L'enseignement de l'anglais en sixième année
Une tempête dans un verre d'eau!
À mon sens, les critiques concernant le projet d’enseigner l’anglais de façon intensive en sixième année du primaire suscite de la part de certains ténors frileux une tempête dans un verre d’eau lorsqu’ils décrivent l’intention du gouvernement comme une véritable menace identitaire! Comme l’a écrit Brigitte Breton, éditorialiste au Soleil, dans son article du 3 mars, intitulé «