Les victimes, certains pourraient appeler ça, s’identifier aux perdants, « les loosers » pour un temps aux mains des agresseurs « les bullies », pour un temps.
Contrairement à la majorité au Canada anglophone, notre sympathie va à ceux qui souffrent parce qu’ils sont malmenés par plus forts qu’eux, exemples :
Les Juifs, passés dans les camps et les fours crématoires, sous le régime hitlérien.
Les Palestiniens, dans des camps, sous l’occupation et la colonisation des Israéliens.
Les Indiens qui se sont fait massacrer par les blancs américains, mieux armés qu’eux
Les Tibétains, envahis et annexés, sous les rudes bottes chinoises.
Les Afghans, quand ils étaient sous la religiosité malsaine des Talibans.
Les Afghans, maintenant qu’ils sont sous l’occupation cupide américaine.
Le frêle étudiant à lunettes, en train de manger une volée par le gros bully mal élevé.
Il y a bien d’autres cas mais nous comprenons le principe d’empathie envers le défavorisé ou le maltraité. Pas besoin d’expliquer plus loin.
À cause de notre histoire
Nous, Québécois francophones
nous nous identifions aux victimes
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1 commentaire
Jacques Bergeron Répondre
20 mars 2011Quand aurons-nous fini de nous diminuer? Nous étions Canadiens, devenus Canadiens-francais, et aujourd'hui Québécois francophones,avec une population représentant 80% de la population du Québec. J'avais l'impression qu'une majorité de 80% des habitants d'un pays de «langue française» n'avait pas à se définir comme le font les minorités dans un pays normal.On comprendra dès lors pourquoi des millions de Canadiens-français québécois se définissent comme tel, et non comme le suggère M. Bousquet et plusieurs autres personnes. Laissons ces mots à Mme Louise Beaudoin et aux intellos du Plateau et de Québec, qui, de toute façon, sont le plus grand frein à notre émancipation politique et de celles des peuples.
Rappelons-leur que l'angélisme et l'abaissement n'ont aucunement aidé les peuples dans leurs démarches libératrices. Disons-leur, tout simplement, que ces actions permettent à certains groupes de profiter de leur angélisme pour s'interdire de s'intégrer à nos peuples, ne serait-ce que par notre langue et la culture qui lui est inhérente.
Fierté, fierté; que t'ai-je fait, pour que tu m'abandonnes alors que j'ai tant besoin de toi? D'un Canadien-français Québécois!