Compte tenu des ressources qui ont été investies, le rejet [de l'ADQ] a été trop massif dans les trois comtés pour ne pas être global.
la réalité demeure que la France n'a plus intérêt à soutenir un combat auquel les Québécois eux-mêmes semblent avoir renoncé
Du moment que le gouvernement fédéral investit dans les célébrations, il peut dire ce qu'il veut, estime la ministre des Relations internationales, Monique Gagnon-Tremblay.
Il suffit que le message soit ferme et clair. Celui que le gouvernement Charest envoie en ce moment est plutôt un message de résignation tranquille.
Les jours de Mme Boucher, comme ceux de Mme St-Pierre, sont sans doute comptés, mais congédier de mauvais acteurs ne suffira pas: il faudrait surtout mettre fin à la farce.