Toute initiative un peu audacieuse dans le dossier linguistique risquait également de provoquer de sérieux éclats.
Ce périple européen avait pour objectif de donner au chef de l'ADQ une image ressemblant davantage à celle d'un chef de gouvernement. Il a plutôt a eu l'air mesquin en accusant ceux qui l'ont aidé d'avoir voulu prendre le crédit de son «succès».