Ce n'est pas la diversité qu'il faut montrer, mais la majorité native.
Voici une grande ligne directrice que les médias devraient observer au nom de la préservation de l'identité collective de chaque peuple, chaque nation.
Montrer autre chose que Nous, cela devient de la basse propagande diversitaire, mondialiste, anti-québécoise, qui vise la déconstruction pure et simple de ce que chaque peuple distinct est et représente, ce qu'il a mis des siècles à affiner et perfectionner.
Lorsqu'il est question de ce montrent les médias, cela inclue les films, la télévision, les téléséries, les téléromans d'ici, les invités des talk-shows, les figurants des publicités, les vox pop aux bulletins de nouvelles, les sujets d'émission d'affaire publiques, les animateurs, chroniqueurs ou météorologues vus quotidiennement. Partout, on cherche à montrer toutes les minorités imaginables avant nous.
La bonne règle à suivre est pourtant si simple: tous les médias ne doivent montrer que la majorité de la population native, c'est-à-dire les 90% de Québécois de souche qui vivent dans leur nation distincte qu'est le Québec.
Le Québec n'est ni un ramassis d'ethnies du tiers-monde sous-civilisé, ni une métisserie de races d'ailleurs, ni un pêle-mêle de cultures diverses, et ne doit le devenir sous aucun prétexte, sous peine de perdre son âme et sa raison d'être.
Cliquez ici pour apprendre quelles sont les principales caractéristiques du peuple québécois qui font que nous sommes à nul autre pareils, tout ce qui nous rend uniques, beaux et précieux.
Et quand bien même les Québécois de souche ne formeraient que 75 ou 50% de la population, c'est encore nous et nous seulement qu'il faudrait montrer dans les médias, puisque c'est notre pays, notre nation qui y vit, notre mode de vie, notre culture, pas celles des autres, pas celles des étrangers qui le resteront toujours, à moins de s'intégrer rapidement et complètement comme c'est leur devoir.
On n'a pas à se rapprocher exagérément des autres cultures, car il est amplement nourrissant de vivre dans la nôtre, et elle suffit à combler amplement tous nos besoins. On peut jeter un coup d'oeil sur les autres cultures par curiosité bien sûr, mais on doit vite revenir à nous-mêmes. On va les visiter en touristes, mais c’est ici qu’on revient chez nous. Nous devons nous considérer comme le centre de notre univers, le point de mire. C'est en approfondissant ce qu'on est qu'on s'améliore, qu'on s'apprécie, qu'on se valorise.
Les médias n'ont jamais à montrer d'étrangers venus d'ailleurs, ou nés ici de seconde génération, apportant avec eux leur mentalité sous-civilisée. Autrement, cela devient de la vile propagande diversitaire mangeuse de chair blanche.
Le faire revient à distordre la réalité que vivent les gens. Les Québécois authentiques ne fréquentent pas de Haïtiens ou d'africains. Ils ne vont pas chez eux. Ils n'invitent pas à la maison des musulmans et des femmes voilées. Ils ne partagent par leur spa avec une famille complète de 12 hindous. Un Québécois de souche ne se promène pas en auto avec 3 Noirs, un sur le siège du passager et 2 autres à l’arrière.
Autre mauvaise note des médias: s'évertuer à montrer des multi-ethniques dans les émissions québécoises présentées dans tout le Québec est une distorsion de la réalité. C'est juste à Montréal qu'il y en a et que les gens en voient en quantité dans les rues. Dans toutes les dizaines de villes et villages du Québec, ça n'existe à peu près pas. Et on n'a pas à leur en montrer, puisque ce n'est tout simplement pas la réalité quotidienne que vivent les gens de chez nous. Nos émissions doivent nous refléter, point. On ne doit pas nous imposer l'image d'une métropole déquébécisée et anglicisée comme modèle de normalité.
C'est uniquement la majorité qui doit se reconnaître en regardant la télé, et elle ne se reconnaît certainement pas dans les minorités beaucoup trop différentes sous tous les plans.
On ne doit pas céder de place à ceux qui cherchent à prendre notre place, par le moyen de l'immigration de remplacement. Il faut qu’ils sentent clairement l'écart qui les sépare de notre monde, et qu'ils ont à combler en s'intégrant.
Les minorités, quant à elles, doivent voir à la télé la vie du monde québécois normal, auquel elles doivent faire l'effort de s'intégrer par imitation et émulation.
Nous représentons le modèle de la société québécoise par excellence, qui en reperdrait si elle se mettait à ressembler aux leurs. Nous représentons l'exemple à suivre, l'univers dont elles doivent tenter par tous les moyens de ressembler et de faire partie. Sinon, qu'on leur fasse comprendre que d'autres provinces les attendent et qu’ils ne nous manqueront pas du tout.
Note: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion.
Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
Aucun commentaire trouvé