Est-ce que le Montréal actuel est un triste aperçu du futur du Québec tout entier? Si oui, alors plus de Québec. Plus de nation tricotée serrée, plus de peuple fondateur historique. Plus rien qu’un mélange indifférencié dépourvu de liant social, privé de toute cohésion unificatrice. Qui veut de cela ?
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On constate actuellement à Montréal les horribles ravages de l'immigration massive mal filtrée, de l'ethnicisation à outrance, de l'application aveugle du multiculturalisme d'état canadien, de la diversité imposée et destructrice de notre identité collective historique, et de l’accueil de migrants illégaux qui n’ont pas d’affaire ici. Ça craque de partout.
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Il faut envisager que ces voleurs d'âme collective qui la déquébécisent soient relocalisés ailleurs au pays, puisqu'ils sont irrécupérables, refusant d'accomplir leur devoir d'intégration normale à la société d'accueil. Le processus d’assimilation à notre culture ne se fait tout simplement plus.
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Montréal, première ville déquébécisée, défrancisée, c’est hélas un fait accompli. Qui osera le contester? Et quelle sera la suivante : Laval, Brossard, Gatineau? Je soupçonne que Laval ne soit pas loin derrière, où il est facile de vivre en arabe…
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Montréal est devenue une ville anglophone ou le français est considéré comme cette espèce de patois méprisable utilisé par les indigènes que nous sommes aux yeux des immigrants. Les anglos et les allos surtout voient dans la pression de le parler une insulte à leur désir d’être ou de devenir Anglo-Canadiens. Ils se disent: ils se parlent leur argot incompréhensible juste entre eux, mais passent automatiquement à l'anglais pour nous répondre.
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L’immigration tiers-mondiste débridée à Montréal anglicise tout sur son passage comme un rouleau compresseur.
C'est souvent dans cette langue qu'on vous aborde, et surtout qu'on s'attend à être répondu.
Dans les manifestations multiethniques, les pancartes sont rédigées en anglais.
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Et plus consternant encore, le polémiste Jean-François Lisée a recensé des dizaines de cas vécus qui révèlent à quel point certaines communautés comme les jeunes maghrébins méprisent ouvertement les Québécois de souche, cela étant le reflet fidèle de l'attitude de ces mêmes jeunes maghrébins incrustés en France dans les quartiers qu'ils rendent dangereux et qui insécurisent la population native. Il apparaît clairement dès lors que seul le retour au pays d'origine puisse régler la question.
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Il nous appartient de se faire respecter et de s’instituer en tant que modèle de convergence, sur les plans culturels, du respect de nos valeurs, du mode de vie à l’occidentale. Le projet de loi 84 en préparation sur le devoir d’intégration de l’immigrant devrait aider nous aider à reprendre le dessus. C’est une question de fierté d’être ce qu’on est et représente.
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