En ces temps de pénurie de main-d'oeuvre dont on fait grand cas, il est sidérant d'apprendre que:
Le nombre d'enfants québécois avortés chaque année correspond à peu de choses près à la moitié du nombre d'immigrants du tiers-monde sous-développé qui sont systématiquement importés pour les remplacer sur le marché du travail.
Quoi de plus tordue que cette logique délétère et funeste?
Les statistiques officielles sont consternantes : il se pratique entre 20 et 25 000 avortements d’enfants par année au Québec, la moitié des cotas d’immigration actuels! Autrement dit, chaque bébé québécois supprimé se voit remplacer par 2 immigrés. Quel regrettable malheur! C’est une véritable hécatombe.
Ce nombre à la hausse fauche autant de vies humaines qu’une pandémie annuelle de covid le ferait! Et on trouve ça normal, et on passe la chose sous silence.
Chose certaine, c'est une façon efficace d'accélérer le remplacement graduel de la population québécoise de souche par des hordes de miséreux surpeupleurs inintégrables, avides de profiter de tous nos avantages sociaux à notre place.
C'est le tiers-monde en mode envahissement et étalement mondial, pas juste urbain. Et pas un seul coup de feu tiré par ces armées de marées humaines (à part les fusillades dans Montréal-Nord tous les jours où ils se concentrent).
L'auto-génocide d'un peuple commence par ses enfants sacrifiés.
Un processus qui se voit aidé par une immigration massive indiscriminée ne respectant en aucun point les caractéristiques identitaires historiques du peuple visé, contribuant par le fait même à sa lente dissolution dans le néant.
Les femmes enceintes qui ne s'estiment pas en mesure d'élever leur enfant sur le point de naître doivent le donner en adoption à la naissance à une famille aisée, aimante et qualifiée qui saura en faire un citoyen modèle et qui apportera sa contribution utile à la société. Il n'en manque pas. Voilà la façon civilisée de faire les choses.
On commence d'abord par offrir à l'enfant en développement le cadeau de la vie, et puis ensuite, le cadeau d'une famille adoptive qui en prendra soin et l'élèvera comme il se doit pour en faire quelqu'un de bien.
On n'empêche pas un petit enfant de se développer pleinement, de devenir la meilleure personne qu'il aspire à être, simplement parce qu'il était imprévu. On ne lui retire pas cette chance unique de vivre toute sa vie du début jusqu'à la fin.
L’enfant n’a qu’une seule envie : vivre toute sa vie, de la première à la dernière seconde, sans interruption.
Combien de temps encore allons-nous continuer à éliminer nos propres enfants un par un au profit des bandes de n'importe qui de n'importe où qui affluent à nos frontières?
Le Québec a besoin de tous ses enfants vivants.
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23 commentaires
Réjean Labrie Répondre
11 décembre 2023Pour donner un ordre de grandeur:
Guerre Hamas/Israël: en date d'aujourd'hui, cette guerre a fait 17 400 morts. Tout le monde est horrifié.
On a montré quelques bébés prématurés morts dans l'hôpital bombardé. Tout le monde est horrifié et choqué. Ça fend le coeur.
Pourtant au Québec, c'est 25 000 petits bébés très prématurés qui deviennent morts chaque année par avortement. Ça en fait beaucoup par jour. Pourtant, personne ne semble en être horrifié ou choqué.
Ces images de 6 bébés prématurés morts à Gaza font réagir. Et si on montrait les 25 000 bébés québécois morts cette année sur la même photo, comment réagirait-on? En disant que ce n'est pas grave?
On tue chaque année au Québec plus de bébés n'attendant que de naître que le nombre total de morts à Gaza. Et on entend voler une mouche.
C'est 2 poids, 2 mesures.
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Réjean Labrie Répondre
2 novembre 2022Dès le stade de la conception, nous avons affaire à un être humain complet. Il possède tout le bagage requis pour se développer et atteindre sa pleine maturité corporelle.
Le plan complet a commencé à s'exécuter. Tout le processus a été mis en branle.
Biologiquement, physiologiquement, génétiquement, il ne lui manque absolument rien, il n’est pas partiel, il n’est pas autre chose que ce qu’il sera toute sa vie : un être unique au monde et à nul autre pareil.
Un spermatozoïde et un ovule non fécondé ne sont pas des êtres vivants, ce sont des cellules. S'ils ne participent pas à une fécondation, ils ne seront jamais autre chose que ce qu'ils sont, des cellules qui demeureront cellules, jamais un être vivant complet.
On ne peut dire : « après 4 mois de grossesse, cela devient officiellement un être humain. Mais le jour précédent, c’est une méduse informe, un têtard qui deviendra grenouille ou autre chose, un amas quelconque de cellules non-vivantes se multipliant sans direction précise ». Non, c’est un être humain tout du long, le même du début jusqu’à la fin, avec son génome, ses chromosomes XX ou XY, son bagage héréditaire.
On ne peut être moins (-) vivant un jour et plus (+) vivant le suivant; on est vivant ou on ne l’est pas. Dès l’instant miraculeux de la fécondation, l’étincelle initiale jaillit, la vie est présente, tout se met à débouler à une vitesse vertigineuse. On ne peut pas être éteint un jour, allumé le lendemain. C’est la vie qui est là tout du long.
Peu importe que ses poumons soient remplis de liquide plutôt que de l’air comme un poisson ou une anguille, le fœtus n’est ni un poisson ni une anguille, cela ne le rend pas moins humain.
Peu importe qu’à un certain stade de développement les ondes cérébrales ne soient pas encore toutes activées, cela viendra en temps utile, elles sont en préparation, le plan est là. Il s'exécute. Cela n’en fait pas un non-humain pour autant. C’est lui au complet.
Peu importe à quelle semaine le coeur se met à battre, il est en formation, il ne demande qu'à battre, il attend son tour dans le développement.
On pourrait continuer ainsi en passant en revue toutes les fonctions vitales. Elles sont toutes présentes et n’attendent que le bon moment pour s’activer.
Ce n’est pas parce que tout ne fonctionne pas encore que tout n’est pas déjà là en puissance.
Au quatrième mois de grossesse, c'est toi qui étais là dans le ventre. Au troisième mois de grossesse, c'est toujours toi qui étais là dans le ventre, pas un autre. Au deuxième mois de grossesse, c'est encore toi qui étais là dans le ventre, pas autre chose, pas une autre créature, pas une plante, pas une amibe. C'est toujours la même personne en pleine expansion, du début à la fin de la vie.
Zygote-embryon-fœtus-bébé-enfant-adolescent-adulte-vieillard, c’est ce long processus de développement sans interruption et de croissance continue que mérite de vivre tout être humain fécondé. La lumière ne s’allume pas quelque part entre les 2 extrémités, elle éclaire dès le début, elle le doit par la force des choses. Et elle ne s'éteint qu'au dernier souffle.
Stopper ce processus bien programmé et bien entamé à 4 mois de grossesse, à 21 ans ou à la fin de l'espérance de vie de 80 ans, c'est la même mort, la même personne arrivée à la fin de l'arc de la vie. Qui voudrait que sa propre mort se produise au quatrième mois de vie et que toute la suite soit annulée?
Chaque être vivant créé a quelque chose à accomplir dans son existence, sinon il ne serait pas né. Qui sommes-nous pour chercher à l'en empêcher?
Est-il normal que la foetus devienne si facilement la victime non consentante d'une atteinte à son existence? qu'on l'empêche de vivre toute sa vie, de s'accomplir, de réaliser ses rêves? Il ne peut encore se défendre par lui-même. À nous de le faire pour lui, comme on aurait aimé qu'on le fasse pour nous.
Quoi de plus normal et naturel que de naître?
Tous y ont droit. Reconnaissons-le-lui.
Réjean Labrie Répondre
24 octobre 2022Pour être plus explicite, on pourrait avancer que comme chaque bébé québécois avorté est remplacé par 2 immigrants du tiers-monde, il faudrait reformuler en disant que chaque bébé québécois avorté est remplacé par un africain et un maghrébin.
Y a-t-il meilleure concrétisation du Grand remplacement de la population native?
Au rythme accéléré de 2 pour 1.
Réjean Labrie Répondre
11 octobre 2022Hier, le soir de l'Action de grâce, le thème d'une ligne ouverte était "qui voulez-vous remercier?".
Un auditeur appelle pour remercier sa mère.
Il raconte: "en 1965, ma mère, femme au foyer, tombe enceinte d'un cinquième enfant, au grand découragement de mon père qui peine à faire vivre sa famille avec un salaire de famine. En désespoir de cause, il se résout à proposer une solution drastique. Et ma mère de lui répondre: "si le bon Dieu nous l'envoie, c'est qu'il sait qu'on sera capable de l'élever comme du monde". Le cinquième enfant, on le devine, c'était lui.
Combien y en a-t-il comme lui qui l'ont échappé belle et qui ne le savent peut-être pas, et combien y en a-t-il d'autres qui n'ont malheureusement pas eu cette chance?
Sa mère désirait un petit blond aux yeux bleus, et elle l'a eu.
Réjean Labrie Répondre
26 août 2022Voici un texte retrouvé datant de 2010, proposant une alternative à l'avortement: l'adoption à la naissance.
29 mai 2010, 11 h 09 min
Le droit à la vie prime sur le droit à la mort de l'enfant non désiré
Le grand principe fondamental est clair et simple, c'est le droit à la naissance, le droit de vivre toute sa vie et d'atteindre l'espérance de vie normale.
Demandez à tous ceux qui devaient être avortés s’ils préféreraient avoir été éliminés, la réponse sera unanime. Personne ne désire qu’on abrège ses jours. Il faut défendre le droit à l’existence du petit enfant grandissant dans le ventre de sa mère.
– La seule différence entre un embryon de 3 semaines et un bébé de 6 mois, entre un adolescent et un vieillard en est une de stade de développement. C’est la même personne qui a enclenché son processus de croissance lors de la conception. Ce ne sont là que différentes versions de la même personne.
– La vie est un processus continu une fois lancé: on ne peut être mort pendant une certaine période et devenir vivant au bout de x mois. Ou bien on est vivant, ou bien on ne l’est pas; il n’y a pas d’entre-deux.
– Les unicellulaires ne sont formés que d’une seule cellule mais ils sont tout aussi vivants que vous et moi! Ce ne sont pas des cailloux inanimés ni de la matière inerte. De même pour l’embryon en croissance qui n’est pas qu’un amas de cellules. Le bébé de 3 mois dans les bras de sa mère est celui-là même qui était dans le ventre à 3 jours de la conception.
– L’ovule fécondée contient 100% du même bagage génétique que le bébé naissant ou le vieillard de 100 ans qu’il sera un jour. L’être vivant une fois crée n’a jamais été autre chose que lui-même, quelque soit son âge.
– L’enfant dans le corps de la mère n’est pas le corps de la mère. C’est un être tout à fait distinct. On ne liquide pas quelqu’un parce qu’on ne veut pas le voir.
L’adoption à la naissance, solution à l’avortement:
Lorsqu’on pense à toutes les petites Camille, Florence et Rosalie qui grandissent dans le ventre de leur mère, n’est-il pas désolant que certaines femmes les privent de leur avenir sur cette terre en mettant fin à leur croissance?
La solution pratique est simple: que les enfants non désirés soient confiés à l’adoption à leur naissance. Les parents adopteurs paient actuellement entre 10 000 $ et 25 000 $ pour avoir un enfant à l’adoption internationale. Ces sommes pourraient être remises aux femmes enceintes en compensation financière pour le travail effectué. Ainsi, tout le monde sera gagnant, à commencer par les petits enfants qui n’ont pas demandé à être éliminés si tôt et à qui on refuse une vie merveilleuse.
Ne retirons pas la vie aux enfants qui voudraient bien pouvoir en profiter comme vous et moi.
Ils ont besoin de nous pour prendre leur défense.
Réjean Labrie Répondre
14 août 2022Les activistes pro-choix affirment: "Nous voulons avoir le choix de tuer ou de ne pas tuer un enfant dont on ne veut pas".
L'adoption à la naissance est une bien meilleure solution. Demandez donc au bébé ce qu'il en pense.
En effet, ne devrait-on pas avoir l'élémentaire politesse de commencer par demander l'opinion du principal intéressé, en l'occurence le bébé dont on joue avec la vie?
De tous les bébés qui auraient dû être avortés, aucun d'entre eux n'a jamais regretté par la suite d'être venu au monde.
C'est le cas du célèbre acteur Jack NIcholson qui aurait dû avorté, et qui, une fois rendu à l'âge adulte, avouait qu'il ne pouvait pas vraiment approuver la mise à mort sur demande.
Comment peut-on refuser à quelqu'un le simple désir de vouloir exister?
Comment peut-on vouloir remplacer une existence prometteuse par le néant absolu?
Réjean Labrie Répondre
6 août 2022Les mouvements pro-infanticides prétendent défendre à cor et à cri les "droits fondamentaux de la femme".
Depuis quand le "droit" de donner la mort à son propre enfant fait-il partie des droits fondamentaux?
Peu importe le stade de développement de l'enfant, ça reste un enfant vivant. On ne peut pas être moins vivant ou plus vivant; on l'est ou on ne l'est pas. Il n'y a pas d'entre-deux.
Alors, lequel des deux l'emporte? Le droit de tuer (voulu par la mère) ou le droit de vivre (voulu par l'enfant) ?
De leur côté; les mouvements féministes hystériques revendiquent le droit de tuer prioritairement tous les bébés filles non désirés, le garçon demeurant le premier choix dans bien des cultures.
Ce genre de tuerie de masse autorisée ne s'appelle-t-il pas se tirer dans le pied?
Réjean Labrie Répondre
4 août 2022J'ai retrouvé l'un de mes textes datant de 2010 mais qui n'a rien perdu de sa pertinence:
Saviez-vous que le nombre d’enfants qu’on empêche de venir au monde chaque année au Québec est équivalent à la population entière de la capitale de la Beauce, Saint-Georges, ou de la population de villes comme Val-d’Or, Alma, Boisbriand ou Sept-Îles? Peut-on se mettre à rayer de la carte l’une de ces villes année après année et trouver cela normal, moderne et civilisé?
300 000 bébés depuis 10 ans, cela représente la population totale de la capitale nationale du Québec (avant les fusions avec les banlieues). Imaginez un instant la ville de Québec entièrement désertée et vidée de ses habitants. Une bombe atomique ne ferait pas pire. Mathématiquement parlant, l’équivalent de l’hécatombe de Nagasaki se répète chaque année ici-même et personne ne trouve à redire à la chose.
En tant que nationalistes, pouvons-nous rester indifférents à l’idée de supprimer une ville entière du Québec chaque année? Ce chiffre astronomique de 29 000 est plus gros que la population de toutes les villes et villages du Québec sauf 33.
Et, qui plus est, ce chiffre correspond démographiquement parlant au nombre précis de personnes requises, c’est-à-dire le seuil de remplacement, pour que la population québécoise se maintienne et se renouvelle sans le besoin de recourir à l’immigration.
Il serait temps de réfléchir sur la question et de proposer des alternatives afin de conserver tous les enfants québécois que nous créons. Une politique nataliste doit favoriser les naissances, par l’inverse.
Réjean Labrie Répondre
27 juillet 2022Les enfants québécois avortés se font remplacer par des immigrants importés
Ce titre fort àpropos pourrait être reformulé ainsi:
Chaque enfant québécois avorté remplacé par 2 immigrés sous-développés du tiers-monde
25 000 avortements par année 50 000 nouveaux immigrants remplaceurs Du 2 pour 1
La Congolaise monoparentale Masinda Beloti, habitant à Gatineau, mais arborant fièrement sur sa mammelle nourricière un chandail avec la feuille d'érable canadienne, exhibe ses 8 enfants en bas âge, de 6 mois à 9 ans. Son plus grand rêve est de pouvoir aggrandir sa famille.
Ici, ce n'est pas du 2 pour 1, mais du 8 pour 1. Le Québec, 56ème état africain, c'est pour demain.
Réjean Labrie Répondre
11 juillet 2022L’article premier de la Déclaration universelle des droits de l’Homme aurait plus de résonance en étant formulée ainsi :
"Une fois conçu, tout être humain acquiert automatiquement le droit à la naissance, ainsi qu'aux conditions lui permettant d’atteindre une espérance de vie normale.
Tout ce qui entrave ou interrompt ce long et fructueux processus de développement, de croissance, d'apprentissage, d’évolution personnelle, de quête de sens et d’expériences vécues doit être aplani."
Toute existence mérite d’être entièrement vécue, du début jusqu’à sa toute fin.
Aucun enfant n’a été conçu pour mourir avant d'avoir vu le jour, il a été conçu pour vivre entièrement cette expérience unique qu’il saura rendre pleine de sens. Cette vie précieuse comme elles le sont toutes, mérite d’être protégée au nom de ceux qui ne peuvent le faire eux-mêmes.
Le droit de naître et de vivre toute sa vie primera toujours sur ce faux droit de supprimer un enfant dans le but exprès de s’en débarrasser.
La Déclaration universelle des droits de l'Homme
Réjean Labrie Répondre
10 juillet 2022Voici quelques réflexions supplémentaires sur l'importance de préserver la vie à tous les niveaux de développement et de croissance.
1- Personne n'a le droit d'empêcher un enfant de naître, d'apprendre à marcher, de dire maman et papa, de grandir et de devenir grand-père avec ses petits-enfants sur les genoux, en interrompant son développement volontairement.
Personne n'a le droit d'empêcher une enfant de naître, d'apprendre à marcher, de dire maman et papa, de grandir et de devenir grand-mère avec ses petits-enfants sur les genoux.
2- Ce n'est pas parce que tu es plus petit en taille que les autres que ta vie est moins importante parce que tu es encore dans le ventre de ta mère, et que tu peux être supprimé sans qu'on te demande ton consentement.
3- On ne peut pas dire à une femme enceinte: "laissez-nous faire, on va vous le tuer pour que ça vous en débarrasse, ayez pas peur, on a l'habitude à la clinique".
4- On a pas le droit d'enlever la vie à quelqu'un, toute une vie, que ce soit un foetus, un bébé, un enfant, un adolescent, un adulte, un vieillard. Pourquoi la peine de mort s'appliquerait-elle aux enfants innocents à quelques semaines de naître, alors qu'elle ne s'applique même pas aux pires criminels coupables?
5- Que la femme enceinte comprenne enfin que c'est quelqu'un d'autre qu'elle qui se développe dans son ventre, et qu'elle n'a pas le droit de disposer de sa vie comme d'une portée de chatons qu'on noie dans la toilette. Un être humain n'appartient pas à un autre.
L'enfant à naître ne peut dépendre de la décision de quelqu'un d'autre pour venir au monde, poursuivre son développement et sa croissance jusqu'à l'âge adulte et atteindre un jour son espérance de vie.
6- Même les enfants trisomiques vont profiter de leur vie. Un documentaire québécois d'Éli Laliberté très touchant vient de paraître: Lucas
Réjean Labrie Répondre
4 juillet 2022Les manifestantes avorteuses brandissent des pancartes "C'est mon corps".
Il faut comprendre que le corps du bébé n'est pas "leur corps". C'est "son corps" à lui le bébé.
Il est en transit, de passage, en route vers la liberté de poursuivre son existence.
Personne n'a le droit de disposer du corps d'un autre pour s'en débarrasser.
Qui devons-nous défendre: les bébés sans défense ou les femmes avorteuses étant devenues enceintes souvent par négligence et voulant commettre un second geste aussi irresponsable qu'irréparable pour s'en laver les mains, comme Lady Macbeth avec les mains tachées de sang?
Résumé d'une scène du 5ième acte de Macbeth de William Shakespeare:
Le dernier acte commence par une scène hallucinante. Lady Macbeth, sous les yeux d’un médecin et d’une dame de compagnie, sans les voir, s’avance au milieu de la nuit, inconsciente, et révèle tout haut les crimes commis, hors de tout contrôle, obsédée qu’elle est par une tache ineffaçable de sang sur sa main.
Source: Le crime de Lady Macbeth
Laissez vivre les bébés, laissez vivre les enfants, laissez vivre la vie.
Réjean Labrie Répondre
2 juillet 2022À ce qu’il paraît, un groupe d’activistes néo-féministes radicales militeraient actuellement pour pouvoir prolonger le droit d’avorter jusqu’à un an après la naissance. Elles pourront ainsi réviser leur position si l’enfant ne correspond aux attentes (sexe, couleur des yeux ou des cheveux, ressemblance avec l’un des parents plus que l’autre, teint de peau, handicap, physionomie, etc.). Elles affirment que cela est raisonnable et doit faire partie de leurs droits. Cela s'appelle le droit d'avoir un enfant à la carte.
Dans un autre ordre d'idées, comment quelqu’un peut-il être contre la peine de mort pour les criminels reconnus coupables de crimes abominables, mais être pour la mort de bébés coupables uniquement d’avoir été conçus?
Le droit de l'enfant à naître et vivre toute sa vie prime sur le droit de la mère de supprimer son propre enfant afin de s'en débarrasser. Ce ne sera jamais un droit de pouvoir tuer.
Au nom de quoi empêcherait-on un enfant en plein développement de vouloir naître?
Pour poursuivre la réflexion: Le foetus en plein développement a le droit de naître
Nationalisme et politique nataliste vont de pair
Réjean Labrie Répondre
30 juin 2022Pour donner un ordre de grandeur:
S’il y avait chaque année au Québec 25 000 cas de mortalité infantile entre 1 et 5 ans, tout le monde serait horrifié.
Tandis que s’il y a 25 000 enfants plus jeunes encore qui meurent prématurément avortés chaque année, on trouve que ce n’est pas si grave que ça, que c'est même tout à fait raisonnable.
Pourtant, ce sont tous nos enfants, les enfants du Québec.
Tout enfant conçu a le droit de naître et de ne pas se faire supprimer prématurément par sa mère qui n’en veut pas.
Nombre d'avortements au Québec par année
Mortalité infantile au Québec
Mortalité infantile et naissances de faible poids, Québec et Canada, sér...
Robert Choinière
Évolution de la mortalité infantile et des naissances de faibles poids pour le Québec et le Canada
Réjean Labrie Répondre
29 juin 2022Pour donner un ordre de grandeur:
250 000 bébés avortés au Québec depuis 10 ans = un quart de millions d'enfants supprimés.
L'équivalent des pertes de vie à Hiroshima plus Nagasaki.
À la différence près que personne d’ici n’a vu monter la fumée du champignon atomique.
Et qu'on considère que ce n'est pas plus grave que ça.
Sources:
Nombre d'avortements au Québec par année
Bombardements atomiques d'Hiroshima et de Nagasaki
Bombardements atomiques d'Hiroshima et de Nagasaki — Wikipédia
Réjean Labrie Répondre
28 juin 2022Pour donner un ordre de grandeur:
250 000 bébés avortés au Québec depuis 10 ans = un quart de millions d'enfants supprimés.
L'équivalent de la décimation de la population entière de Trois-Rivières plus Rimouski plus Victoriaville.
Ça prendrait tout un tireur fou pour en abattre autant du coup.
Mais dans tous ces cas, le tireur fou demeure invisible, agit impunément et est appuyé dans son geste répété.
Dès sa conception, l'être humain mérite de naître et d'atteindre son espérance de vie. C'est du moins ce à quoi on s'attend.
Le droit à naître du bébé prime sur le droit de la mère de le tuer pour s'en débarrasser.
Sources:
Nombre d'avortements au Québec par année
Liste des municipalités du Québec par population
Réjean Labrie Répondre
27 juin 2022Pour donner un ordre de grandeur:
Comparaison entre le nombre de morts de la covid-19 au Québec et le nombre de bébés avortés au Québec
Québec: total des morts de la covid-19 de 2020 à 2022: 15 567
morts de bébés avortés en 2020: 21 315
Estimé de morts de bébés avortés pour 2021 et projection pour 2022: entre 20 000 et 25 000 par année
Donc, de 2020 à aujourd'hui: 15 567 morts de la covid-19
Donc, de 2020 à aujourd'hui: entre 60 000 et 75 000 bébés supprimés par avortement, 4 fois plus létal que la covid-19
Il ne restait guère plus d'un an ou 2 à vivre à la plupart des premiers, mais 85 ans aux seconds.
On déplore les premiers, on ignore les seconds.
Faisons cesser ce carnage, cette boucherie inhumaine.
Le droit à la naissance une fois conçu prime sur le droit de tuer son propre enfant dont on ne veut pas.
Source: Décès dues à la covid-19
Nombre d'avortements au Québec par année
Réjean Labrie Répondre
25 juin 2022Pour donner un ordre de grandeur:
1- Depuis le début de la guerre en Ukraine, il y a eu 4 253 civils tués, et tout le monde trouve cela terrible.
Au Québec, on tue 25 000 enfants par année par avortement, et on trouve cela acceptable.
C'est 5 fois les pertes encourues dans la guerre en Ukraine qui sont commises au Québec chaque année. Une hécatombe.
Qui osera prétendre que c'est grave dans le premier cas, mais pas dans l'autre?
Autrement dit, une guerre invisible et sournoise fait 5 fois plus de morts au Québec chaque année, avec l'assentiment général.
Source: nombre de civils morts en Ukraine
Pour donner un ordre de grandeur:
2- Guerre Hamas/Israël: en date d'aujourd'hui le 9 décembre 2023, cette guerre a fait 17 400 morts. Tout le monde est horrifié.
On a montré quelques bébés prématurés morts dans un hôpital de Gaza bombardé. Tout le monde est horrifié. Ça fend le coeur.
Pourtant au Québec, c'est 25 000 petits bébés très prématurés qui deviennent morts chaque année. Ça en fait beaucoup par jour. Pourtant, personne ne semble en être horrifié.
C'est 2 poids, 2 mesures.
Source: Nombre de morts guerre Hamas/Israël
Réjean Labrie Répondre
13 juin 2022Notre collègue vigilien Yvonnick Roy apporte d'autres éléments de réflexion intéressants qui vont dans le même sens:
C'est le droit à la naissance qui a préséance
Normand Bélair Répondre
15 juin 2022Faudrait maintenir un droit à un être vivant avant de celui qui pourrait en devenir.
Voilà la présence, sur le vivant avant le en devenir...
Réjean Labrie Répondre
10 juin 2022Ce qu'il faut retenir des statistiques officlelles actuelles, c'est qu'on pourrait réduire l'immigration de moitié si tous nos bébés pouvaient poursuivre leur vie amorcée. C'est considérable.
Cela fait 50% d'immigrants de moins à intégrer à la société québécoise avec plus ou moins de chances de succès, 50% d'immigrants de moins cherchant à s'angliciser, 50% d'immigrants de moins cherchant à éviter par tous les moyens d'effectuer leur devoir d'intégration, 50% d'immigrants de moins venant s'installer dans leur communauté, sans réelle intention d'adhérer à la culture québécoise.
Le nombre des naissances au Québec est approximativement entre 80 000 et 90 000 par année.
25 000 avortements contre 80 000 naissances, c'est 1 bébé conçu québécois sur 4 qui est supprimé sans motif valable. C'est insensé! C'est pire qu'à l'époque de la haute mortalité infantile qui décimait et endeuillait les familles. Qui va trouver cela normal, et considérer la chose comme un progrès, une évolution?
Une politique nataliste doit être mise sur pied pour faire augmenter le taux de natalité de 90 000 à 115 000. Cette politique verra également à réduire les avortements injustifiés par un programme d'adoption à la naissance avec compensation monétaire de 20 000$ pour la mère porteuse, payée par les parents adoptifs, soit l'équivalent des tarifs de l'adoption internationale.
L'application de ces 2 mesures positives donnera un total de 50 000 naissances par année, le nombre actuel d'immigrants acceptés au Québec, ce qui permettra de réduire considérablement l'immigration tiers-mondiste en provenance des pays surpeupleurs qui se répandent maintenant ailleurs que chez eux, provoquant des ravages démographiques chez les nations atteintes.
Laissons nos enfants vivre leur vie, toute leur vie.
Source: l'Institut de la statistique du Québec
Normand Bélair Répondre
12 juin 2022Hmmm...25,000 avortements par année vous dites? Donc, en enlevant ce droit des femmes, il faudrait vivre avec 25,000 enfants non-désirés?
Et pourquoi c'est important d'avoir tant d'immigrants? C'est fictif tous ces chiffres de 40,000, 50,000, voir 70,000 - C'est basé sur de l'air - ce n'est même pas notre capacité d'accueil. Commençons par adresser le vrai problème: la sur-immigration.
Notez que notre capacité d'accueil est entre 12,500 à 20,000 par année.
Juste en respectant notre capacité d'accueil, l'élimination du droit des femmes est inutile.
Il n'y a aucune raison d'enlever ce droit au Québec.
Nous sommes rendu dans un monde de 1 ou 2 enfants, il n'y a aucune raison de demander autres chose aux Québécois. Pourquoi enlever ce droit ? Parce que Trump et sa droite fondamentaliste obscurantisme le réclame?
Je ne veux pas vivre dans le Moyen-âge, pas ici.
Normand Bélair Répondre
9 juin 2022L'avortement est un droit fondamentale de la femme, un point c'est tout.
Ceci empêche en rien de limiter l'immigration.
Pourquoi faire compliqué quand au fond c'est si simple.