L'un des sujets les plus tabous concernant les désavantages de l'immigration galopante de source tiers-mondiste, c'est le phénomène de la fuite des capitaux par millions de dollars qui sont transférés semaine après semaine dans leurs familles à l'étranger.
Un cas qu'on vient de me rapporter expliquera le fonctionnement et l'ampleur du phénomène qui nous désavantage.
Un Québécois de souche marié sur le tard avec une immigrante sénégalaise s'est aperçu qu'elle expédiait chaque semaine 100$ de sa paie à sa famille restée dans son pays. Cela fait 5 000$ par année qui quittent le pays et appauvrissent notre économie. Car il serait beaucoup plus normal que cet argent soit réinvesti ici même, dans nos commerces, entreprises et services. C'est la base d'une économie forte qui profite à tous, pas à des étrangers à l'autre bout du monde. Cela devient de l'argent perdu à jamais.
Supposons que 1 million d'immigrants au Québec fassent pareil, cela donne
5 000$ X 1 000 000 = 5 milliards de dollars par année qui s'envolent en fumée
On peut même inférer que la somme hebdomadaire de fonds transférés à l'extérieur du pays dépasse dans bien des cas les 100$ utilisés comme référence. Donc, le nombre de milliards de dollars volatilisés est possiblement encore plus élevé.
Les chiffres officiels sont effarants: Les émigrés envoient 435 milliards de dollars par an à leurs pays d'origine
Source: fuite des capitaux
Si une banque était victime d'un piratage informatique et que 5 milliards de dollars disparaissaient subitement de nos comptes, tout le monde pousserait les hauts cris. C'est pourtant exactement la même chose qui se produit lors d'une fuite de capitaux. Si cet argent était dépensé ici comme il se doit, recirculé, c'est dans nos poches qu'il se retrouverait, qu'il resterait.
Mais comment freiner une telle hémorragie monétaire?
Une loi devrait nous protéger de ces pratiques devenues systématiques, pandémiques, car elles nuisent à la santé, à la vitalité de notre économie. C'est chaque Québécois, chaque famille québécoise, chaque commerce, chaque entreprise, qui se retrouvent dépouillés, appauvris par cette fuite des capitaux, ces transferts de fonds à grande échelle.
Répétons-le: chaque dollar qui n'est pas réinvesti, dépensé ici est un dollar perdu qu'on ne reverra jamais plus. Et ce dollar envolé finit par devenir 1 million, un milliard, puis 5 milliards au bout de l'année.
Brisons enfin le tabou, crevons l'abcès, et lançons le sujet épineux sur la place publique. Pour que l'argent des Québécois profite prioritairement aux Québécois.
Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet
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