L’arme biologique n’est pas une chimère
Le Canada possède de nombreuses réserves du virus de la variole
Le gouvernement fédéral ne s’est jamais soucié de ce danger
Malgré l’affirmation rassurante de l’O.M.S. à l’effet que l’humanité ne court plus de risque d’épidémie de variole parce qu’il n’existe plus de réservoirs naturels du virus, il se trouve quelques bonnes raisons de ne pas partager un tel optimisme. Les changements climatiques qui ont cours depuis des années pourraient permettre au virus de la variole de refaire surface et d’amorcer, sans prévenir, une nouvelle carrière de destruction de vies humaines.