(...) on peut penser qu'un jour ou l'autre, la question du droit du Québec à l'autodétermination se retrouvera elle aussi devant la Cour suprême.
Mme Marois a d'indéniables qualités, dont une vaste expérience de la gestion de l'État, mais c'est bien plus une opératrice qu'une penseuse.
Qui, à Québec ou à Ottawa, avait envie de se rappeler l'accord du lac Meech, conclu le 3 juin 1987?
La question n'est pas de savoir s'il veut rester mais s'il le pourra.