Le français — la dynamique du déclin

Les francophones laissent Montréal s'angliciser



Après avoir passé quelques semaines chez les Français du Canada et apprécié la culture française des régions éloignées du Q...

La réponse de Jean-Roch Villemaire au Droit et à Power Corporation



Je vous invite à prendre connaissance de la réponse du camarade Jean-Roch Villemaire à Pierre Jury, du journal Le Droit, et à Power Corporation. Cette réponse a été publiée partiellement par Le Droit, dans son édition papier du samedi 24 octobre, compte tenu du droit de réplique que les médias sont tenus d'accorder aux personnes qu'ils mettent en cause, comme le précise le Conseil de presse du Québec (Droits et respo...

Inacceptable vous-même!

Réponse à Pierre Jury et à Power Corporation


M. Jury écrit que l’Outaouais vient de vivre un triste épisode. Sans doute, mais je n’en suis pas la cause première. C’est l’irresponsabilité du gouvernement Charest dans le dossier linguistique et le comportement méprisant des West Quebecers qu’il faut blâmer. Mes actes sont aussi la conséquence du musèlement du mouvement indépendantiste par le système fédéral. Nous nous battons contre un empire politique, médiatique et financier. Nos adversaires ont pour eux le gouvernement, la police, l’armée, l’argent et les médias. Il ne nous reste que notre courage.

Vandalisme aux locaux de l'Association régionale des West Quebecers

Jean-Roch Villemaire avoue son méfait



Jean-Roch Villemaire a reconnu hier avoir enlevé les affiches unilingues anglai...

Inacceptable



Gatineau a été le théâtre, cette semaine, de tristes actes de vandalisme électoral. On s'en est pris au local de l'Association régionale des West Quebecers, puis aux affiches unilingues anglaises de Barbara Charlebois, candidate à un poste de conseiller du quartier Lucerne, à Aylmer. De façon surprenante, le coupable s'est avoué: il s'agit de Jean-Roch Villemaire, l'ex-candidat du Parti indépendantiste dans la ...

La solution Curzi : un coup d’épée dans l’eau

Le problème de fond n’est pas migratoire. Il réside dans le statut social et économique trop faible du français.


Luc Plamondon a raison. Le français dégringole au Québec. Et pas rien qu’un peu. Le recul est plus général que ne le laisse entendre la solution mise de l’avant par M. Pierre Curzi.

lettre à Pauline Marois

Un politicien allemand refuse de répondre en anglais



« Bonjour Madame Marois, J'ai trouvé un intéressant extrait vidéo montrant le député allemand Guido Westerwelle qui, lors d'une conférence de presse, refuse poliment de répondre en anglais à la question d'un journaliste de la BBC.

Gatineau

West Quebecers ciblé par des vandales



La pancarte de West Quebecers L'organisme

Des affiches unilingues font pester



La pancarte unilingue anglaise de la candidate dans Lucerne, Barbara Charlebois, ne constitue pa...

Québec

Une publicité en anglais choque des citoyens



www.cyberpresse.ca samedi 9 février 2008 Sébastien Landry - Une affiche publicitaire des magasins H&M sur le mur d'un abribus de la Société de transport de Montréal (STM) arbore les mots Stop and think et Fashion against AIDS. Des citoyens nous ont fait part de leur préoccupation concernant cette publicité apparemment unilingue anglaise. La Charte québécoise d...

Réplique à Pierre Curzi

Institutions en péril

Pouvons-nous demander aux francophones de revenir sur l'île quand la vie s'y passe de plus en plus en anglais?


La [lettre récente de Pierre Curzi au Devoir sur l'anglicisation de Montréal->22205] a retenu mon attention. M. Curzi y souligne le recul du poids démographique de la langue maternelle française, qui a dégringolé de plus de 10 % dans les 40 dernières années. Il associe ce fait principalement au départ de nombreux francophones pour les banlieues et appelle ceux-ci à revenir sur l'île! Si une analyse effectuée à parti...

The Fabulous

Ou l'art de se tirer dans le pied


Puis, j’apprends que les organisateurs de la Corporation du théâtre du palais municipal offrent désormais La Fabuleuse histoire d’un royaume en ANGLAIS. J’étais totalement renversée.

Réplique à Pierre Curzi

Partir, c'est mourir



Plutôt que de supplier les Québécois de revenir en ville, parlez leur donc d’un moratoire sur l’immigration, de l’obligation pour tous de fréquenter les cégeps français, de l’obligation d’apprendre le français, de la nécessité de faire l’indépendance du Québec. Valorisez le français plutôt que de faire la promotion de l’anglais. Et prêchez donc par l’exemple.

Franciser Montréal

La seule façon de franciser Montréal et l’Outaouais, c’est l’indépendance du Québec.


Si le PQ veut perdre son temps à essayer de faire consensus sur tout sauf l’indépendance, comme QS, je n’ai pas l’impression que sa cote va remonter de beaucoup auprès des Québécoises et des Québécois.

La solution pour l’avenir du français à Montréal

suivre l’exemple de Pierre Falardeau en se tenant debout


On peut ne pas aimer certaines vérités ou certaines critiques qu’énonçait Pierre Falardeau, on peut haïr sa façon de parler et même le fait qu’il soit un indépendantiste, mais si seulement nos dirigeants fédéralistes et souverainistes se tenaient debout comme lui, il n’y aurait pas ...

L’État québécois bafoue sa propre loi et anglicise les allophones



Montréal, le 28 septembre 2009 — Le Syndicat de la fonction publique du Québec (SFPQ), le Mouvement Montréal français (MMF), Impératif français et la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (SSJBM) ont tenu une conférence de presse au siège social de la SSJBM, afin de présenter leur plan d’action et de lancer une campagne pour que le gouvernement du Québec respecte sa propre politique linguistique dans ses ministèr...

Services gouvernementaux au Québec

Un plan d'action pour le français



La lutte contre l'anglicisation des services publics québécois a rallié le Syndicat de la fonction publique du Québec (SFPQ) et plusieurs mo...

La récréation est finie, le français doit reprendre sa place!



Des groupes de défense du français et le SFPQ s’unissent contre l’anglicisation des services gouvernementaux du Québec Montréal, le 27 septembre – Le Syndicat de la fonction publique du Québec (SFPQ) se joint au Mouvement Montréal français (MMF), à Impératif français et à la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (SSJBM) afin de lancer une grande offensive pour contrer le bilinguisme institutionnel qui se r...

Le président de l'entreprise Mirik accusé de voies de fait simple et armé

Un inspecteur de l'OQLF rudoyé par un entrepreneur



Louis Denis Ebacher - Un entr...

Anecdote linguistique en cinq temps



Gatineau (secteur Aylmer), le mardi 8 septembre 2009, 7h45. Circuit d'autobus... (Archives, LeDroit) Jean Beaudin - Gatineau ...

au Québec comme en Algérie

Questions de langues



Il est donc légitime que les Québécois agissent pour l’avenir de leur langue mais il est aussi du devoir des nouveaux arrivants et surtout des francophones de se solidariser avec eux dans les initiatives démocratiques prises pour protéger cette langue. Cela, parce que c’est une cause juste et… cerise sur le gâteau : il s’agit aussi sauvegarder l’acquis que représente le privilège de vivre en français… à quelques heures de route de New York : cette mégapole anglophone.

Despite language zealots, Montrealers get along



The Société de transport de Montréal, which runs city buses, has chosen to hide behind narrow legalism, at least for now, in the aftermath of last Friday morning's incident on the 66. A driver ejected 20 passengers from her bus that day after one of them had the temerity to ask her for the time - in English. We hope the STM will be more forthcoming about its policy and practices after its own investigation is...

Les cours en anglais à l'UQAM - Passage obligé ou «défrancisation» ?

Le mandat initial de l'UQAM à sa fondation en 1969 consistait à contribuer au renforcement de la différence québécoise en Amérique du Nord


Lisa-Marie Gervais - L'anglais fera son entrée à l'UQAM à travers six cours offerts aux étudiants à l'École des sciences de la gestion. Un «passage obligé», a dit la ministre de l'Éducation en invoquant la forte compétition à l'échelle nationale et internationale. D'autres y voient le début d'une «défrancisation» de l'université d'un peuple, d'un égarement peu salutaire de son mandat premier. La fin ju...

L'UQAM en anglais : full 1996



Ce n'est pas que l'anglais n'a pas d'utilité dans le monde académique et dans le monde des affaires, mais aux dernières nouvelles, il n'y a pas de pénurie d'anglais au Québec. Tenter de se distinguer en attirant une nouvelle clientèle uniquement avec de l'anglais? Tellement 1996...

Schizophrénie bilingue



«Les Danois sont bilingues avec les autres. Nous sommes les seuls qui sommes bilingues avec nous-mêmes», disait Miron. Nul n'a mieux compris la complexité de notre situation linguistique. Ces mots n'ont pas pris une ride.

«Vers une louisianisation du Québec»?



Pour la ministre de la Culture, Christine St-Pierre, la présence marquée des allophones dans les é...

Bilinguisation de l'UQÀM

Un précédent dangereux



Le Forum jeunesse du Bloc Québécois demande à l'administration de l'Université du Québec à Montréal de revenir sur sa décision, d'annuler les six cours en question pour ensuite les offrir en français. Sinon, son irresponsabilité nous coûtera cher, collectivement.

Les francophones manquent à l'appel



Ces enfants fréquentent l'école de la Petite-Bourgogne, où la langue maternelle la plus commune est le benga...

Do you speak «business»?



ce n'est pas le Québec qui cherche ici à s'«ouvrir» sur le monde. C'est le «monde» qui vient le voir. Qui vient le voir dans ses classes d'université. Et qui vient le voir dans des universités dont la langue est le français...

L'UQAM, une université bilingue ?

Six cours de gestion seront donnés entièrement en anglais cet automne


Pour Mario Beaulieu, président de la SSJB, donner en anglais des cours inscrits au programme contredit la politique linguistique de l'UQAM qui «dit accorder la plus haute importance au français, langue officielle et langue d'expression commune». Selon lui, c'est le sous-financement des universités francophones qui est responsable du faible nombre d'étudiants étrangers.