Le problème de l'immigration inappropriée, mal ciblée, ruineuse, telle que nous la subissons actuellement en raison de politiques multiculturalisantes et de critères de sélection inadéquats, prend de l'ampleur. La tour de Babel qu'est en train de devenir Montréal n'est que le signe le plus apparent du désastre qui nous guette.
On le constate de multiples façons, notamment par certains indicateurs fiables qui révèlent que le taux de chômage de certaines catégories précises d'immigrants dépasse le double des natifs et par le recours rapide et chronique à l'aide sociale, adopté comme mode privilégié de subsistance.
Autrement dit, des étrangers ont trouvé le moyen de venir s'installer ici et puis de se faire vivre par un état providentiel le reste de leur vie! Parlez-moi d'une loterie payante!
Qu'il suffise de rappeler que ces catégories d’immigrants qui ne trouveront jamais d'emplois reçoivent en prestations mensuelles gratuites l'équivalent de plusieurs mois de salaire dans leur pays du tiers-monde. Même que dans bien des cas il leur reste un surplus d'argent chaque mois pour en envoyer chez eux, en attendant de faire venir le reste de la famille par le biais du programme de réunification familiale qu'ils savent exploiter à fond.
Grâce à ce programme, toute la famille vieillissante se voit rapidement réunie et peut enfin se faire soigner à grands frais comme ils n'auraient jamais pu rêver de l'être là-bas, mais avec l'inconvénient de faire allonger indûment les listes d'attente pour nous-mêmes et nos propres familles...
Cela donne comme résultat que ce ne sont plus seulement certains des membres d'une communauté ethnique qui deviennent un fardeau permanent pour la société, mais bien une majorité de membres d'une communauté donnée qui adopte ce mode vie de dépendance à l'état, ce qui est une aberration aussi scandaleuse que ruineuse.
Pour enrayer ces stratagèmes appauvrissants, voire choquants, le gouvernement doit mettre sur pied des évaluations annuelles pour déterminer si l'immigrant mérite de rester, en s’assurant qu'il a réussi son devoir d'intégration à la société québécoise, ce qui est malheureusement loin d'être le cas de la majorité, à commencer par l'échec de la francisation.
Le problème est qu'actuellement tout immigrant du tiers-monde reste sur l'impression qu'il n'a aucun engagement à honorer une fois arrivé, qu'il peut continuer à vivre ici comme s'il était encore dans son coin du tiers-monde sous-développé, avec tout ce que cela comporte de mentalité moins évoluée, de comportements usuels inappropriés, d'attitudes répréhensibles, de pratiques condamnables.
L'obligation de passer une série de tests d'intégration viendra lui rappeler qu'il a de nombreux devoirs à accomplir, qu'il est ici à l'essai, et que s'il ne répond pas aux attentes, son échec le qualifiera automatiquement comme superflu.
Pour s'assurer que l'immigrant fait un effort sincère pour prendre le pli du pays et se hisser à notre niveau, on peut concevoir 1 examen général obligatoire par année pendant 3 ans. Le progrès devrait être quantifiable et constant.
Le contenu du test portera sur les acquisitions générales de base:
- maîtrise de la langue française
- avoir décroché un emploi régulier
- connaître les enjeux politiques de la nation
- Avoir acquis certaines notions minimales de l'histoire du Québec
- l'immersion dans la culture québécoise sous tous ses aspects: musique populaire ou savante, littérature, cinéma, nos journaux, téléromans et télévision locale, connaissance des personnalités publiques, de la colonie artistique, du petit monde de nos vedettes, le sport national (le hockey)
- connaissance, adhésion et mise en pratique de l'ensemble de nos valeurs de société
Comme dans tout examen, il y aura une note de passage et une évaluation détaillée du rendement, soulignant les points faibles à corriger d'ici l'examen annuel suivant.
Le candidat qui échoue 3 années d'affilée devra retourner gagner sa vie et travailler dans son pays comme avant, plutôt que de se faire entretenir dans un pays étranger qui n'est pas le sien.
Comme généreux prix de consolation, il aura tout de même connu ici 3 années d'abondance comparées à son pays, un cadeau de valeur qui lui aura été accordé malgré le fait que nous ne lui devions strictement rien au départ, au même titre qu'on ne doit rien aux centaines de millions d'autres personnes pauvres et miséreuses du tiers-monde qui convoitent avidement les largesses des pays occidentaux.
Une alternative à ce retour au bercail justifié pourrait être simplement le déménagement dans une autre province qui le prendra en charge à son tour.
L'un des avantages d'une telle batterie de test sera de servir d'incitatif, de rappel à l'ordre aux candidats réfractaires qui préféreraient faire preuve de négligence face à leur devoir élémentaire d'intégration. Un peu de pression ne peut pas nuire. L'enjeu est beaucoup trop important pour qu'on le néglige.
Le modèle multiculturaliste tel que promu par le fédéral est clairement rejeté par la grande majorité des Québécois de souche, qui y voient à juste titre une grave menace à la préservation des multiples éléments de l'identité collective telle que nous désirons la conserver.
Le temps est venu de mettre fin à la grande loterie de l'immigration qui attire tous les profiteurs du système, ceux qui se montrent très habiles à nous soutirer tout ce qu'ils peuvent, comme si nous leur devions quoi que ce soit, et qui croient n'avoir rien à donner en retour.
Les tests d'intégration viendront séparer le bon grain de l'ivraie, permettant de déterminer ceux qui seront un apport positif à la société et ceux qui doivent être considérés comme un fardeau permanent dont la société québécoise moderne n'a nul besoin.
Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
1 commentaire
Pierre Bourassa Répondre
25 décembre 2017À cette époque où le Fédéral y met le paquet pour noyer le premier peuple fondateur du Canada après les Amérindiens,je salue votre créativité et instinct de survie d’avoir trouvé une solution concrète pour contrer notre disparition programmée.
Urgence oblige,la rectitude politique doit prendre le bord au plus sacrant et le PQ aussi, s'il continue à se comporter comme un parti provincialiste soumis à la Charte fédérale de Trudeau datant de 1982,Charte que le Québec n’a jamais signé.
NB: je n'aime pas le nouveau site de Vigile pour l'envoie de message.Aussitôt qu'on bouge le moindrement le curseur,le message disparait .