55 000 nouveaux arrivants par année

66 000 assistés sociaux immigrants ($ 600 000 000 par année)

Cherchez l'erreur

Tribune libre


Il y a un problème grandissant dans la région de Montréal, celui des immigrants issus du tiers-monde qui ne travaillent pas et qui gonflent quotidiennement les rangs de l'aide sociale à vie.

Les statistiques en dénombrent plus de 66 000 dans la seule région de Montréal, un chiffre en hausse constante qui croît en proportion des arrivées.

Comme il en rentre 55 000 par année, nous avons l'équivalent d'une année entière de gens qui sont déjà entrés et qui surchargent le système.

Les 66 000 immigrants assistés sociaux nous coûtent $ 50 000 000.00 par mois en supposant une prestation mensuelle de $ 800.00 Nombreux sont ceux qui retirent des suppléments de toutes sortes.

Au total, cela donne la somme astronomique de $ 600 000 000.00 par année.

Comme le Québec est dans le rouge pour un certain temps encore, peut-être faudrait-il songer à arrêter l'immigration pendant 1 an, tant que les 66 000 assistés sociaux ne se seront pas trouvé un emploi. Ça ne sert à rien d'en faire rentrer plus, on a l'équivalent d'une année entière d'immigrants vivant actuellement aux crochets de la société. Écrivons à nos députés pour qu'il y ait un moratoire d'un an sur l'immigration.

Pour cette raison précise, il faut repenser les critères d'accueil au pays et envisager une meilleure sélectivité des candidats en fonction de leur compatibilité avec le fonctionnement de notre société et du marché du travail, ce qu'ont compris les Suisses en ouvrant grand leurs portes aux occidentaux qui s'intègrent rapidement, totalement et sans heurt au pays d'accueil.

Références:

66 000 immigrants assistés sociaux:

http://lejournaldequebec.canoe.ca/journaldequebec/actualites/quebec/archives/2010/01/20100105-220614.html


La solution suisse à l'immigration:

http://74.125.93.132/search?q=cache:wqAehOFFjhYJ:www.vigile.net/La-solution-suisse-aux-problemes+solution+suisse&cd=1&hl=fr&ct=clnk

Réjean Labrie, de Québec, capitale nationale.

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Plus de 825 articles publiés en ligne ont été lus un million 400 000 fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période de plus de 14 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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5 commentaires

  • Réjean Labrie Répondre

    25 mars 2013

    L'article du chroniqueur réputé Michel Hébert sur les 66 000 assistés sociaux immigrants se trouve maintenant ici:
    http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2010/01/20100106-045700.html

  • Archives de Vigile Répondre

    6 mai 2010

    .... dans un premier temps, il ne me semble pas que la situation soit tellement plus cohérente en Ontario par exemple. Ce qu'il faut comprendre est que la politique canadienne s'articule autour d'idées reçues qui ne tiennent plus la route au-delà d'un certain niveau d'immigration. On serait presque en face d'une loi des rendements décroissants sur le plan des avantages économiques .. Bon.

    Ici , au Québec, on comprend que l'erreur quant à la gestion de la question de l'immigration est beaucoup plus importante et grave parce que les questions d'intégration sont dédoublées: l'intégration sociale et économique d'une part, certes, tel dans tout le Canada-anglais, et l'intégration linguistique au français et lses liens à la vitalité du français au Québec et au Canada-français hors Québec..(qu'il me fait peine de constater le degré d’assimilation autour d'Ottawa, à Winnipeg...quel acte barbare!)
    Le transfert linguistique des immigrants allophones à l'anglais (preuve à l'appui: l'analyse des données statistiques de StatCanada immigrants et non-immigrants) montre bien que le pouvoir d'attraction de l'anglais est bien supérieur, qu'il y a substitution de langue maternelle au français dans une proportion largement moindre que la proportion francophone, et qu'alors la proportion de la population francophone ne peut que baisser. D'ailleurs ce processus, combiné à l'apport d'immigrants de langue anglaise, aura contribué à faire passer la proportion de la population francophone au Québec de 82% en 1991 à 79,6% en 2006.
    Ainsi, la politique et la gestion de l'immigration minent la vitalité de la langue française même au Québec, et il et les coûts des allocations sociales versées aux immigrants allophones peuvent avoir l'effet d'une contribution à l'anglicisation !
    à mon sens, le défi qui se pose maintenant est de faire comprendre la nature du problème à l'ensemble des décideurs, de créer un consensus autour d'une action concertée, convaincre de la nécessité de changer de paradigme, de revoir les politiques dans un esprit de cohésion sociale et nationale.
    Michel P.
    Montréal

  • Archives de Vigile Répondre

    27 mars 2010

    L'explication de la pauvreté des immigrants par Marie McAndrew. C'est tiré du blogue de Patrick Lagacé:
    «Un peu secoué par le courriel de Dufour, je m'étais promis d'investiguer plus avant l'enjeu du chômage chez les immigrants. La semaine passée, mercredi, j'ai passé un coup de fil à Marie McAndrew, titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur l'éducation et les rapports ethniques de l'Université de Montréal.
    D'abord, note-t-elle, il y a la difficulté de l'équivalence des diplômes. Le Québec privilégie des immigrants issus de la francophonie. «L'ingénieur qui débarque de Chine ou d'Inde possède un diplôme, par exemple, plus reconnu que celui d'un ingénieur d'Afrique noire. C'est un facteur.»
    Second facteur: la langue. «Nous avons 20% d'immigrants non sélectionnés, des réfugiés ou des gens de la famille d'immigrants choisis. S'ils parlent anglais, c'est très dur de fonctionner à Montréal.»
    L'immigrant maghrébin ou congolais qui, lui, parle français, se cogne le nez sur l'autre côté de la porte linguistique. «Dans l'immigration sélectionnée francophone, dont 70% est francophone, la connaissance de l'anglais est souvent rudimentaire, constate Mme McAndrew. C'est un obstacle. Surtout s'ils cherchent un emploi dans le privé.»
    Troisième facteur: ce que la prof McAndrew appelle la masse critique en entreprise. «C'est un principe de management: on embauche ceux qui nous ressemblent. Dans le cas des femmes, c'est quand les organisations ont atteint 30 à 40% de femmes, une masse critique, que ces organisations ont commencé à changer leur attitude d'embauche face aux femmes.»

  • Archives de Vigile Répondre

    26 mars 2010

    Monsieur Labrie
    Nous finançons notre propre disparition avec l'argent de nos impôts. Si ce n'est pas un geste autodestructeur, je me demande comment l'appeler? Et le bon peuple toujours docile ne lève même pas son petit doigt pour rouspéter ou contester cette immigration suicidaire. Parfois, il me prend l'idée de fermer les livres... Il y a une limite à patauger dans la merde comme ça se passe actuellement au Québec.
    André Gignac le 26 mars 2010

  • Archives de Vigile Répondre

    26 mars 2010

    Le deuxième texte de Michel Hébert est encore plus intéressant. A remarquer la bêtise de la réaction des trois politiciens. C'est à qui dirait le plus de bêtises. Hamad parle quand même du vrai problème mais ne fait rien pour le régler. Dans ma série j'ai expliqué en long et en large que l'immigration au Québec était une immense passoire et que c'était la faute à Ottawa qui nous innondait de réfugiés et de parrainés qui ne sont nullement qualifiés pour nos besoins.
    http://lejournaldequebec.canoe.ca/journaldequebec/actualites/quebec/archives/2010/01/20100105-220404.html
    05/01/2010 22h04
    Aide sociale au québec

    Les réfugiés gonflent le taux, dit le ministre Sam Hamad
    Michel Hébert
    Au dernier décompte, le Québec aura offert de l’aide sociale à 13 629 demandeurs du statut de réfugiés, en 2009, alors qu’il l’avait fait pour 11 905 personnes, l’année précédente.
    C’est ce qui gonfle le taux d’assistance de Montréal estime le ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, Sam Hamad.
    « Ça fausse un peu nos données. Sans les demandeurs d’asile, on aurait une baisse du nombre d’assistés sociaux. Mais on doit respecter la Convention de Genève et s’en occuper », dit-il.
    Avant qu’Ottawa ne décide de leur sort, le Québec doit les soutenir en leur versant des prestations d’aide sociale. Seulement 52 800 immigrants sont ici depuis plus de trois ans, les autres sont de nouveaux arrivants (10 500 environ) auxquels s’ajoutent les demandeurs d’asile.
    Sans ce dernier groupe, soutient M. Hamad, le Québec continuerait de faire beaucoup mieux qu’ailleurs en matière de pauvreté comme en toute autre chose. L’Organisation mondiale du travail le citerait en exemple.
    Quand on lui fait remarquer que les cohortes restent importantes, le ministre réplique que ça va nettement plus mal en Alberta, où le nombre d’assistés sociaux aurait bondi de 21 % tandis qu’en Ontario, on en compterait maintenant au moins un million. Deux fois plus qu’au Québec. « Dans le temps du PQ, il y en avait 800 000 », rappelle le ministre.
    « Action déficiente »
    La porte-parole du PQ en matière de lutte à la pauvreté, Monique Richard, affirme que, malgré ses effets positifs, l’action du gouvernement libéral est déficiente. Les gens sont de plus en plus nombreux aux banques alimentaires. Les logements abordables se font plus rares et les prestations ne couvrent plus les besoins essentiels.
    Autre défaut du système actuel, malgré le grand nombre d’organismes communautaires, la pauvreté ne recule pas. « Il n’y a pas une séquence continue dans les services. Parfois, un jeune sort d’un centre jeunesse avec un billet d’autobus. Il n’y a personne pour s’en occuper. Il retombe dans la délinquance et la pauvreté », déplore Mme Richard, qui espère un prochain plan de lutte à la pauvreté plus efficace.
    À l’ADQ, le député François Bonnardel estime que le gouvernement ne prend pas ses responsabilités à l’égard du décrochage scolaire. « C’est une des causes premières de la pauvreté », dit-il.
    M. Bonnardel soutient aussi que le plan Hamad est un « échec » puisqu’il n’a pas réussi à remettre au travail ceux qui n’ont pas d’empêchement à travailler. Et le fait que Montréal soit le refuge du tiers des assistés sociaux est carrément « inacceptable ».
    « L’aide sociale ne doit pas être un mode de vie », insiste le député de Shefford.