Tribune libre
Le sort que l'on réserve au français aux Affaires globales du Canada
Quand j'ai débuté ma carrière au Ministère des Affaires étrangères du Canada en 1982, on pouvait compter sur les doigts le nombre d'officiers anglophones capable de fonctionner véritablement en français. C'est peut-être pour cela que mon premier poste était à Paris comme si les français en France métropolitaine avai...