Chaque nation a le droit de préserver son intégrité identitaire

Prévenons le racisme avant que les conditions requises n'apparaissent

La xénophobie est universelle une fois un certain seuil dépassé

Tribune libre


Les ennemis de la nation québécoise sont nombreux et ne reculent devant aucun moyen à leur disposition pour la soumettre et la décimer.

L'un des moyens pour nous empêcher de défendre notre intégrité identitaire est de nous accuser à tort et à travers de xénophobie, de frilosité, de repli sur soi, dans le but inavoué de nous forcer à se laisser diluer petit à petit parmi l'afflux de tiers-mondistes venant de tous les pays sous-développés qui viennent s'imposer ici en tant que communautés ethniques grossissantes, l'objectif de ce stratagème étant évidemment de marginaliser jusqu'à la dissolution totale le peuple fondateur de la nation que nous sommes afin de l'empêcher d'atteindre un jour sa légitime souveraineté (faut-il rappeler que le vote allophone est à 99% pour le Non). En effet, si les allophones avaient voté pour le Oui dans la même proportion que nous, le Québec serait un pays officiellement reconnu depuis 15 ans déjà, ça fait réfléchir...

Il n'y a qu'une façon vérifiée d'éviter l'apparition du problème de la xénophobie, c'est tout simplement de ne pas créer les conditions qui l'engendrent. Autrement dit, il s'agit de ne pas dépasser un certain seuil au-delà duquel les gens formant la population native se sentent menacés comme par des envahisseurs. C'est un réflexe de survie naturel à toutes les peuples et qui vise à protéger les caractéristiques propres à chacun. Cette réaction étant inévitable, voilà pourquoi il importe de ne pas la provoquer par des politiques d'immigration mal avisées qui ne respectent pas la composition de la population native.

C'est une regrettable erreur d'affirmer une chose comme: "il n'y a pas de tensions raciales au Québec, donc continuons à accueillir des millions de ressortissants étrangers pour les sauver de leur condition miséreuse". Car dès que le seuil acceptable par la population sera dépassé, des problèmes ingérables surgiront alors comme partout ailleurs dans le monde où on a laissé la situation se détériorer. C'est pourquoi la prévention demeure la meilleure solution, avant que le problème ne se soit installé pour de bon.

Défendre l'identité culturelle de sa nation, s'opposer à sa mutation imposée en quelque chose d'autre qu'elle n'a jamais été ni souhaité être ne sera jamais de la xénophobie, peu s'en faut, c'est du patriotisme, lequel est la vertu cardinale de tout peuple qui se respecte. Et la ferveur nationaliste est le moyen idéal pour cultiver l'amour de sa nation et souhaiter sa pérennité.

Par conséquent, si nous désirons une société où règne la paix sociale et où l'identité culturelle de la nation fondatrice est sauvegardée de l'effritement, il importe de prendre les mesures de contrôle de l'immigration requises pour éviter que la situation ne dégénère et ne devienne intolérable à la population. Ces mesures passent par la préservation de l'homogénéité de la composition historique de la population actuelle qui doit rester fidèle à son image et ce, dans une visée de continuité avec ce que nous avons toujours été. Vaut mieux prévenir que subir.

Restons québécois pour que notre pays continue à nous ressembler.

Réjean Labrie, de Québec, capitale nationale.

P.S.: et vous, lecteur attentif, vous laissez-vous bâillonner chaque fois qu'on vous traite de xénophobe pour avoir osé défendre votre peuple?

Réjean Labrie, de Québec, capitale nationale
Statistiques de la quasi totalité du vote allophone pour le Non: http://www.vigile.net/No-time-for-French-un-depanneur-de

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Réjean Labrie817 articles

  • 1 406 811

Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Plus de 815 articles publiés en ligne ont été lus un million 400 000 fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période de plus de 14 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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11 commentaires

  • Francis Déry Répondre

    27 juin 2012

    http://www.985fm.ca/national/nouvelles/le-doc-mailloux-traite-les-arabes-de-tares-154061.html
    (Cogeco Nouvelles) - Le psychiatre Pierre Mailloux fait à nouveau parler de lui à la suite de ses propos sur les Arabes, qu'il a traités de "tarés" et de "porteurs d'une culture malsaine".
    Dans une entrevue avec Mario Tremblay de la radio X, à Québec, le 15 juin dernier, Pierre Mailloux a partagé sa théorie au sujet d'Amir Khadir, le co-chef du parti Québec solidaire.
    Il commençait son intervention en soulignant ne pas craindre le député de Mercier, mais plutôt sa culture arabe.
    L'affaire rappelle d'autres propos controversés. En 2005, Pierre Mailloux avait affirmé que les Noirs souffraient d'un désavantage intellectuel.

    Comme soulignait Paul Arcand, les tares sont des défauts génétiques. Tandis que la culture relève de la mémétique.
    Amir Khadir n'est pas Arabe. Il est une Iranien teinté de sang turc. Côté religion, il se tient bien loin de l'Islam.
    Offrez-lui une bière comme test. Sa file ne se voile que pour semer l'anarchie. Mailloux a tort sur ce dossier.
    Par contre, pour son affirmation à propos du désavantage intellectuel des Noirs, Morgan Freeman lui donne raison.
    http://www.youtube.com/watch?v=fdti5Rr8rhs

  • Francis Déry Répondre

    25 juin 2012

    http://www.haaretz.com/news/national/israel-enacts-law-allowing-authorities-to-detain-illegal-migrants-for-up-to-3-years-1.434127

    A law granting Israeli authorities the power to detain illegal migrants for up to three years came into effect on Sunday, in the wake of widening public controversy over the influx of African migrants who cross into Israel along its border with Egypt.
    The law makes illegal migrants and asylum seekers liable to jail, without trial or deportation, if caught staying in Israel for long periods. In addition, anyone helping migrants or providing them with shelter could face prison sentences of between five and 15 years.
    The law amended the Prevention of Infiltration Law of 1954, passed to prevent the entry of Palestinians as part of emergency legislation. The law is expanded to address migrant workers or asylum seekers who enter Israel without posing a threat to Israel's security.
    According to the law, migrant workers already here could be jailed for the most minor offense such as spraying graffiti or stealing a bicycle - infractions for which they would not have been detained before.
    So far, all migrants who have been caught by the Israel Defense Forces on the Israel-Egypt border have been transferred to the Saharonim detention facility which holds 2,000 spaces.
    The facility is currently being expanded to 5,400. The Interior Ministry has reported that they are implementing the amendment and will fill up Saharonim, where they will be held until the ministry "finds other solutions."
    According to the Interior Ministry, the Saharonim detention center will run out of space within a month.
    All those detained go through an identification process and a medical examination. Those who file for asylum receive a temporary visa to remain in Israel. Sudanese and Eritreans, however, are not allowed to file for asylum, although they are automatically eligible for temporary shelter and a one-way ticket to Tel Aviv. Some migrants continue independently to Arad or Eilat where they often have acquaintances.
    According to the ministry, up to 60,000 African migrant currently live in Israel, with 2,031 entering in the month of May alone.
    Human rights organizations see the amendment as a harsh step which contradicts the United Nations Convention Relating to the Status of Refugees (CRSR). According to the Hotline for Migrant Workers, the law was "born in sin" and is a "dark moment for Israel."
    "Instead of acting like all civilized countries and verifying requests for asylum and granting refugee status to those who are eligible, which Israel is obligated to do under the UN convention, the state sees mass imprisonment of thousands of people, women and children, whose only offense was seeking escape from murderous regimes, as a solution to the problem. This solution will not solve a thing as it is neither humane nor effective.
    In a statement, the Israel Prison Services said that it was ready to "take in as many illegal residents as come to its facilities, with the required detainment authority and according to time of detention."
    "For this purpose, several wards outside Saharonim have been converted, and we will prepare according to need," the statement added.
    Meanwhile on Sunday, Israeli daily Maariv published an interview with Interior Minister Eli Yishai, in which he stated that most of the "Muslims that arrive here do not even believe that this country belongs to us, to the white man."
    "I will continue the struggle until the end of my term, with no compramises," Yishai continued, stating that he would use "all the tools to expel the foreigners, until not one infiltrator remains."

  • Francis Déry Répondre

    23 juin 2012

    Parlant d'ennemis de la nation québécois, j'y inclus la frange sioniste mobilisée par le grand capital privé qui a mis sous sa main le NPD, le Parti Libéral et le Parti Conservateur.
    Comment Israël peut servir de modèle ?

    Israël : la chasse aux Noirs est ouverte
    15/06/2012 à 12h:09 Par Maxime Perez, à Jérusalem

    Le 23 mai, à Tel-Aviv, les habitants du quartier Hatikva s'en sont pris aux réfugiés africains. © Ariel Shalit/AP/Sipa
    Diabolisés par les autorités, les demandeurs d'asile subsahariens sont désormais ouvertement rejetés par une partie de la population israélienne. Qui n'hésite même plus à organiser des expéditions punitives.
    Voilà bien longtemps qu'Israël n'est plus la terre promise pour les réfugiés subsahariens. Ceux originaires de Djouba peuvent en témoigner : au prétexte que leur pays a accédé à l'indépendance, ils sont les premiers à s'être vu assigner un bon de sortie par le ministère de l'Intérieur. Depuis le 1er avril, moyennant une compensation de 1 000 dollars, les quelque 3 000 ressortissants sud-soudanais sans permis de travail sont priés de se livrer aux autorités dans l'attente de leur expulsion. Une mesure que vient d'approuver à son tour le conseiller juridique du gouvernement, Yehuda Weinstein, malgré l'opposition de cinq organisations israéliennes de défense des droits de l'homme, lesquelles ont déposé un recours devant le tribunal de grande instance de Jérusalem.
    En attendant, les travaux d'agrandissement du camp de Ketziot s'accélèrent dans le désert du Néguev. Jadis réservée aux détenus palestiniens, cette ancienne prison s'apprête à devenir l'un des plus grands centres de détention au monde en permettant, à partir de 2013, l'accueil de 11 000 réfugiés. Pourtant, ni cette gigantesque structure de 75 ha au coeur d'un no man's land de sable, ni l'édification d'une barrière de sécurité le long des 240 km de frontière israélo-égyptienne - qui s'achèvera en octobre - ne semblent dissuader les candidats à l'immigration clandestine. Depuis le début de l'année, environ 8 000 ressortissants subsahariens auraient encore afflué vers le territoire israélien en provenance de la péninsule du Sinaï.

    Camp de Ketziot
    Des députés du Likoud les qualifient de "cancer" ou d'"ennemis infiltrés".
    Livrés à eux-mêmes
    « Il y a actuellement 60 000 clandestins en Israël, mais si nous ne faisons rien, ils seront bientôt 600 000, a récemment averti le Premier ministre Benyamin Netanyahou. Ce phénomène est extrêmement grave et menace les fondements de la société israélienne, la sécurité et l'identité nationale. » Ces propos alarmistes sont aujourd'hui une constante du discours officiel, à croire que les « infiltrés d'Afrique » - leur appellation par les autorités - seraient plus redoutables qu'une bombe nucléaire iranienne. Sans surprise, cette rengaine est largement reprise par les ténors de la droite nationaliste. « Ils sont un cancer dans notre corps », s'emporte Miri Regev, députée du Likoud. Son compère Danny Danon en est presque à lancer un appel aux armes. « Israël est en guerre. Un État ennemi d'infiltrés a été établi dans notre pays, et sa capitale est le sud de Tel-Aviv », écrit-il sur Facebook.
    Dans un récent rapport sur la situation des réfugiés dans le monde, le département d'État américain fustige la rhétorique « négative » employée par les autorités israéliennes à l'égard des demandeurs d'asile subsahariens. « Des représentants officiels les associent régulièrement à la hausse de la délinquance, des maladies et du terrorisme », constate le rapport, qui relève par ailleurs de graves « manquements » dans le traitement de ces populations. Bien qu'une protection temporaire leur soit accordée, « le gouvernement ne fournit pas de prestations sociales aux demandeurs d'asile, telle que l'assurance maladie ».
    Cette absence de gestion humanitaire est dénoncée de longue date par les ONG israéliennes. En 2011, sur 4 603 demandes d'asile formulées par des immigrants subsahariens, 3 692 ont été rejetées et 1 seule approuvée. Les autres sont à l'étude. Dans les faits, après avoir procédé à l'identification des clandestins quand ils franchissent la frontière, les autorités n'assument plus aucun rôle. Se laissant dépasser par ce flux migratoire, elles se contentent de les déverser par autobus entiers dans les grands centres urbains du pays.
    Ce laxisme a des conséquences désastreuses. Dans les villes de seconde zone comme Beer-Sheva, Arad, et même au sud de Tel-Aviv, où s'entasseraient près de 30 000 réfugiés subsahariens, la criminalité est en hausse vertigineuse. Livrés à eux-mêmes, souvent sans ressources, des groupes de migrants se livrent de plus en plus fréquemment à des actes de violence ou à des agressions sexuelles. Au mois de mai, le cas de deux jeunes Israéliennes violées par des ressortissants érythréens et soudanais a provoqué un vif émoi au sein de l'opinion. Les médias s'en sont largement fait l'écho, alimentant de facto la psychose et les tensions intercommunautaires. En l'espace de quelques jours, pas moins de sept cocktails Molotov ont visé des habitations d'Africains et un jardin d'enfants du quartier de Shapira. Au sein des couches populaires, qui vivent au contact des demandeurs d'asile, la colère est aussi teintée de frustration. Les réfugiés sont accusés de voler les emplois peu qualifiés, et surtout de tirer les salaires vers le bas en acceptant des rémunérations très faibles.
    Franche hostilité
    À la méfiance et à la peur succède donc une franche hostilité à l'égard des populations africaines. Le 23 mai, à Tel-Aviv, une marche organisée par les habitants du quartier Hatikva a dégénéré en véritable « chasse aux nègres ». Sur l'artère centrale, rue Etzel, des manifestants ont saccagé plusieurs commerces appartenant à des travailleurs étrangers, avant de caillasser méthodiquement chaque véhicule dans lequel circulaient des ressortissants subsahariens. « Dehors les Noirs ! » ont scandé certains habitants, avant d'être appréhendés par la police.

    Les réactions d'indignation ont fusé de toutes parts dans la classe politique israélienne, doublées d'appels au calme. « Je demande à nos dirigeants de faire preuve de responsabilité et de ne pas inciter à la haine », a déclaré le ministre de la Sécurité intérieure, Yitzhak Aharonovitch. L'organisation pacifiste Shalom Arshav (« La paix maintenant ») a exigé pour sa part l'ouverture d'une enquête contre plusieurs députés du Likoud et de l'extrême droite, accusés d'avoir encouragé ces violences. Quant à la municipalité de Tel-Aviv, inquiète de ces débordements sans précédent, elle vient d'obtenir le déploiement en renfort d'une compagnie de gardes-frontières.

    Israël : la chasse aux Noirs est ouverte | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
    http://www.jeuneafrique.com/Article/JA2682p048-049.xml0/#ixzz1yBXOgMrl






    Solution to Illegal Infiltrators - Inside Israel - News - Israel National News
    http://www.israelnationalnews.com/News/News.aspx/140866
    http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3990824,00.html

  • Francis Déry Répondre

    23 juin 2012

    @Didier

    "Yvan Blot fonde son analyse de l’oligarchie en référence constante au Gestell heideggerien, qu’on peut définir comme une vision du monde exclusivement matérialiste, utilitariste, techniciste. L’homme idéal selon le Gestell n’a pas de racines (ni famille, ni race, ni nation, ni culture, ni spiritualité, ni religion), n’a pas de passé (un culte mémoriel totalement virtualisé et instrumentalisé dans le sens d’une repentance mortifère lui en tient lieu), n’a pas d’idéal (pur producteur/consommateur interchangeable), n’a pas de personnalité (en lieu et place, un ego hypertrophié par la publicité)."

    /mode conspiration on/
    La destruction des Couronnes, des Églises, voire même de la cellule familiale faisait partie du plan des Illuminati. Idée reprise dans les Protocoles des Sages de Sion pour saper la société occidentale chrétienne.
    Heidegger, que je ne connais pas vraiment, a courtisé le national-socialisme à ses débuts. Il semble avoir été influencé par Adam Weishaupt et les PSS.
    D'un autre côté, la coupure des racines permet l'Homo Liberalensis. La destruction des valeurs morales, vues comme des préjugés, rend "libre", c'est à dire permet les caprices. Alors que la vraie liberté est de pouvoir se conduire selon nos valeurs.
    /mode conspiration off/
    D'un autre côté, "illuminé" est la traduction du mot "bouddha" en sanskrit. Les racines empêche l'instantanéité de l'esprit. Le Bouddhisme prêche le détachement des illusions de ce monde temporel.

  • Archives de Vigile Répondre

    23 juin 2012

    Monsieur Didier
    Ce dont je laisse miroiter à mots couverts n’a rien à voir avec cette Oligarchie planétaire. Eux, se sont par nature des prédateurs congénitaux qui s’ignorent ; ils ont des âmes de prédateurs, de générations en générations. Leur devise se résume à « tout pour soi… tout pour moi…je me moi, et rien pour les autres. » Leurs banques, leurs bourses, leurs financiers, leurs hommes de main, leurs médias…etc. orientent les flux monétaires internationaux dans une seule direction : la leur. Ils peuvent cependant, je vous le reconnais, prendre l’apparence extérieure d’un Être Universel, mais ce n’est qu’une apparence, qu’un simulacre de vérité, une déformation de la réalité, il utilise l’Universel à des fins purement egocentrique. Il ne faut pas se fier aux apparences. Le Nouvel Ordre Mondial qu’ils tentent depuis des siècles de mettre en place serait sur le point de réussir… si ce n’était des nouveaux évènements qui se présentent actuellement sur la planète.
    L’Être Universel qui se réveille aujourd’hui au Québec n’a rien à faire avec cette Oligarchie. Et cet Être Universel, que nous le reconnaissions ou pas, c’est ce que nous sommes tous de par essence, bien sûr, nous avons été par le passé une âme, un peuple, qui a évolué dans un temps historique, qui a fait de multiples expériences, mais aujourd’hui, ces temps sont révolus, nous transcendons notre âme et accueillons notre esprit véritable, notre nature universelle, qui n’a que faire des combats, des luttes incessantes, de la dualité du bien et du mal à tous les niveaux, et nous nous élevons au-delà de tout ce jeu, de cette mascarade de civilisation qui a occupé notre soi-disant esprit et l’a détourné de ce que nous étions réellement universellement parlant.

  • Archives de Vigile Répondre

    23 juin 2012

    Monsieur Peter,
    Vous véhiculez peut-être sans le savoir les valeurs de l'oligarchie et du Gestell. Voici ce que l'écrivain français Yvan Blot a à dire à ce sujet:
    "Yvan Blot fonde son analyse de l'oligarchie en référence constante au Gestell heideggerien, qu'on peut définir comme une vision du monde exclusivement matérialiste, utilitariste, techniciste. L'homme idéal selon le Gestell n'a pas de racines (ni famille, ni race, ni nation, ni culture, ni spiritualité, ni religion), n'a pas de passé (un culte mémoriel totalement virtualisé et instrumentalisé dans le sens d'une repentance mortifère lui en tient lieu), n'a pas d'idéal (pur producteur/consommateur interchangeable), n'a pas de personnalité (en lieu et place, un ego hypertrophié par la publicité)."
    http://www.polemia.com/article.php?id=4295

  • Réjean Labrie Répondre

    23 juin 2012

    Cher monsieur Noël,
    Vos observations concrètes sont très pertinentes.
    À propos de la dame birmane: on voit très bien le fonctionnement du mécanisme de loterie universelle dont le prix est: "Gagnez une place au Canada (ou tout autre pays occidental) et soyez "sauvé" à vie!" Votre nouveau pays prendra soin de vous jusqu'à la fin de vos jours. Pas surprenant que les demandes affluent par millions...
    Réjean Labrie

  • Archives de Vigile Répondre

    23 juin 2012

    Pourquoi voulons-nous absolument nous identifier à une identité québécoise ? C’est encore la peur de s’ouvrir sur le monde, sur les mondes, sur l’univers ! L’identité québécoise est en quelque sorte notre propre prison que nous tentons de maintenir en place, une histoire que nous adorons, un mythe que nous croyons réel, que nous croyons nôtre, une programmation établit par d’autres depuis des siècles. Bref, c’est un carcan, une illusion de petit peuple ! Ça c’est l’âme québécoise ! Mais nous ne sommes pas cette âme ! Ce n’est pas assez ! Cette âme est une prison ! Aujourd’hui, il n’est plus question d’âme, l’âme québécoise doit mourir à elle-même, car nous sommes tous en tant qu’esprit au-delà de l’âme. Se souvenir c’est ça ! Nous sommes avant tout un esprit universel en tant que nation québécoise pour nos frères et nos sœurs de tous les continents de la terre. Actuellement, beaucoup de yeux sont tournés vers le Québec. Que va faire le Québec ? Ce qui caractérise le Québec c’est son esprit, pas son âme ! La nation québécoise se caractérise par son ouverture à tous les peuples de la terre, c’est son esprit qui est puissant, et cet esprit transmute toutes les âmes de tous les peuples.

  • Archives de Vigile Répondre

    23 juin 2012

    Je fais beaucoup de vélo cet été à Québec. Je vais partout, de l'Ile à Lévis, de Ste-Foy à Limoilou.
    Je suis sidéré de voir comment Québec a changé! En une heure de vélo à Québec, je peux croiser une vingtaine de Noirs! Une dizaine d'Asiatiques. Deux ou trois femmes voilées. Pas à Marseille. Pas à Montréal. A Québec.
    L'autre jour à l'épicerie. Une p'tite dame, la cinquantaine, à moitié édentée, en costume traditionnelle (Birmane???). Non seulement elle ne parlait pas un mot de français, mais elle était incapable de payer les 13,77$ de sa facture. Elle ne savait pas compter! C'est la caissière qui a dû compter pour elle la monnaie de son porte-feuille
    Pas à Marseille. Pas à Montréal. A Québec.
    Mais tout le monde fait l'autruche. Québec vit sur un nuage.
    On continue d'accueillir deux fois plus d'immigrants qu'aux États-Unis sans réaliser à quel point cette dose de cheval est en train de nous tibétiser.

  • Archives de Vigile Répondre

    22 juin 2012

    Il est vrai de dire qu'il y a, sans que ce soit du racisme comme tel, une préférence pour les gens de sa propre ethnie chez la plupart des peuples.
    C'est pour ça que lorsqu'un même territoire est peuplé d'une multitude d'ethnies, il y a un risque de conflit entre les ethnies pour s'accaparer du territoire afin de le léguer à la descendance de sa propre ethnie au détriment des autres ethnies qui y vivent.
    Les Amérindiens, malgré une présence européenne de 400 ans, ont conservé leurs traditions, leurs coutumes etc... mais ils ont, le grand chef Gros-Louis l'a déjà mentionné, perdu bien du territoire depuis l'arrivée des Européens.
    Qui nous dit que ce n'est pas l'avenir qui attend les Québécois de souche?
    Et le chanteur Kevin Parent qui a déjà dit que la chanson l'a aidé à s'intégrer au "monde canadien-français", car en tant qu'Anglais, car c'est ce qu'il est ethniquement parlant en bonne partie, il a déclaré que l'on reste toujours un peu un "outsider" au Québec.
    Tout ça pour dire que je crois en effet qu'il est difficile de former une nation avec toutes les ethnies de la terre.

  • Archives de Vigile Répondre

    22 juin 2012

    Le Premier Ministre de L'Australie a dit aux émigrés de son pays que s'ils n'étaient pas capables de s'adapter, d'accepter de vivre selon les valeurs des australiens, ils n'avaient qu'à retourner d'où ils venaient, qu'il ne les retiendraient pas. D'autres premier ministres ont fait de même. Mais ici, au Québec, on leur dit de faire comme s'ils étaient encore dans leur ex-pays. C'est la démonstration même de la volonté de "noyer" le peuple québécois dans un "melting pot" nauséabon. On n'a pas a être poli avec ceux qui ne nous repectent pas.