Le marché du travail canadien a de nouveau reculé en août, portant le taux de chômage à 7,1 %, son plus haut niveau depuis mai 2016 en excluant les années marquées par la pandémie. Source: Chômage à la hausse au Canada
En période de chômage accru, de ralentissement économique, de guerre tarifaire américaine, de récession, il serait indiqué que les emplois occupés par des immigrés du tiers-monde soient rendus aux natifs qui en ont besoin, incluant les jeunes qui cherchent un emploi à temps partiel.
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Il n’est pas normal qu’un immigré occupe un emploi dont un natif a besoin. Cela en fait des « voleurs de jobs » dont personne ne veut. Que la réglementation permette qu’un natif puisse reprendre tout emploi occupé par un immigré. Que les nôtres passent avant les autres.
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Les statistiques récentes démontrent que nos jeunes peinent actuellement à se trouver un emploi d’appoint. Qu’on leur accorde les emplois remplis par des immigrés du tiers-monde. Nos jeunes doivent avoir la priorité sur les étrangers, cela tombe sous le sens.
Et pour faciliter la chose, il serait préférable que tous les immigrés demeurent avec un statut temporaire plutôt que celui de résident permanent. Cela facilitera la rétrocession de leur emploi à un natif au besoin, et le retour subséquent dans leur pays d’origine. Cela doit devenir une routine accélérée, une simple formalité expéditive réglée en moins de deux, sans paperasse bureaucratique ou évaluation quelconque. Un Québécois désire l'emploi d'un immigré, il l'obtient automatiquement.
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Ci-dessus: il y a énormément de travailleurs temporaires. Qu'ils cèdent leur emploi aux nôtres dès que nécessaire, et qu'ils retournent chez eux
Il ne faut permettre à aucun immigré de garder pour lui en permanence un emploi qui pourrait être comblé par un natif, car ce serait cautionner la définition d’un voleur d’emploi.
Dès qu’un natif se qualifie pour un emploi occupé par un immigré et désire l’avoir, il pourra le lui reprendre sur simple demande à l'employeur. Les natifs doivent toujours avoir la préséance dans tous les emplois du marché du travail. On ne fait pas venir des immigrés pour que les natifs deviennent chômeurs.
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Il convient de considérer un immigré issu des pays de misère comme un intérimaire, un bouche-trou provisoire, que cela lui plaise ou non. Et dès qu’il peut être remplacé, on le fait. Et qu’il fasse preuve de gratitude pour tout l’argent qu’il aura accumulé ici, avant de retourner dans son pays avec ce qui représente une petite fortune pour s’y établir avantageusement.
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En conclusion, c’est à nous les natifs que doivent revenir de droit et prioritairement tous les emplois disponibles sur le marché du travail.
Cela ferait un bon élément à intégrer à tout programme électoral nationaliste.
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