minutes. Des altercations physiques ont eu lieu entre les manifestants et plusieurs agents du Service de police de la Ville de Montréal.
Voir la vidéo ici
Source: Des manifestants propalestiniens tentent de gâcher le défilé de la Fierté à Montréal
Tous ces extrémistes étrangers qui mettent tout en oeuvre pour détruire notre société et en faire un lieu de guerre doivent être bannis du pays, expulsés à jamais.
Réjean Labrie Répondre
9 août 2024Un texte récent paru dans le Journal de Montréal va dans le même sens que mon article.
Référence: Glorification du terrorisme et des discours haineux dans nos rues: où sont les limites?
Il souligne les limites du discours haineux et de l'incitation aux actes terroristes, tel qu'utilisés abusivement par les manifestants étrangers dans le but de faire du grabuge dans notre pays sur des sujets qui ne nous concernent pas. Les campements pro-hamas en ont été la déplorable et scandaleuse manifestation.
Tous ces êtres indésirables, malfaisants et nuiseurs doivent être bannis, expulsés du pays sans exception et sans délai. Débarrassons-nous des immigrés haineux, extrémistes, dangereux, radicalisés et prêts à tout pour semer la pagaille et le chaos social.
À lire:
Ne leur laissons pas de seconde chance de récidiver
Les immigrés criminels doivent être expulsés
après avoir purgé leur peine d'emprisonnement
Une liste supplémentaire de crimes commis par des immigrés dangereux au Québec se trouve ici et s'allonge de jour en jour:
Pour un registre public des crimes commis par les minorités ethniques au Québec - Liste
François Champoux Répondre
29 juillet 202429 juillet 2024
M.Labrie
Je vous prie de considérer ce commentaire.
Le bannissement est une exclusion de personnes au même titre que l’a exécuté Hitler, chancelier allemand élu démocratiquement dans une société reconnue hautement évoluée sous différents ordres, dont l’ordre technico-scientifique et l’ordre juridico-politique. Ce n’est pas moi qui le dis, c’est André Comte-Sponville dans son livre «Le capitalisme est-il moral?» Je suis entièrement d’accord avec lui et Paul Ricœur : ce dernier soutient que l’exclusion est une violence. Soutenir une violence par une autre violence, c’est augmenter la violence jusqu’à une spirale meurtrière inutile et immorale. On va où avec la violence? Je vous le demande, car avec la violence à mon humble avis, on joue le jeu des violents. La violence sème la violence; contre la violence il faut semer la non-violence : contre le viol, il faut semer la retenue. Sans la retenue, il y a risque que la permission de violer devienne la règle : la règle du «œil pour œil, dent pour dent» la règle du Talion, comme vous le préconiser : bannir celles et ceux qui bannissent et qui crée le conflit. Au contraire, il faut débattre afin d’éviter les combats qui détruisent.
Je sais qu’il n’est pas facile de comprendre qu’il faut débattre et non combattre; le débat respecte l’autre alors que le combat cherche à éliminer l’autre, à l’exclure, à le bannir. Il faut débattre, M. Labrie; ne pas craindre de débattre avec raison, avec la raison du respect de l’autre et que l’autre comprenne que la loi du plus fort ne règle rien : c’est avec la raison qu’il faut débattre et non avec des menaces et des armes qui tuent. Le bannissement, l’exclusion sont des violences qui tuent. Au final, nous nous détruisons comme animal intelligent, comme animal raisonnable et donc moral.
Sommes-nous un animal supérieur, un animal intelligent et raisonnable supérieur ou non? Voilà la question millénaire.
François Champoux, Trois-Rivières