La langue - un état des lieux

Language office has become too political

The head of the OQLF should be chosen by all parties in the National Assembly


Something is rotten in the state of the Office québécois de la langue française. The chaotic sortie of its five-year report is one more sign of how disturbingly politicized it's become over the years. On Wednesday, OQLF president France Boucher released a 200-page report, 1,000 pages of studies and a mishmash of statistics. Although many statistics confirm data from the 2006 census showing a decline of the Fren...

Rapport de l'Office de la langue française

Le PQ constate un recul du français

«Il y a de nombreuses zones d'ombre dont il faut se préoccuper», dit Pauline Marois


Il n'y a pas de quoi se réjouir en lisant les chiffres dévoilés mercredi par l'Office québécois de la langue française (OQLF), estime Pauline Marois: au contraire, la situation actuelle indique que le français fait du surplace, voire régresse au Québec. Mme Marois a mentionné hier ne pas comprendre la réaction du gouvernement au controversé bilan quinquennal de l'OQLF. La ministre Christine St-Pierre avait qualifié ...

Bilan? Quel bilan?

Le bilan de l'OQLF ne restera pas lettre morte

Le Conseil supérieur de la langue française veut passer à l'action


Québec -- Vexé de n'avoir pas pu prendre connaissance du rapport quinquennal de l'Office québécois de la langue française (OQLF) avant qu'il ne soit rendu public, le président du Conseil supérieur de la langue française (CSLF), Conrad Ouellon, entend bien s'assurer que ce bilan ne restera pas lettre morte. Non seulement le CSLF prendra position mais il fera des recommandations d'ici l'été. M. Ouellon aurait bien aim...

Un portrait juste



Il me paraît important de faire une distinction entre le Bilan sur le suivi de la situation du français au Québec - un texte complet et important, basé sur des études sérieuses et nombreuses - et l'imbroglio qui a entouré la diffusion des fascicules et des études par l'Office québécois de la langue française.

Un effort collectif



Aux données publiées mardi par Statistique Canada sur la langue de travail s'est ajouté hier le rapport quinquennal de l'Office de la langue française sur la situation du français au Québec. Il s'y trouve tant d'information qu'on peut y perdre de vue les grandes tendances si on n'y prend garde. À manipuler avec soin. De ces deux rapports, on peut conclure que tout ne va pas si mal pour le français. Oui, il y a des p...

"France Boucher n'a pas peur de se mouiller, elle pisse dans ses culottes" Forum du Québécois

Langue: un rapport mais pas de conclusion



«Le rapport est là en 200 pages plutôt qu'en un mot pour vous donner tout cet état de l'évolution de la situation linguistique au Québec», s'est contentée de répondre France Boucher quand on lui a demandé de décrire la situation linguistique au Québec. La présidente de l'OQLF s'est réfugiée derrière une conception étriquée du mandat de l'organisme. «Ce n'est pas à l'Office de se substituer à qui que ce soit pour porter un jugement», estime-t-elle.

MacBonnesnouvelles

Sovereignists are experts in finding the worst

Good news for the French language is always played down


Last December, when Statistics Canada released the first data on language from the 2006 census, so-called defenders of French couldn't wait to sound the alarm over them. Within hours, communiqués bemoaning a slight and quite irrelevant decline in the proportion of francophones in one part of the Montreal region (the island itself) were posted on the websites of groups such as the Mouvement Montréal Français...

L'avenir du français en péril à Montréal?



L'avenir du français est compromis dans l'île de Montréal, où la langue de la majorité se trouve confrontée constamment à l'anglais, estime le démographe Marc Termote, qui entrevoit une cassure entre un Québec essentiellement francophone et sa métropole de plus en plus anglophone. Dans son étude de 150 pages qui avait été gardée secrète par l'Office québécois de la langue française, bien qu'elle soit terminée ...

La politique du secret critiquée

Membre de l'Office québécois de la langue, le syndicaliste René Roy désapprouve l'obsession du secret qui a entouré la publication du bilan quinquennal de l'organisme.


Il y a quelques mois, des experts mandatés par l'organisme avaient eu des propos plutôt alarmistes sur l'état du français. «Cela a été critiqué par le Parti libéral et ils ont mis de la pression sur la présidente Boucher», a résumé hier M. Roy. Pour lui, les «spécialistes» du comité de suivi, un groupe qui a été évincé de la préparation du bilan, n'avaient pas un droit de veto sur le bilan que vient ...

Les résultats en dictée piquent du nez



Si le taux de succès des élèves était basé sur la connaissance de l'orthographe, ce serait l'hécatombe dans les écoles secondaires du Québec. Et ce ne serait guère mieux dans les collèges et les universités. Le «bilan» sur l'évolution de la situation linguistique au cours des cinq dernières années, publié hier par l'Office québécois de la langue, montre que les résultats en dictée piquent du nez dans les i...

Controverse et démission à l'OQLF



Tommy Chouinard - L'Office québécois de la langue française rendra public aujourd'hui son très attendu rapport quinquennal sans que son comité de suivi de la situation linguistique ne l'ait approuvé. Le président du comité, Simon Langlois, vient de démissionner, parce qu'il s'oppose à la loi du silence que veut imposer la présidente de l'Office, France Boucher. «Les règlements internes étaien...

Le Québec, une question de différence

c’est tout le Québec qui doit cultiver ses particularités, sa différence, sa personnalité


Quelqu’un écrivait dernièrement dans un journal qu’il fallait en finir avec les problèmes linguistiques au Québec. [Que l’on n’accepte qu’une langue à l’école, l’anglais->12085], et dans quelques années, c’en sera fini des querelles linguistiques, tout le monde parlera l’anglais, ce sera la plus belle unanimité. On croit rêver! Ce n’est pas possible! Déjà que la société actuelle, sous l’effet du développeme...

Réplique

Loin de l'intégrisme

Les démographes sont unanimes à soutenir que la langue d'usage à la maison est, de loin, le meilleur indicateur que l'on puisse utiliser


Le procédé qui consiste à critiquer un rapport sous embargo (ce qui empêche l'auteur dudit rapport de se défendre) et à justifier sa critique en attaquant l'intégrité de l'auteur, est pour le moins révoltant. Si je ne suis pas autorisé à [répondre aux commentaires de M. Marcel Côté->11426] qui portent spécifiquement sur le rapport (rapport qu'il reconnaît lui-même ne pas avoir lu, et pour cause!), j'ai cep...

La chasse aux études

Oh! là, on se calme! Cette histoire d'études non publiées, ce n'est tout de même pas le Watergate.


Pauline Marois a qualifié d'«absolument inimaginable» la décision de l'Office québécois de la langue française (OQLF) de ne pas rendre publiques sur-le-champ les études qui ont servi au bilan de la situation linguistique attendu dans quelques semaines. Selon Mme Marois, l'Office et le gouvernement Charest «manquent de respect à l'égard des citoyens du Québec». Le député adéquiste Gilles Taillon en a rajouté,...

Quel est le problème?

Est-ce uniquement un manque de ressources qui empêche l'OQLF de jouer pleinement son rôle ou le problème est-il inscrit dans sa nature même?


«L'Office de la langue française est débordé», titrait La Presse hier. Le porte-parole de l'OQLF, Gérard Paquette reconnaît qu'il n'a pas les moyens de faire respecter les dispositions de la loi 101, notamment dans les petits commerces de la métropole. À l'entendre, les quatre inspecteurs qui doivent couvrir l'ensemble du Québec sont débordés. Huit postes ont été abolis depuis deux ans. Alors que les plaintes se mul...

Nomination du numéro un d'un lobby anglophone au Conseil supérieur de la langue française

La ministre ne voit pas l'ombre d'un conflit d'intérêts


Québec - La ministre de la Culture et des Communications, Christine St-Pierre, ne voit aucun problème déontologique ou autre à la nomination à titre de membre du Conseil supérieur de la langue française (CSLF) de Sylvia Martin-Laforge, directrice générale et membre du conseil d'administration d'un groupe de pression de la communauté anglophone, le Quebec Community Group Network (QCGN). Le Quebec Community Group N...

Nouvelles nominations au Conseil supérieur de la langue française … ou anglaise ?

Le Mouvement Montréal français considère que certaines nominations sont pour le moins étonnantes


Montréal, le lundi 4 février 2008 — Le 31 janvier dernier, à la fin d’un communiqué laconique sur diverses nominations du Conseil des ministres, qui est passé inaperçu, le gouvernement annonçait la nomination des nouveaux membres du Conseil supérieur de la langue française (CSLF)...

Québec

L'Office de la langue française est débordé



Tommy Chouinard - Des inspecteurs débordés. Des effectifs réduits. Des plaintes qui s'accumulent. Des délais de traitement qui s'allongent. L'Office québécois de la langue française (OQLF) peine à faire respecter la loi 101 surtout dans les petites entreprises. Son directeur des communications, Gérald Paquette, reconnaît que l'OQLF croule sous la tâche et ne peut, faute de moyens, veill...

Loi 101: Charest veut des «ajustements»



Le premier ministre Jean Charest voit d'un bon oeil les suggestions émises par un groupe de travail de son parti qui demande de mieux appliquer la loi 101. À l'entrée du caucus libéral, mardi matin, à Québec, M. Charest a affirmé que les outils dont dispose le Québec pour défendre la langue française, comme la loi 101, sont suffisants, mais a ajouté qu'il reconnaît aussi qu'il faut faire des ajustements...

Loi 101: Charest critiqué par ses troupes



Tommy Chouinard - Le gouvernement Charest se fait reprocher par son propre parti de ne pas en faire assez pour assurer le respect de la loi 101. Le Parti libéral du Québec presse en effet son chef, le premier ministre Jean Charest, d'augmenter le budget de l'Office québécois de la langue française (OQLF), de lui confier plus de pouvoirs, et de hausser de façon «significative» les amendes imposées aux commerces qui...

Un Dow Jones du français?



En somme, face à la question linguistique, il importe de bien distinguer les comportements INDIVIDUELS à court terme de ceux des GROUPES linguistiques à plus long terme. Il faut regretter que la publication récente de données linguistiques portant sur des PERSONNES ait conduit certains analystes à y voir le recul d'une LANGUE, en l'occurrence le français. S'il y a recul du français, c'est autrement qu'il faut le démontrer.

La fin de la paix linguistique?



La situation actuelle, si elle paraît désolante, peut néanmoins être corrigée, non pas par une répression de l'anglais mais par la promotion permanente et systématique du français dans tous les secteurs de la société québécoise.

Jouer au water-polo en patins



Étant donné que nous sommes peut-être en voie de vivre une énième crise linguistique, il serait peut-être utile de rappeler les motivations principales des artisans de la loi 101, adoptée il y a plus de trois décennies. Contrairement à ce que le débat actuel pourrait nous porter à croire, le but principal du grand bouleversement social que fut la loi 101 n'était pas d'épargner les oreilles des plus capri...

Le français dans la tourmente

nous publions ici une portion de la conclusion du document de 1999, signé Marc Termote et Jacques Ledent


Puisque l'immigration internationale est une déterminante fondamentale de l'évolution démolinguistique future de la société québécoise, et qu'elle constitue à toutes fins pratiques le seul domaine d'intervention politique susceptible d'être un tant soit peu efficace, autant utiliser ce levier pour infléchir, ou du moins freiner l'évolution prévisible: en augmentant de façon durable et de manière très prononcée la part des immigrants d'origine latine, on devrait finir par obtenir, du moins à long terme, des résultats positifs pour le groupe francophone, tant en ce qui concerne la langue d'usage privé que pour le français comme langue d'usage public.

Déclin du français au Québec: l'épreuve des faits



Depuis quelques années, je lis, j'entend et je sens qu'une régression du français est inévitable dans le cadre canadien actuel: plusieurs immigrants arrivent au Québec, mais ils arrivent surtout au Canada. L'anglais leur sied mieux et, avec la réduction des cours d'apprentissage du français, ils ne font que baragouiner la langue de Molière si -- et seulement si -- ils sont contraints à le faire. D'une gén...

Jean Charest a raison!

En effet, il n'y a pas de CRISE linguistique au Québec. Mais il y a un sérieux PROBLÈME quant à la situation du français comme langue d'intégration.


En retournant de son voyage dans les vieux pays, Jean Charest a déclaré qu'il n'y a pas de crise linguistique au Québec. Eh bien, le premier ministre a raison! En effet, il n'y a pas de CRISE linguistique au Québec. Mais il y a un sérieux PROBLÈME quant à la situation du français comme langue d'intégration. Depuis le gouvernement Bouchard, il y a aussi une nette volonté politique de ne PAS parler de ce problème...

Qui mène le bal?



Pauline Marois et les groupes de défense de la langue française réclament la démission de la présidente de l'Office de la langue française (OLF), France Boucher, qu'ils accusent d'avoir caché une étude inquiétante pour l'avenir du français à Montréal. Selon l'ADQ, Mme Marois se trompe de cible. La coupable serait plutôt la ministre responsable de la Charte de la langue française, Christine St-Pierre, qui donne l'im...

L'héritage politique de Camille Laurin



[->archives/auteurs/l/laurinc.html] Au moment où des études démo-linguistiques viennent confirmer [la minorisation du français dans la région montréalaise->archives/pol/assimilation/index.html], il convient de se repencher sur la « loi 101 », censée enrayer cette minorisation ? Il faut s’interroger sur le sens profond que cette « charte » pouvait revêti...

Charest, l'homme du parler-vrai, transparent et tout dévoué aux intérêts supérieurs de la nation...

Pas de crise linguistique au Québec, selon Charest



Jean Charest participe à la réunion du Conseil de la fédération, qui réunit tous les premiers ministres des provinces pendant deux jours à Vancouver. (Photo PC) Jocelyne...