Sur le principe des travailleurs saisonniers

Un permis de travail de 5 ans pour remplacer l'immigration

Et nos propres enfants prendront la relève lorsqu'ils seront en âge de le faire

Tribune libre


L'Institut économique du Québec ne prévoit plus une décroissance de la population à partir de 2031 en raison du mini bébé-boom des dernières années.

Par conséquent, dans une optique de préservation de l'identité nationale et pour la protéger de l'effritement anéantissant qui résulte de l'ethnicisation de substitution, il devient souhaitable de remplacer l'immigration en provenance des pays du tiers-monde sous-développé par de simples permis de travail de 5 ans jusqu'à ce nos propres enfants soient en âge de prendre la relève et d'occuper à leur tour ces emplois qui leur reviennent de droit.

Faut-il rappeler que l'unique objectif de l'immigration a toujours été de combler les postes manquants, pas de voler les emplois aux nôtres? D'un côté le pays y était forcé pour combler certaines lacunes, d'un autre il y perdait au change en altérant gravement la composition de la population canadienne-française menacée de disparition depuis 1759, la seule animée du désir légitime du pays du Québec. On en perçoit la conséquence dramatique sur l'île anglicisée et dénationalisée de Montréal, qui ressemble de moins en moins à la continuité historique du Québec que nous voulons voir survivre.


Le système de permis de travail fonctionne déjà avec succès sur une échelle plus réduite avec les emplois saisonniers accordés par exemple aux Mexicains en agriculture. Il s'agirait simplement de généraliser cette politique à l'ensemble des emplois à combler. Un candidat entrerait au pays pour exercer un emploi vacant précis pour une durée limitée dans le temps, ce qui lui permettrait de mettre de l'argent de côté pendant toute cette période dans le but de favoriser avantageusement son retour ultérieur chez lui.

Il faut considérer comme un privilège celui de pouvoir venir travailler au Québec. Tout candidat qui se voit accorder un permis de travail de 5 ans profitera d'avantages déjà fort enviables en soi.

Ceci dit, il ne doit en aucun cas devenir une charge à l'état. Dans cette optique, les points suivants s'appliqueraient pour éviter les abus et les profiteurs du système:

- Pas droit à notre assurance-chômage ni à notre aide sociale. S'il épuise ses réserves personnelles, il quittera simplement plus tôt que prévu sans engendrer de coûts indus à notre système déjà surchargé en vivant aux crochets de la société.

- Pas droit à notre assurance-santé. Il devra défrayer obligatoirement le coût d'une assurance maladie personnelle pendant toute la durée de son séjour.

- Pas droit à la couverture accidents de travail de la CSST en tant qu'étranger. Là aussi, la couverture sera à ses frais et prélevée à même son salaire.

Il suffit de constater les taux de chômage effarants de certaines catégories d'immigrants établis ici qui dépassent le double des natifs pour comprendre qu'il faut mettre des balises au "venez ici et faites-vous entretenir à vie".


Au terme de son contrat, le candidat tiers-mondiste retournera travailler dans son pays avec le pécule qu'il aura amassé et qui représente une véritable petit fortune par rapport au niveau de vie là-bas et qui lui permettra d'y vivre à l'aise.

Voilà un type de contrat équitable qui répondra aux besoins temporaires de notre société sans entraîner les inconvénients que l'établissement permanent provoque inévitablement. Notre identité nationale se verra alors protégée de l'effritement néfaste et des atteintes au tissu social d'un peuple qui se doit de rester tricoté serré pour survivre.

Le Québec doit continuer d'être à l'image ce qu'il a toujours été.

À nous de préparer un avenir à notre propre descendance, les enfants du Québec que nous chérissons tous.

Référence de l'Institut économique:
http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-quebecoise/201104/14/01-4389861-quebec-veut-reduire-limmigration.php

Les immigrants sans emploi coûtent actuellement 600 000 000$ en aide sociale:
http://lejournaldequebec.canoe.ca/journaldequebec/actualites/quebec/archives/2010/01/20100105-220614.html

Réjean Labrie, de Québec, capitale nationale.

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Plus de 875 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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2 commentaires

  • Réjean Labrie Répondre

    5 juillet 2011

    Bonne idée que la vôtre M. Haché; je m'en vais leur acheminer l'article sans plus tarder tel que vous le suggérer.
    Réjean Labrie

  • Marcel Haché Répondre

    5 juillet 2011

    Le P.Q. pourrait faire un millage d'enfer avec votre proposition.
    Qui sont ceux qui pourraient s'y opposer ?