Ô, magnifique blizzard sur le lac (matapédia) aujourd’hui; il semble que l’hiver rigoureux avec ses volutes tourbillonnantes d’anges diamantés, soit définitivement installé dans nos beaux paysages blancs du septentrion.
Hélas, au vernal honteux qui viendra, on ne se donne même plus la peine de labourer, pour ensemencer la terre et se nourrir; on brûle tout au « roundup»… Quel désastre, évoquant étrangement les ravages conséquents, suite à l’explosion d’une bombe nucléaire.
Après ces brûlures monstrueuses que l’on inflige à nos belles collines et prairies pittoresques, on ensemencera ensuite de la transgénèse totalement incompatible avec les règnes minéral, végétal , gazeux, aquatique et animal, que la terre a pris 4,5 milliards d’années à mettre en place, pour accueillir généreusement la vie sur terre; de l’Amour inconditionnel ; massacré par les cartels économiques de singes gargantuesques dégénérés, qui poursuivent les enfants vigoureux des nations, pour les corrompre, et les soumettre à leurs fantastiques festins pervers, d’horreurs économiques destructeurs.
Il est devenu naturel d’être malade à cinquante ans, il est devenu naturel de boire du chlore, de payer du stationnement devant nos hôpitaux pour aller se faire diagnostiquer, avant de passer à l’épicerie pharmaceutique des bonbons de dépendance pour adultes, qui ne guérissent jamais rien, à part remplir d’argent , les coffres de l’industrie pharmaceutique bidon; a-t-on déjà vu d’ailleurs une seule maladie guérie par ces pilules brevetées à part la pénicilline?
Nos hôpitaux bâtis et payés par nos pères et mères; ceux qui ont jardinés le pays, avant que les pirates économiques dépravés à cravate, viennent tout prendre, en nous prostituant avec la fausse monnaie usuraire cheval de Troie, pour s’emparer gratuitement de tout le pays et nous le revendre ensuite, à grands coups de déficits bidons, qui génèrent des emplois serviles de renflouage d’urgence; souvent d’une platitude infinie pour l’épanouissement personnel des individus, condamnés à ne travailler que pour l’argent déficitaire.
Ils ont poussés l’audace jusqu’à nous revendre notre propre énergie électrique, produite par nos centrales hydroélectrique, bâties et payées par nos prédécesseurs et qu’eux , ces faux aiguilleurs pirates qui s’infiltrent partout sur les conseils d’administration de la nation, nous condamnent ensuite, de payer à perpétuité notre propre électricité, alors que nous devrions tous recevoir des gros chèques, pour notre quote-part patrimoniale, sur les milliards et milliards de watts produits dans nos centrales électriques confisquées par ces bandits qui par ailleurs, vendent notre richesse à rabais, par la porte de derrière, aux étrangers.
C’est pour payer les services nous dit-on; oui, oui, bien sûr, comme nos stationnements autour de nos hôpitaux je présume; la richesse économique démonstrative et efficace d’une nation, ça commence dans le fond de ses poches; condition préalable à tout pouvoir économique réel.
Tout se passe comme s’il fallait que vous rachetiez avec intérêts, l’argent qui tinte et bruisse encore dans vos poches, après surtaxage et coup de planeur par l’impôt pour obtenir donc, le privilège de le remettre dans vos poches une seconde fois, jusqu’à ce qu’il disparaisse par usure sur lui-même; n’allez surtout pas le cacher dans un « reer dans face du monde», ils ont déjà prévu un plan pour le reprendre dans vingt ans. Domptons-nous donc bonyeu , de toujours retomber dans le même piège à ours. C’est cela le mouvement perpétuel de l’abrutissement.
Nous sommes immensément riches, énormément plus que la fausse banque du canada, avec ses faux dollars usuraires de monopoly, à face de non résidant; ce gros parasite britannique, qui s’est fait mettre à la porte par Jeanne d’Arc et a ensuite bifurqué vers nous, en suivant nos traces sur l’océan; pas moyen de s’en débarasser; indécrottable!
Tout ça, a commencé par une poignée d’homos sapiens paresseux et voleurs , embusqués derrière les buissons des nations et qui complotèrent pour s’emparer gratuitement du monde et de ses richesses physiques, intellectuelles et spirituelles avec des symboles fiduciaires contaminés d’usure; un principe de fonctionnement qui s’apparente étrangement d’ailleurs, à la fission nucléaire; les réactions en chaînes.
Donc il suffisait de trouver naturellement ou alors de corrompre des collaborateurs sur le terrain, pour propager l’endoctrinement des nations, à l’argent usuro-fiduciaire; et cela a très bien fonctionné; tellement bien et depuis si longtemps, qu’on ne se souvient même plus à qui appartenait la terre avant l’arrivée de cette bande de paresseux gâtés et criminels, qui assassinent leurs semblables par millions d’exemplaires, quand le livre comptable, ne balance pas assez en leur faveur; même s’ils ont déjà leur gros derrière assis, sur la majeure partie de toutes les richesses du monde, esclaves et immeubles compris.
Quand ces gens-là fêtent entre eux, leur puissance dominatrice sur le monde, ils font des gros feux d’artifice en s’offrant des holocaustes nucléaires Hiro-nagasakien, sur la vie de 230,000 individus en quelques minutes, rien que pour le fun; juste pour wouère comment ça fait, de périr carbonisé, comme une tôsse coincée dans un tôsteur à panneaux des années quarante.
Ah! s’ils avaient eu toute la technologie des communications d’aujourd’hui, au lieu d’un misérable kodak à rouleau; c’eut été un magnifique spectacle sur écran géant, avec des reporters habillés en cosmonautes chromés, préalablement installés sur place, pour nous expliquer dans un festival bien alimenté d’hystérie collective, les dégâts de la réussite complète de l’expérience, qui démontrait la force destructrice du dollar usuraire. Divan de velours et de cuir, coupe de champagne et holocauste nucléaire; voilà comment ces gens-là remercient les humains pour leur collaboration.
Ils ne sont pas humains je crois.
Donc oui, c’est le jour de l’année nouvelle qui vient, pour fêter quoi exactement? À part des vieux souvenirs de familles nombreuses , visite de« la parenté est arrivée», embrassades joyeuses, enfants heureux et turbulents, manteaux de fourrure empilés six pieds d’épais, sur le lit, dans la chambre de pepére et memére; violons , musettes, accordéon, guitare, picochage de bottines sur le plancher, le gros chien gentil dans l’milieu de la place, qui fouette sa queue contre les rameaux décorés du gros sapin de Noël , repas délicieux aux mets régionaux du pays. «Dans l’bon vieux temps ça s’passait d’même». Le jour de l’an ne signifie plus grand-chose pour moi aujourd’hui.
Quand je vois tous ces gens de partout à la télé, fêter hystériquement le nouvel an, sous des tempêtes de feux d’artifice, je me demande bien qu’est-ce qu’ils peuvent bien fêter au juste, à part se faire fourrer encore toute l’année qui viendra avec les dollars usuraires de la banque du canada. Ils fêtent sans but précis on dirait; on leur a dit de fêter, de faire le plus de bruit possible et de se saouler la gueule abondamment; voilà pour le jour de l’an de l’humanité, qui fêtera incessamment sa prochaine année d’incarcération, dans le système économique mondial usuraire.
Par contre la Fête des Rois mages du 6 janvier a beaucoup plus de signification pour moi, parce qu’il y a une belle histoire évoquée derrière; que ce soit vrai ou pas je m’en fiche pas mal, cette journée-là ressemble beaucoup à Noël et j’aime Noël.
Heureuse Année nouvelle tout de même, à tous les Vigiliens et Vigiliennes pour qui, je désire beaucoup de lumière bienfaisante, qui s’allume dans vos cœurs d’espérance, qui marchent vers la maison du peuple au pays des diamants sur la neige; le pays de Sire l’Iris Versicolor majestueux des printemps des cœurs libres.
N’oubliez pas de mettre des binnes ou des pois dans votre gâteau des Rois, vous pourriez être acclamés Roi ou Reine ce soir-là.
Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
4 commentaires
Serge Jean Répondre
3 janvier 2015Merci pour vos commentaires.
Monsieur Ougho la monarchie a bien changée, mais elle est toujours présente je crois; du moins sous une autre forme, pas très agréable non plus.
Serge Jean
Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre
2 janvier 2015On suppose que tous ces mots ne visaient pas à nous faire apprécier la monarchie de la Fêtes des Rois!
Si le stationnement autour des hôpitaux peut paraître scandaleux c'est surtout qu'on ignore combien nous coûte notre système de santé "gratuit"... Le scandale milliardaire du système informatique, l'abus de scan par déficit de formation vraiment médicale, les monopoles pharmaceutiques qui inventent des épidémies de zona pour créer un vaccin... vaccin grippal, inefficace parce que fait de la souche de l'an passé... an passé au budget à écouler pour ne pas se le faire couper: achat d'ultra centrifugeuses pour tout l'monde!... faut que chaque étudiant médecin de famille sache utiliser le microscope électronique dans son stage de labo: distinguer les virus qu'il y aura dans les vaccins... c'est essentiel pour voir un patient aux 5 minutes dans le bureau sans quoi le minisss-docteur pourrait lui couper sa paye, c'est équitable avec le système de Saskatchewan-a-anne... qui m'a pris ma femme!
Arrêtons tout, en 2015! Cessons de payer tribut à l'autre nation et gérons notre propre richesse selon nos propres besoins: éducation raisonnée pour tout le monde, ce qui nous maintiendra en meilleure santé pour mieux travailler et payer nos impôts là où nous le déciderons! Faudra qu'un chef nous dévoile son programme! Le pouvoir pour le peuple, par le peuple: occupons-nous de nos affaires.
André Taillon Répondre
31 décembre 2014Serge JEAN grand poète de notre temps,
Que la paix et l'amour soit avec vous pour 2015
Et que les feux d'artifice commence.
Tous les essais nucléaires dans le monde de 1945 à 1998 …
Essais nucléaires français — Wikipédia...
Conséquences des essais nucléaires en Polynésie - Sortir ...
Israël : une menace nucléaire globale - http://www.france …
La Corée du Nord brandit la menace nucléaire après un ...
Archives de Vigile Répondre
31 décembre 2014Texte rempli du réalisme de Jean Narrache et merveilleux à lire! Bravo! Devant tant de désolation de ne pouvoir s'en sortir, que reste-t-il d'autre à faire que de s'allonger et mourir?