Réjean Labrie Répondre

Le Congo, l'un des pires pays dans la liste du nombre d'homicides volontaires, est en proie à une espèce de guerre civile interne où tout le monde s'entretue à qui mieux mieux, comme cela se vérifie dans tant d'autres pays africains.

Référence: Le Congo en guerre interne

À Québec, ville tranquille jusqu'à la récente surimmigration tiers-mondiste, voit sa sécurité s'effriter.

Un Congolais devenu fou furieux tue son frère et attaque une autre femme noire. Le meurtrier étranger africain congolais de race noire se nomme Michel Mwendanga.

Ci-dessus: le meurtrier étranger africain congolais de race noire Michel Mwendanga

Ci-dessus: le frère assassiné par son frère, l'étranger africain congolais de race noire Jordan Lumbala

Dans le reportage à TVA, sa mère africaine dit que les 2 frères étaient doux comme des agneaux et inoffensifs. Cela permet de voir que même ceux qui ne semblent pas dangereux en apparence peuvent le devenir subitement et entrer dans un accès de rage folle homicidaire, en raison de leur bagage héréditaire, prêt à prendre le dessus dès que l'occasion se présente.

Source: Reportage TVA

Rien de bien surprenant dans cet acte considérant les prédispostions génétiques révélés par la liste officielle du nombre d'homicides volontaires. Qu'ils soient au Congo ou ailleurs comme à Québec, les mêmes réactions violentes et impulsives vont finir par se déclencher. Un tempérament primitif est inscrit dans le code génétique et ne peut être modifié d'aucune façon.

Plus on laissera entrer au pays des individus issus des pays sous-civilisés et massacreurs, plus nous serons en danger.

Source: Une tuerie typiquement congolaise répliquée à Québec même

Réjean Labrie Répondre

Depuis que l'immigration massive indiscriminée fait rage et des ravages, on s'aperçoit qu'il y a une corrélation directe entre la hausse de la criminalité à un endroit et la présence de ressortissants de pays où règnent la violence et la corruption de manière généralisée à tous les échelons de leur société primitive.

Le plus récent cas est la tuerie sauvage et sanguinaire de plusieurs petits enfants commise à Southport par un jeune massacreur rwandais de 17 ans né en Angleterre (rwandais un jour, rwandais toujours), du nom de Axel Muganwa Rudakubana, fils de 2 rwandais, Alphonse Rudakubana et Laetitia Muzayire.

On se rappelle que le Rwanda a été le lieu de tueries génocidaires entre des tribus tutsis et hutus en 1994, un conflit facilement déclenché qui a fait appel aux instincts primaires et barbares de peuplades reculées et sous-évoluées. Transplantez-les ailleurs, et les mêmes pulsions primaires et sanguinaires finiront par ressurgir, c'est une donnée génétique inchangeable, comme chez le jeune massacreur Axel Muganwa Rudakubana, fils de 2 rwandais, Alphonse Rudakubana et Laetitia Muzayire.

Quelle idée insensée de laisser les pays occidentaux être envahis par des peuplades violentes et ethnies agressives par nature. On ne peut changer le profil génétique, les penchants naturels, la facilité à perdre les pédales et la propension impulsive à recourir à la violence. Les critères d'immigration doivent être resserrés pour filtrer les origines représentant un haut risque de violence innée.

Un rien peut déclencher la furie homicidaire chez ces gens. En voici une autre preuve désolante.

On ne se surprendra pas que le père rwandais Alphonse Rudakubana  du jeune massacreur Axel Muganwa Rudakubana ait la même attirance naturelle pour la violence au point de s'adonner aux arts martiaux de contact jusqu'à atteindre la ceinture noire de niveau léthal au karaté:

Réféfence: Alphonse Rudakubana gets to where he wants to be - after 19 hard years

Référence: Un jeune massacreur rwandais, Axel Muganwa Rudakubana, fils de 2 rwandais, Alphonse Rudakubana et Laetitia Muzayire

Le jeune massacreur rwandais Axel Muganwa Rudakubana

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L'autre jour, ici même à Québec, j'ai revu un ex-collègue de travail d'origine brésilienne avec qui je me suis toujours bien entendu. Accolade, exclamations de joie des deux côtés, poignée de main virile, on prend des nouvelles, on en donne, on se rappelle des anecdotes, on rit.

Rappelons que les 3 pays qui ont le plus haut taux d'homicides volontaires sont l'Inde, le Brésil et le Mexique, comme on l'a vu dans la liste ci-haut.

J'avais déposé ma tablette sur le banc public où j'étais installé pour bavarder debout avec mon collègue, avec mon vélo juste derrière le banc. Au bout d'un quart d'heure de conversation impromptue, mon ami me dit: "tu sais, chez moi, on ne pourrait pas faire ça, laisser la tablette comme ça sans surveillance et le vélo sans cadenas". J'en ai déduit que non pas 1, mais 2 voleurs se seraient précipités pour les voler si on avait été au Brésil, et que je ne serais peut-être plus de ce monde. Pour lui, c'était étonnant qu'on puisse vivre comme ça ici. C'était plus fort que lui de le faire remarquer, tellement c'est contraire à la réalité de chez lui, tellement ce serait impensable, imprudent de faire cela.

Nous jouissons au Québec d'un degré de sécurité publique que nous prenons trop souvent pour acquis. Par contre, on constate que l'augmentation de la dangerosité qui sévit à Montréal est la conséquence directe de la présence de diverses ethnies violentes (commençant souvent dès l'adolescence) qui sont la cause principale de la détérioration de la qualité de vie dans la métropole et de la hausse vertigineuse de la criminalité.

Il est important d'admettre cet état de faits, de dire les choses comme elles sont, afin de démontrer la nécessité de resserrer les critères d'admission au pays pour en tenir compte en bloquant l'accès aux candidats potentiellement dangereux par tempérament, issus des pays les plus violents.

La sécurité publique de nos concitoyens, de nos proches, ne compte-t-elle pas après tout?

À lire: Toujours plus de violence maghrébine à Montréal, dès l'adolescence

et:  Pour un registre public des crimes commis par les minorités ethniques au Québec