Du prattouillage comme on l'aime: pas de crise, donc pas de gestion de crise; il n'y a que des mal-parlants français, coupables de déficit de fierté...
Tout ce que produirait cette «nouvelle loi 101», c'est une nouvelle querelle linguistique.
«Ne touchez pas à la loi 101!» Ce slogan, les souverainistes l'ont brandi chaque fois qu'un gouvernement envisageait des amendements à la Charte de la langue française. Cette fois-ci, c'est la chef du Parti québécois qui veut «remettre sur la planche à dessin» la législation linguistique. Et c'est la majorité généralement silencieuse qui devrait exiger qu'on ne touche pas à la loi 101 pour y apporter les «changeme...