Chaque fois que les élections reviennent, c'est la même rengaine qu'on reprend, à l'effet qu'il faudrait absolument rechercher et atteindre la parité homme/femme dans le nombre de députés élus. La belle affaire.
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En politique comme dans n’importe quel autre emploi, on doit accorder un poste uniquement en fonction des qualifications, et jamais en fonction du genre, de l’orientation sexuelle, de la race, de l’ethnie, de la religion, ou du fait d’être un indien, un racisé, un immigré, ou quoi que ce soit d’autre.
Lorsqu’on entend tous ces politiciens beaux parleurs déclarer vertueusement vouloir établir à tout prix la parité homme/femme parmi les députés et ministres, on sent qu’ils courbent faiblement l’échine devant certains groupes de féministes braillardes et revanchardes. Ils le font uniquement pour bien paraître, faire bonne impression, plaire aux bien-pensants de ce monde (ces nouveaux curés qui prétendent savoir mieux que nous ce qui est bien ou mal), et, ultimement, pour flatter l'électorat féminin afin d'en récolter les précieux votes tant convoités.
Test: Seriez-vous endoctriné au politiquement correct? Comment s'en libérer
Cette idée de parité qui à prime abord pourrait paraître désirable, juste et équitable ne l'est qu'en apparence et ne peut engendrer que déraillement et désastres. Ce n'est qu'une vue de l'esprit trompeuse. C'est une fausse bonne idée facile à déboulonner.
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Le principe directeur qui doit nous guider est pourtant simple à comprendre: lorsqu'on embauche, on accorde un poste à ceux qui le méritent, point.
Si les dirigeants avaient le courage de défier le tout-puissant politiquement correct, ils affirmeraient haut et fort:
Un poste doit être accordé uniquement selon les critères suivants:
- diplomation
- qualifications
- compétence
- expérience
- talent
- performance et rendement
- expertise spécialisée
- reconnaissance des pairs
- réalisations notables
Référence: Une woke toxique fait tomber des têtes (blanches) au Musée d'Ottawa
Un ennui supplémentaire, c'est le fait que trop de femmes une fois placées en position d’autorité finissent par devenir tyranniques et toxiques, ce qui nuit considérablement à l’établissement d’un climat de travail satisfaisant, tout en empêchant d'atteindre les objectifs visés. Les exemples publics abondent. Tout le monde en a connu au moins une.
Des dizaines d’articles ont établi le fonctionnement habituel de ce type de comportement féminin:
Sur les chantiers de construction, on compte relativement peu de femmes. Celles qui s'essaient abandonnent au bout d'un certain temps. Personne ne contestera que c'est un travail extrêmement exigeant sur le plan physique. Pourtant, on nous inonde de reportages sur le sujet, comme s'il fallait tout faire pour qu'il y ait autant de femmes que d'hommes sur les chantiers. Tout ça n'est que de la basse propagande féministe dont il ne faut pas être dupe.
Les garderies et CPE sont un monde de femmes. Est-ce que les hommes s'en plaignent en prétendant être victimisés, écartés? Est-ce qu’on organise des manifestations monstres pour avoir « plus d’hommes dans les garderies ? »
Certains emplois sont plus appropriés à l'un des 2 sexes, d'autres aux deux. Respectons les capacités et aptitudes naturelles propres à chacun d'eux. Le principal est de n'empêcher personne de s'essayer.
Les petits garçons adorent jouer avec leur train électrique. Faudrait-il forcer les petites filles à aimer ça elles aussi? Laissons à chacun son domaine de prédilection, son champ d'épanouissement, qui respectent les prédispositions physiques et mentales de chacun.
On souligne toujours à grands traits que la gouverneure générale du Canada Mary Simon est une autochtone, mais nommée uniquement pour cette raison, peu importe qu'elle ne parle pas un traître mot de l'une des deux langues officielles du Canada, ce qui serait beaucoup plus important comme reconnaissance des 2 nations qui le forment. Encore une autre erreur flagrante de choix idéologique biaisé. Aux yeux des fédéralistes, mieux vaut favoriser ces pauvres indiens tellement lésés qui font tellement pitié, plutôt que le peuple fondateur du pays lui-même qu'on fait passer au second rang derrière. Même que cela fait leur affaire...
En conclusion, chaque fois que vous entendrez vanter les pseudos mérites de la parité homme/femme forcée en politique ou ailleurs, répétez-vous avec conviction qu’ils se trompent, qu’ils choisissent sciemment le chemin de l'aveuglement idéologique qui mène invariablement à la médiocrité des résultats ou pire encore, à l'échec de projets ou mandats entiers.
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