La Presse grande castratrice de la révolution tranquille (4e partie)
La pieuvre Desmarais prend le relais
Cet homme d’affaires franco-ontarien était habité par la même urgence que Trudeau. Il était d’avis que, durant les premières années de la Révolution tranquille, madame Berthiaume-Du Tremblay, alors propriétaire de La Presse, avait trop souvent laissé ses journalistes faire, on dirait aujourd’hui, du « copier-coller » avec ce qu’ils avaient vu et entendu à CBFT. Fiction toute proche d’une certaine réalité ...