Ras-le-bol de ces méandres sans fin
Au même moment où Richard Le Hir affirme dans son dernier éditorial que « le PQ semble croire qu’il a quatre ans devant lui pour se préparer au prochain affrontement électoral. Il se trompe lourdement. Il a trois mois devant lui pour démontrer qu’il a encore sa place sur l’échiquier politique québécois, et six mois pour convaincre les Québécois qu’il constitue la meilleure alternative au gouvernement en place », Bernar...