La déFête nationale
24 juin 2012
Vous pouvez commenter directement à la suite du vidéo de Marie-Mai: http://www.youtube.com/watch?v=ZTKxJHTJGEs
Une manif le 22 mars
Le moment arrive d'élire un gouvernement majoritaire
L'indépendance du Québec
La Charte reflet de notre identité
Charte des valeurs québécoises
Le peuple est souverain
du 22 mars 2012
Félicitations et critiques constructives
24 juin 2012
Vous pouvez commenter directement à la suite du vidéo de Marie-Mai: http://www.youtube.com/watch?v=ZTKxJHTJGEs
23 mai 2012
Merci Monsieur Claudé d'écrire l'évidence même. J'ai fait plusieurs appels à une coalition sans succès. J'aime votre texte et la mention d'une possible manifestation pour une coalition. J'envoie une copie de votre texte à tous les députés du P.Q. et aux représentants des autres partis. On pourrait même étendre la coalition aux forces vives de la société (syndicats, associations étudiantes, organismes communautaires, etc.).
17 mai 2012
Ce qui me frappe le plus dans ces lettres sont le « Je » du père, comme celui de Charest/Legault, le « Nous » des filles qui nous permettra de nous émanciper et nous libérer, le probable encouragement du père à étudier à l'extérieur de notre Québec, dans des régions anglo-saxonnes, l'aide financière du Québec à une étudiante qui étudie en Ontario, et du même coup, l'aide du Québec aux étrangers anglophones qui étudient dans nos universités anglaises. La situation est plus grave qu'on ne le pense.
Seul le nous, nous donnera le goût à la liberté, à la démocratie et à l'appréciation de notre nation.
Daniel Roy, C.A.
16 mai 2012
Dans le point de presse ci-joint http://www.youtube.com/watch?v=Z-rZowqVET4&feature=youtu.be , Mme Marois dit qu'il faut respecter la loi, mais que les injonctions ne sont pas la solution. Elle dit que si elle était première ministre, il n'y aurait pas de conflit, car cela serait un moratoire et un sommet. Voici un autre vidéo à saveur très électoral et souverainiste: http://www.youtube.com/watch?v=HFEFM4hQ6BE&feature=relmfu Un discours à faire oublier tout ce qui a été dit contre la volonté du Parti Québécois à vouloir faire l'indépendance. Je crois que le moment est très propice à raviver la flamme nationaliste des Québécois. Je crois que c'est le temps de dénoncer le tandem Legault/Charest et de promouvoir la nécessaire indépendance. À qui la rue? À nous la rue!
16 mai 2012
Je suis d'accord avec vous, M. Parent. Il ne devrait pas y avoir d'injonctions. Cependant, avait-elle le choix? Je lui donne le bénéfice du doute. Elle était dans la rue le 22 mars auprès des étudiants. Elle porte le carreau rouge. Elle croit en le «nous» plutôt que le «je». Elle veut aussi un pays du Québec beaucoup plus que l'on pense, si l'on se fit à un récent discours. Elle propose un débat de société sur l'éducation. Elle a dit en entrevue qu'elle serait prête à envisager la gratuité scolaire.
Ne la comparons pas à Legault. Legault est un extrême droite au service de la finance, tout comme Charest.
Que la loi spéciale soit adoptée ou non, il faudra descendre encore dans la rue pour appuyer le mouvement étudiant, et n'oublions pas notre drapeau du Québec et peut-être un bouclier. Car aussi tôt le conflit réglé, on repartira de plus belle pour promouvoir notre pays.
11 mai 2012
En attendant, l'étau se resserre sur nous. La démocratie s'effrite. Le maire de Montréal veut adopter une loi pour restreindre nos droits lors des manifestations. Par exemple, on n'aura plus le droit de se protéger le visage contre les gaz lancés par les policiers. Le gouvernement d'Ottawa veut aussi adopter des lois qui vont dans le même sens. On sera passible de 10 ans de prison pour s'être couvert le visage avant, pendant et après les manifestations. Est-ce qu'on a encore le droit de brûler le drapeau du conquérant? Il est temps de sortir de ce Canada!
23 avril 2012
M. Montmarquette,
Je ne peux pas croire qu’un indépendantiste, car j’imagine que vous en êtes un, pense que l’indépendance n’augmentera pas nos chances d’avoir une terre plus écologique et une baisse des frais de scolarité.
Un pays du Québec prélèvera l’entièreté de nos impôts et sera maître de ses choix politiques. Il aura ainsi une marge de manœuvre plus grande et pourra utiliser les impôts prélevés selon ses priorités, dont la gratuité scolaire et les énergies vertes. Quelques avions militaires de moins et voilà. Un véritable contrôle sur nos ressources naturelles et voilà. En plus, nous serons un chef de file parmi les nations du monde. Nous pourrons faire la morale à Harper et ses sables bitumineux. La communauté internationale nous écoutera, car nous serons un pays.
M. Montmarquette, je crois pouvoir vous bouché un coin, car je vais vous citer un extrait du programme de Québec Solidaire que vous retrouverez à la raison numéro 2634 de l’argumentaire mille et une raisons pour que le Québec devienne un pays :
« En environnement, le Québec pourrait faire une meilleure lutte aux gaz à effet de serre en développement massivement son réseau ferroviaire, par exemple, mais il ne le peut pas, puisque les rails appartiennent au fédéral. De la même façon, puisqu’il s’agit d’une compétence partagée, la capacité du Québec à protéger ses cours d’eau comme le majestueux et stratégique Fleuve St-Laurent est sérieusement limitée. » Québec Solidaire
Je vous invite à lire l’argumentaire à l’adresse suivante : www.1001raisons.com
Daniel Roy, C.A.
17 avril 2012
Car si nous continuons à promouvoir l'indépendance du Québec si doucereusement, nous n'arriverons à rien.
17 avril 2012
Et bien moi je suis totalement d'accord avec la CLASSE. Ce n'est pas leur rôle de lancer un appel au calme. Les actes de vandalisme sont perpétrés par des gens soit, mais pas nécessairement des gens de la CLASSE. De plus, ces gestes sont faits en leurs noms personnels et non pas au nom de la CLASSE. Je suis aussi tout à fait en accord avec le retour du blâme. Les vrais auteurs d'actes de violence sont le gouvernement, les policiers et les juges. Tout comme les Patriotes de 1837-1838, les étudiants ne font que réagir aux actes intimidants et insensibles du gouvernement, des policiers et des juges. Si nous pouvions nous battre autant pour l'indépendance du Québec. Je crois que nous avons une leçon à prendre.
Daniel
17 avril 2012
Je me fais accueillir en anglais au Restaurant Lafleur de Kirkland. La caissière ne me comprend pas lorsque je commande un hotdog vapeur. Et encore, je n'ai même pas dit un chien chaud vapeur. Le cuisinier me sert mon hotdog en anglais. Des gens de maisons de sondage m'appellent et ne parlent pas le français. Lorsque je demande à ce que l'on me questionne en français, on me répond: "Really, you don't speak english? Someone else may call you."
Cela prend une révolution!
14 avril 2012
Le gouvernement Charest est le gouvernement du monde de la finance. Il vend nos ressources pour des bouchées de pain et son allégeance première va au Canada, alors que ce Canada dépense des sommes colossales en armement plutôt que d'accorder des points d'impôts au Québec. Vive le gel des frais de scolarité. Vive même la gratuité scolaire. Vive un gouvernement souverainiste et indépendantiste à Québec. Vive un pays du Québec. P.-S. Ne vous essoufflez pas étudiants, cela fait 40 ans que je milite pour l'indépendance du Québec et cela fait 7 ans que je milite pour la démission de Charest et la destitution de son gouvernement. Votons intelligemment et continuons le combat!
12 avril 2012
En attendant, voici de quoi on nous traite:
Un texte alarmant parmi d'autres écrits par le blogueur Louis Préfontaine:
http://ledernierquebecois.com/2012/04/12/fucking-quebeckers-et-moumouverainistes?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+lelectronlibre+%28LouisPrefontaine.com%29
Fucking Quebeckers et moumouverainistes
Un fait divers peu banal : une dame se présente au cinéma Banque Scotia Parc et demande qu’on s’adresse à elle dans la langue nationale. Elle se fait répondre qu’elle est une « Fucking Quebecker » (Tabarnak de Québécoise). En sommes-nous vraiment rendus là ?
Le mépris dont peuvent faire preuve ces anglophones, qui vivent ici autour d’institutions d’éducation et de santé sur-financées, semble sans limite. On aurait peine à imaginer une situation semblable n’importe où sur cette planète. Seulement au Québec peut-on accepter que des gens nous insultent de cette manière en pleine face. Jamais un habitant de New York n’irait traiter une cliente de « Fucking American ». Jamais un habitant de Berling n’irait traiter une cliente de « Fucking Deutsch ». Jamais un habitant de Rome n’irait traiter une cliente de « Cazzo Italiano ». Jamais. Il y a un respect fondamental. Un respect de base qui signifie à tout le moins qu’on reconnaît habiter à un endroit et qu’on éprouve un certain sentiment d’appartenance à la communauté qui y vit.
Ce simple fait divers détruit allègrement les mythes propagés par une certaine classe de « moumouverainistes », qui considèrent les anglophones vivant au Québec comme des Québécois. Cet anglophone, lui, ne semblait pas se considérer comme tel : ce sont les Québécois qu’il a insultés, et à ses yeux – et aux miens – un Québécois parle français. Sentiment d’appartenance au Québec : moins mille !
Ces moumouverainistes ne comprennent et ne comprendront peut-être jamais qu’il n’y a rien à attendre de la plupart des anglophones. Ce n’est pas en reconnaissant la langue anglaise au Québec, en considérant qu’elle fait partie de notre identité, en la célébrant, qu’on contribue à se faire respecter. Cette manière de fonctionner qui est la nôtre depuis une vingtaine d’années n’a réussi qu’à nous rendre encore plus méprisables aux yeux d’anglophones ayant renoué avec leur vieux complexe de supériorité. On ne peut pas davantage célébrer l’apport de la langue anglaise au Québec qu’un enfant ne peut commémorer une inceste subie pendant toute sa jeunesse. L’anglais n’a été pour nous qu’une langue impériale qu’on nous impose de force depuis un quart de millénaire. Plus on la met sur un piédestal, moins les anglophones ressentent le besoin de nous respecter.
Il est temps d’arrêter de tendre l’autre joue. La dame en question a parlé avec le gérant, qui semblait « compréhensif » selon ses mots. N’exigeons plus la « compréhension ». N’exigeons plus le dialogue. N’exigeons plus des pinottes pendant qu’on arrache notre langue jusqu’au cœur de nos villes.
C’est une guerre linguistique. Il y a deux langues ; une est de trop. Il y a deux cultures ; une est de trop. On ne peut pas davantage faire coexister deux langues et deux cultures de manière équilibrée à long terme qu’on peut trouver le confort assis entre deux chaises. Le plurilinguisme sur un même territoire est et sera toujours temporaire parce que la langue la plus forte finit toujours par écraser la plus faible.
Les anglophones ont compris cela et ils travaillent à l’anglicisation de Montréal, quartier par quartier, hôpital par hôpital, université par université. Pendant qu’ils prennent racine chez nous et foulent de leurs pieds notre histoire et nos valeurs, ils nous regardent nous angliciser bêtement, imposant l’anglais intensif jusqu’à nos enfants, et ils ne peuvent que rire de cette race de ti-counes qui a l’outrecuidance d’exiger qu’on s’adresse à elle dans sa langue.
Le temps des petites tapes dans le dos et de la main tendue aux anglophones est révolu.
Nos moumouverainistes devraient arrêter de servir de paillassons sur lesquels s’essuie la minorité la plus choyée au monde et commencer à s’attaquer aux privilèges indus lui permettant de continuer à se foutre de notre gueule.
Personne ne suit Daniel Roy C.A.. Soyez le premier!