L'offre hostile d'Alcoa ravive le débat sur la propriété des entreprises canadiennes
On savait déjà que la politique québécoise serait passionnante au cours des prochains mois. Elle risque de l’être encore plus que tout le monde ne pouvait l’imaginer.
On expliquait hier au Bloc qu'il a décidé de se retirer à cause de l'avance de Pauline Marois. La question, alors, n'est pas de savoir pourquoi il se retire, mais bien pourquoi il s'est lancé!
Si vous voulez avoir accès à une réflexion originale et créatrice sur la question nationale, il vous faudra chercher ailleurs que dans les milieux fédéralistes.
Avec des idées qui se ressemblent, la bataille risque d’avoir l’air plus d’un combat de personnalités.
Comment cette réflexion pourra-t-elle avoir lieu si les députés péquistes choisissent leur camp avant qu'une seule idée n'ait été mise de l'avant?
Le chef bloquiste mesure la défaveur des députés péquistes. Marois soupèse ses appuis.
ANALYSE
Devenir chef du PQ, c'est six années à ramer dans une galère. Jusqu'ici, le seul intéressé à la croisière veut avant tout éviter la noyade à Ottawa.