En revanche, il a prouvé qu'il était un homme de devoir, pour ne pas dire de mission. Si les souverainistes se tournaient finalement vers lui, il pourrait difficilement dire non.
(...) M. Harper mise de façon aussi démagogique. Il fait le pari que le Québec profond réagira de la même façon que l'Alberta profond.
Certes, M. Charest n'a de comptes à rendre qu'aux électeurs du Québec, mais M. Harper a toutes les raisons de croire qu'il s'est fait rouler.
Par la Loi sur les langues officielles et la politique du multiculturalisme, le gouvernement fédéral agit comme un contrepoids à la Charte de la langue française.