Élection Québec - 8 décembre 2008

The two faces of Quebec Premier Jean Charest

If re-elected, which Charest will it be: the fiscal reformer, or the solid administrator?


Who knew that an ad for certified management accountants could be funny? There's one currently running on French-language television (tinyurl.com/6s9pk5), in which a pair of corporate snake-oil salesmen make a pitch to a skeptical executive. The strategy consists entirely of some of the recent clichés peddled as miracle cures for business ailments: "Reorganization, restructuring ... synergy and convergence...

"Déficit zéro"... vraiment?

Équilibré, le budget du gouvernement du Québec?


Vallières, Martin - Pas vraiment, selon des agences de notation de crédit comme DBRS, une firme torontoise aguerrie en finances publiques. Même que selon sa grille d'analyse, qui cible les besoins financiers nets des gouvernements, Québec s'aligne vers un déficit d'au moins 6,4 milliards pour son exercice 2008-2009. C'est presque deux fois plus que le déficit de 2,7 milliards comptabilisé pa...

La dangereuse folie du pouvoir



Un dernier mot pour Jean Charest: si vous décidez d'en déclencher quand même, je vous propose un accommodement raisonnable. Vous déclenchez les élections un vendredi, le débat des chefs a lieu le samedi et nous votons le lundi. Quatre jours maximum. Plus que ça, la dépression ne sera pas seulement économique, elle sera nerveuse aussi. Lâchez-nous... On a besoin de refaire nos forces. Profitez-en pour ne rien faire, c'est dans ça que vous êtes le meilleur.

L'opportunisme, mauvais conseiller



Texte publié dans Le Devoir du mardi 4 novembre 2008 Si je vous parle d'un premier ministre libéral qui veut déclencher des élections au début d'une crise économique parce qu'il est bien positionné dans les sondages, alors que la population, elle, voudrait qu'il continue de gouverner...

Flash in the pan



Shed no tears for Mario Dumont, the demagogic Action Démocratique du Québec Leader, who appears set to take a pounding in the forthcoming provincial election. It would be a fitting result for a nakedly opportunistic career politician whose party vaulted to Official Opposition status 19 months ago largely by exploiting a wave of xenophobia. But spare a thought for the good that could have come if a more ser...

L'ancien ou le nouveau?



Le plus grand reproche qu'on lui adressait durant le premier mandat était de ne pas être à l'écoute de la population. Depuis le début de la semaine, sa détermination à déclencher des élections coûte que coûte, sans se soucier le moindrement de l'opinion publique, semble traduire la même indifférence.

Charest a son premier discours électoral en poche

Et il en réserve l'exclusivité à la Chambre de commerce de Québec


Pour Mme Marois, un gouvernement de coalition PQ-ADQ n'est pas la voie à suivre pour l'heure. «Ce n'est pas beaucoup dans nos traditions», a-t-elle fait observer. En outre, le PQ et l'ADQ seraient trop différents. «On a des points de vue un peu différents sur certaines orientations sociales et aussi sur l'avenir du Québec.»

Les orphelins du pays



L'année 2008 aura été faste pour le gouvernement de Jean Charest, qui a bénéficié du 400e anniversaire de Québec, de la présence de la délégation canadienne d'athlètes à Pékin, du «Sommet de la franco-économie», du divorce de deux députés adéquistes ainsi que des positions péquistes en matière de bilinguisme et d'ouverture au privé en santé. M. Charest aura aussi, grâce à ses fins stratèges, marqué des points en...

À la recherche de la majorité perdue



Pour Jean Charest, les élections sont comme un verre de lait: une, c'est bien, mais deux, c'est mieux! Le premier ministre doit avoir une confiance inébranlable en lui-même et en son parti pour oser imposer aux Québécois deux élections de suite. De la confiance et de l'audace, Jean Charest en a à revendre. Mais s'il déclenche pour le 8 décembre, oubliez le refrain sur la nécessité d'avoir un "mandat fort" pour aff...

Marre de la démocratie?



Si l'on en croit les sondages et la rumeur publique, une grande majorité de Québécois est furieuse contre Jean Charest parce qu'il songe à tenir des élections générales le 8 décembre prochain. Aussi répandu soit-il, ce mécontentement ne nous semble pas justifié. On dit que la campagne fédérale venant à peine de se terminer, il est inconvenant pour le premier ministre de nous replonger dans le bain électoral. Pour...

Sondage Crop-Le Soleil-La Presse: l'avance libérale fond



Jean-François Cliche - (Québec) À l'heure où les rumeurs d'élections se font de plus en plus persistantes, le Parti libéral du Québec passe sous la barre des 40 % des intentions de vote pour la première fois depuis juin et accuse un retard sérieux sur le Parti québécois chez les francophones, nous apprend le dernier sondage CROP. Sondage Crop-Le Soleil-La Presse: l'avan...

Une «fausse bonne idée»?

Élu il y a à peine un an et demi, le gouvernement Charest détient un mandat qui pourrait durer environ trois ans encore.


Il n'existe aucun motif valable pour justifier des élections précipitées. Seule excuse, peu glorieuse, étroitement partisane et inavouable: M. Charest aimerait exploiter les circonstances pour se donner une majorité qui lui permettrait de traverser confortablement la crise financière dans les prochains mois. Or, justement, des mois, il lui en reste entre trente et trente-six avant le terme de son mandat actuel! On peut présumer que la crise sera résolue d'ici là.

Apologie du cynisme ambiant!

Élections: un bon moment

Cela étant, pourquoi M. Charest se priverait-il de profiter d'un momentum qui lui paraît favorable?


Les rumeurs d'élections ont pris une ampleur nouvelle, hier, avec l'annonce que le premier ministre Jean Charest ne se rendra pas en Chine, la semaine prochaine, tel que prévu. Les propos tenus en conférence de presse par M. Charest ont rendu plus crédible encore le scénario évoqué partout d'un déclenchement le 5 novembre pour un scrutin le 8 décembre. En fin de semaine, Pauline Marois et Mario Dumont ont tous deux ...

L'avantage du terrain



En réalité, les moyens dont dispose un gouvernement provincial pour affronter une crise économique demeurent toutefois limités. M. Charest a tout intérêt à déclencher les élections dans un contexte de crise appréhendée et prétendre qu'il est le plus apte à y faire face, plutôt que d'attendre que la récession frappe de plein fouet et démontre son impuissance.

Charest risque gros



(Québec) Vous pensiez en avoir terminé avec les célébrations du 400e? Jean Charest en a décidé autrement. Il nous prépare une grande soirée électorale pour le 8 décembre. Je sais que l'appétit n'est pas là, mais il faudra vous y faire. Car malgré sa valse-hésitation d'hier, la machine électorale de Jean Charest est lancée. Vous l'imaginez, la semaine prochaine, annoncer qu'après mûre réflexion, il a décidé d'att...

Québec

Des élections provinciales le 8 décembre



Le premier ministre Jean Charest appellerait les Québécois aux urnes le 8 décembre, a rapporté ce midi Radio-Canada. Selon le réseau, M. Charest irait voir le lieutenant-gouverneur Pierre Duchesne, le 5 novembre, afin de lui demander de dissoudre la Chambre. Au cours des dernières semaines, M. Charest a multiplié les signes de son ouverture pour un scrutin automnal. Des sondages effectués durant les dernières...

La peau de chagrin



Encore une fois, les délégués au conseil général de l'ADQ ont dû rentrer chez eux en pestant contre les maudits journalistes qui s'intéressent toujours plus aux problèmes qu'aux solutions. Hier, à Drummondville, ils ont fait un remarquable effort pour démontrer que le parti est solidement uni derrière son chef. D'ailleurs, il est sans doute vrai que les deux défections de la semaine dernière les ont solidarisés dans un...

Assemblée nationale - Le jupon libéral



S'il déclenchait des élections pour le 1er ou le 8 décembre, les deux seules dates possibles cet automne, le premier ministre invoquerait le climat régnant à l'Assemblée nationale et demanderait un mandat fort pour affronter la tempête économique. Mais le jupon dépasse. Il n'y a jamais eu de conditions aussi propices à une victoire libérale, et on veut en profiter.

Mario et sa rossinante

S'il y a une constante dans l'autonomisme de M. Dumont, c'est plutôt dans son refus catégorique d'expliquer comment il forcerait le gouvernement fédéral à négocier et ce qu'il ferait dans l'hypothèse hautement probable où il opposerait une fin de non-recevoir catégorique à ses demandes.


Pour justifier son apostasie, l'ex-député adéquiste d'Iberville, André Riedl, a plaidé que Mario Dumont n'avait aucun plan de match pour le Québec. En réalité, c'est plutôt que ce plan est mis de l'avant ou rangé sur la tablette, selon qu'il sert ou non les intérêts immédiats du chef de l'ADQ. Hier midi, sur les ondes de Radio-Canada, M. Dumont a soutenu avoir été un modèle de constance sur la question de l'autonomi...

L'art d'inclure



Un déclenchement le 5 novembre pour des élections le 8 décembre demeure possible, à la condition que M. Charest renonce à son voyage en Chine en compagnie de quatre de ses homologues provinciaux. Hier, il a déclaré que ce voyage «est toujours prévu», mais il ne donnait pas l'impression qu'une annulation poserait un gros problème.

For Mario Dumont, the news just keeps getting worse

The defection of two ADQ MNAs will further tempt Charest to call an election


Just when you thought things couldn't get any worse for Mario Dumont, they did. Action démocratique's free-fall in the polls was painful enough for Dumont, even before the sudden defection of two of his members of the National Assembly to the governing Liberals. And this on the eve of this weekend's ADQ general council meeting. Premier Jean Charest seems intent on going for Dumont's jugular. It's no coinci...

Charest - les gros sabots

Une crise sur mesure



Bon, évidemment, deux objectifs se cachent dans la colère des libéraux: intimider le nouveau président (ce qui peut toujours servir dans la prochaine session) et semer les graines d'une future crise parlementaire pour éventuellement accuser l'opposition de paralyser le Parlement. Et déclencher des élections, ça va de soi.

La grande illusion



La crise d'indignation que M. Charest a piquée mardi, quand il a dénoncé le «subterfuge» qui a permis à François Gendron d'accéder à la présidence de l'Assemblée nationale, fait plutôt sourire. On peut comprendre la frustration de Jean-Marc Fournier, qui s'est fait avoir comme un néophyte par les partis d'opposition, mais l'élection d'un président issu de l'opposition devrait plutôt être de nature à renforcer l'impression d'une cohabitation.

Assemblée nationale - Que les travaux débutent !

Pas fort comme prétexte!


L'élection d'un nouveau président à l'Assemblée nationale a failli tourner au drame cette semaine, alors que les libéraux s'attendaient à faire élire leur candidat, Yvon Vallières, en prenant appui sur la division du vote de l'opposition. Or, coup de théâtre, cinq minutes avant l'heure limite pour les mises en candidature, lundi, voilà que l'adéquiste Marc Picard annonce qu'il retire sa candidature au profit du péquist...

Québec

Rentrée très houleuse à Québec

Jean Charest dénonce les «subterfuges» ayant mené à l'élection du péquiste François Gendron à la présidence de l'Assemblée nationale


Québec -- Appuyé par les parlementaires des deux partis d'opposition, le député d'Abitibi-Ouest, François Gendron, a été élu, hier, président de l'Assemblée nationale sous les accusations de «subterfuges» et de «bris de la parole donnée» proférées par le premier ministre Jean Charest. Au cours d'une journée houleuse où plusieurs députés libéraux et ministres ont exprimé leur indignation, l'Assemblée nationale a tenu...

François Gendron à la présidence de l'Assemblée nationale

Le vieux frigo de Jean Charest

La fin du ménage à trois?


Confier l’économie du Québec à Jean Charest, c'est comme entreposer des denrées dans un réfrigérateur qui ne fonctionne plus, les aliments qui s’y trouvent risquent de se dégrader rapidement, à l'image de ces fruits de la constitution qui ne seront jamais assez mûrs.

Charest écarte la tenue d'élections cet automne



Tommy Chouinard - (Québec) La réélection d'un gouvernement conservateur minoritaire à Ottawa a refroidi Jean Charest. Après avoir jonglé avec l'idée au cours des dernières semaines, le premier ministre a écarté la tenue d'élections générales au Québec à court terme. «Notre priorité numéro un est l'économie. On n'a pas la tête, le lendemain d'une élection fédérale, à une autre priorité que celle-là. ...

Élections provinciales?

Risqué de déclencher des élections provinciales?


La campagne électorale fédérale n'était pas encore terminée que les observateurs s'interrogeaient déjà sur la possibilité que Jean Charest déclenche des élections provinciales pour tirer profit du regain de popularité de son parti et de sa personne depuis le revers qui l'a réduit à un statut minoritaire l'an dernier. S'il n'y avait pas eu d'élections fédérales, il aurait été très tentant pour lui d'aller aux urn...

Un homme averti...



Même si la chef péquiste a déclaré mardi qu'un Québec souverain aurait été mieux outillé pour faire face à la situation, on peut la croire sur parole quand elle dit n'avoir aucune intention de présenter l'indépendance comme une solution à court terme. Quoi qu'en pense Jacques Parizeau, la souveraineté ne tiendra sans doute pas une grande place dans le discours électoral du PQ.

Québec

Des élections avant Noël? Les libéraux en état d'alerte

La perspective d'une récession douloureuse qui frapperait le Québec le printemps prochain reste un argument lourd en faveur d'élections rapides.


L'organisation libérale provinciale trépigne d'impatience et n'attend plus qu'un signe de Jean Charest pour se lancer en campagne électorale. Mais le premier ministre va attendre les résultats des élections fédérales avant de prendre sa décision. Les associations locales libérales ont le mandat d'identifier des espaces susceptibles d'être transformés en locaux de campagne. Il doivent trouver aussi les responsab...