Quand on veut se débarrasser d'un chef d'état encombrant...
Jamais depuis la crise de 1929, le monde occidental n’a vécu ce double mouvement tragique d’une régression sociale d’une violence inouïe et d’une perversion de la démocratie aussi patentée. Le dérèglement du monde avec son cortège de malheurs et, sans doute un jour, de violences n’en est qu’à ses prémices.
La politique italienne ne m’a pas particulièrement intéressé jusqu’à maintenant. Les frasques sexuelles de Berlusconi étaient rapportées régulièrement dans nos médias mais pour nous, c’était plus distrayant qu’autre chose. Quand on pense que la population d’ici accorde plus d’importance à une équipe de hockey à Québec que le fait de ses faire littéralement déculotter par les bandits en place, j’ai nommé le gouvernement...