Merci à Pierre Schneider

La libération d'un peuple c'est vivre au soleil

Eviter l'écueil du matérialisme

Tribune libre

Merci beaucoup monsieur Schneider, vous venez de soulever là un des gros écueils, qui empêche notre peuple et tous les autres peuples par ailleurs, de progresser vers leur libération.
L'affranchissement de notre peuple, n'est pas une affaire de syndicat, quoi qu'en pense plusieurs.
Un peuple souverain est beaucoup plus qu'une affaire matérialiste d'avantages sociaux et d'investissements sur la tête de ses semblables,dont la condition première est bien sûr, que les investis demeurent tranquilles et pauvres, pour financer le confort de tous ces investisseurs.
Les paradis artificiels pour quelques-uns sur la tête de la multitude, ce n'est certainement pas ça l'indépendance d'un peuple.
Empêcher la pollennisation croisée libre de la multitude, les privant ainsi de leur capacité naturelle à générer leurs propres fruits, pour servir les intérêts de groupuscules, est un manquement grave d'anti-prospérité contre un peuple.
Il est absolument normal qu'un rucher produise son miel, sa richesse, en autant que l'on ne l'empêche pas d'avoir accès à ses propres pâturages libres, par des actions hégémoniques de groupes d'intérêts divers, interdisant ainsi au final la multitude de sortir du rucher, pour aller butiner eux-mêmes les fleurs de richesse de la nation qui est légitimement gratuite pour tous, sous notre soleil.
Que font les abeilles et autres insectes du même ordre à part butiner les fleurs et produire du miel? Eh bien on peut dire sans exagérer, qu'elles soutiennent la vie sur terre; elle sont carrément le grand catalyseur de toutes les richesses dont la vie a besoin, pour s'exprimer sur cette terre;elles pollennisent le monde!
Qu'est-ce que la richesse véritablement? Qu'est-ce que le partage? Donner sa chemise,ou alors son surplus? Pas du tout, la richesse c'est de ne pas s'opposer au droit légitime de toute créature vivante, y compris l'humain bien sûr donc, la liberté individuelle légitime de mettre en action ses capacités naturelles fondamentales de se nourrir, se vêtir et se loger, sans que cela ne devienne une entreprise pénible et coûteuse de soumission, en énergie de travail injustifiable, induite par des groupes paresseux d'hégémonie divers.
Donc le partage c'est de ne pas empêcher ses semblables de sortir de la ruche, sous prétextes de faux contrôles contrôlés par des gens qui veulent vivre sur la tête des autres; l'asservissement.
Voilà ce qui crée les accueils Bonneau, les nécessiteux, les gens malades, la pauvreté de toute sorte, le manque d'ambition naturelle, l'ignorance, la perversité, la jalousie, la haine,la criminalité, les guerres, la famine, le déssèchement du coeur, la recherche de sensations fortes pour tenter de ressusciter sa propre mortalité vivante, la névrose, les bombes atomiques, les centrales nucléaires, l'interdiction des énergies libres et libératrices, la cupidité, l'arrogance, le mépris institutionnalisé, le manque flagrant d'empathie, finalement des économies destructives d'accaparement de richesses naturelles brutes qui empoisonnent tout le travail naturel de pollinisation de toutes les richesses bienfaisantes pour la terre et ses créatures vivantes; j'arrête il y en a trop.
Tout ça ne se guérit pas avec de l'argent et des investissements bonbons, il est absurdement faux de croire cette fumisterie intsitutionnalisée de colmatage de promesses politiques pour ainsi continuer à soutenir éternellement cette idéologie de fumistes sans-coeur.
Laissons le monde se pollenniser lui-même sous le soleil qui pourtant ce dernier éclaire tous sans condition. Laisser le monde se polloniser lui-même, c'est ça l'indépendance des peuples unis des coeurs aimants et respectueux planétaire.
Bonne odyssée à madame Marois et monsieur Péladeau.


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4 commentaires

  • Serge Jean Répondre

    12 mars 2014

    Merci à vous monsieur Simard, vous êtes très généreux et encourageant.Effectivement j'aime écrire pour notre peuple, même si ce n'est pas toujours d'équerre et gentil. Merci.
    Monsieur Parent, vous avez raison, les abeilles particulièrement sont l'indice planétaire de la santé globale de notre planète, y compris le psychisme de l'homme qui est principalement à l'origine des actions et réactions néfastes sur notre monde; quand les abeilles iront mieux, le monde ira mieux; ça ne trompe pas.
    Serge Jean

  • Archives de Vigile Répondre

    12 mars 2014

    Moi aussi j'aime beaucoup cette comparaison avec les abeilles. Nous savons par contre que les colonies d'abeilles s'éteignent les unes après les autres et que cette mortalité aura un effet dévastateur sur la production agricole. Plus de pollinisation, plus de récoltes. Nous savons aussi que la raison de cette mortalité semble être les pesticides à outrance, surtout les saletés d'OGM à pesticide unique de Monsanto (le Roundup). Si cela continue de cette façon, des populations vont mourir de faim pour enrichir ces prédateurs richissimes. C'est ça aussi le Nouvel Ordre Mondial, la criminalisation du capital où les multinationales peuvent poursuivre des gouvernements qui veulent protéger leur population.
    Ivan Parent

  • Archives de Vigile Répondre

    11 mars 2014


    Bravo,Serge Jean,ce texte est tellement beau.Que j'adore cette comparaison avec les abeilles! Quelle adorable poésie! Ce texte est sublime et divinement bien écrit.Il devrait paraître en première page de tous les quotidiens du Québec .Serge,tu as un don d'écriture à faire danser
    et chavirer les coeurs! Ecris,écris sans cesse,Dieu t'a donne une plume
    à mettre au service de ton pays,le Québec! J'adore te lire,continue!
    Romuald Simard
    Ici,Romuald,la vie est belle!
    Mon pays,le québec,oui!

  • Serge Jean Répondre

    11 mars 2014

    « intsitutionnalisée, polloniser, pollonisation » = fautes d'orthographe, désolé.
    Donc: Institutionnalisée, polliniser & pollinisation. merci.
    Serge Jean