Droite québécoise - Force Québec

Retour sur l'affaire Force Québec

L’étrange comportement de <i>La Presse</i>

La stratégie du va-tout


Alors, qu’est-ce donc qui peut pousser un instrument de pouvoir comme La Presse à adopter un comportement si étrange qu’il le place en rupture radicale avec sa vocation et son passé ?

Force Québec ne verra jamais le jour

L’aveu d’André Pratte

La balle roule désormais pour le camp indépendantiste


Quand on y pense, l’éditorial d’André Pratte dans La Presse d’hier avait quelque chose de pathétique (...) Ce qu’André Pratte ne semble pas réaliser, ou fait semblant d’ignorer, c’est que le pouvoir d’attraction des Legault et Facal de ce monde est nul chez les indépendantistes à partir du moment où ils renoncent à l’indépendance, ou décident de la mettre temporairement de côté. Pourtant, il n’aurait qu’à regarder Pauline Marois pour comprendre.

Ce serait hilarant si ce n'était pas si lamentable

Les fédéralistes eux-mêmes ne croient pas en cet invraisemblable déni du problème national qu'ils ont été les premiers à professer ! Ils n'ont d'intérêt pour les "vraies affaires", qu'à travers la soumission inconditionnelle au Canada.


Mais, surprise, on apprend sous la plume du lucide André Pratte que les amis fédéralistes approchés se font tirer l'oreille ! (...) Pourquoi des libéraux iraient-ils risquer d'abîmer durablement leur aptitude à jouer le rôle de défenseurs du statu quo, dans une quelconque collaboration périlleuse avec des souverainistes ? (...) En clair, ce à quoi nous assistons, pour l'heure, n'est pas tant la naissance d'une coalition fédéraliste-souverainiste, que le chambranlement inévitable d'un souverainisme transi d'impuissance.

Lulu-le-quitteux, exaspéré par son ombre exagérée...

Nouveau mouvement politique

Legault, Facal et Bouchard exaspérés

« Il n'y a rien de convenu! »


Lucien Bouchard a quant à lui catégoriquement nié des informations publiées hier dans La Presse, par la voie d'une porte-parole: «Il ne joue aucun rôle dans cette démarche, n'a pas l'intention d'y participer et encore moins d'agir comme collecteur de fonds.»

De la place pour un nouveau parti?

Mais avec les déboires du gouvernement Charest, la cote de popularité de Pauline Marois qui plafonne malgré tout, le vote latent des abstentionnistes de 2008 et le cynisme ambiant, M. Guay concède que l'électorat devient plus volatil et imprévisible.


Qui écoperait ?

Le PQ étant ce qu'il est, on ne peut pas exclure totalement l'hypothèse d'une fuite en avant, mais ce qui est survenu au congrès de juin 2005 démontre à quel point l'immaturité politique peut saboter une conjoncture favorable.


Le Parti québécois n'en menait pas large en ce samedi de novembre 2001, alors que le conseil national se réunissait à Québec. Ce jour-là, un sondage accordait une dizaine de points d'avance au Parti libéral du Québec et le premier ministre Bernard Landry déplorait les «esprits chagrins» qui, faute de «conditions gagnantes», lui conseillaient de mettre le projet souverainiste en veilleuse pour améliorer ses chances...

Quelques questions pour François Legault



Groupe de réflexion, club de désenchantés, mouvement ou parti politique, retour des «lucides», on ne sait trop, mais, malgré le peu de détails dont on dispose, la rencontre organisée il y a quelques semaines par François Legault a été suffisamment prise au sérieux pour faire les manchettes. C'est surtout au Parti québécois que l'initiative a fait le plus de vagues et cela se comprend: malgré le désenchantement p...

Une coalition problématique



L'idée que des souverainistes et des fédéralistes pourraient gérer ensemble le Québec en faisant l'impasse sur la question nationale, comme s'apprête à le proposer un groupe de politiciens de centre droit mené par François Legault et inspiré par Lucien Bouchard, cette idée donc a quelque chose d'assez plaisant sur papier, mais il s'agit, jusqu'à preuve du contraire, d'un rêve parfaitement utopique. Il est vrai ...

Un parti de "tourneux de page", au service des ploutocrates québécois.

Un véritable parti national



Il y a des moments dans l'histoire d'un peuple où l'on doit pouvoir s'élever au-dessus des vieilles querelles pour affronter, ensemble, les problèmes graves qui menacent son avenir. Le Québec en est là.

"mettre de côté des enjeux constitutionnels" et croire qu'on les a mis "derrière soi"... Une "nouvelle troisième voie", pour un enième échec.

Une nouvelle troisième voie

il y a de l'espace pour un conservatisme fiscal plus affirmé


Je crois donc depuis longtemps que la porte de sortie consisterait à mettre de côté des enjeux constitutionnels et de consacrer, ensemble, souverainistes et fédéralistes, toutes les énergies à renforcer le Québec, à développer son économie, sa culture, ses institutions, comme l'éducation.

Création d’emploi et chômage

Le monde à l’envers !

C’est le modèle de développement du Québec qui fait toute la différence


Alors que les États-Unis annoncent aujourd’hui une perte de 95 000 emplois en Septembre http://www.cnbc.com/id/39571732 , le Québec affiche une insolente performance de 41 000 nouveaux emplois créés au cours de la même période ! http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2010/10/20101008-071410.html C’est du jamais vu. C’est le monde à l’envers ! Et quant aux esprits chagrins comme MM. Facal et Legault et ...

PQ - une déviation honteuse

C’est là une constante historique, le Canada s’est toujours torché sur les Québécois qu’ils veulent indistincts.


Alors, si ces souverainistes stériles ont quitté le navire, ça ne peut qu’être une bonne nouvelle. Le PQ devra secouer ses puces pour se réconcilier avec les militants trahis depuis le départ de Parizeau.

Force Québec ou Capitulation Québec?

Facal nous est très utile: il expose clairement le manque de leadership de Pauline Marois et l’incapacité du PQ à faire la seule chose pour laquelle il devrait exister: l’indépendance du Québec.


c’est encore une fois la même rengaine: une nouvelle bande de joyeux politiciens s’improvisent guérilleros du grand capital pour lutter contre « l’immobilisme ». Les visages changent, mais le but demeure: en finir avec une social-démocratie qui empêche les mieux-nantis de s’en mettre plein les poches.

Cap sur l’indépendance !

Diversion n’est pas division

Gare à l’unanimisme béat


Éviter le « piège de la division » ne signifie pas sombrer dans l’unanimisme béat. En tout temps, une critique qui permet d’exposer une insuffisance dans notre camp est légitime, car elle signale une dérive susceptible de nous éloigner de notre objectif. Comme vient de nous le rappeler si opportunément Gilbert Paquette, une seule chose compte : maintenir le « Cap sur l’indépendance ! ».

L'espagnol

Réponse à Joseph Facal


Joseph Facal nous parle maintenant de Churchill. Il y aurait, dit-il, une différence entre la guerre et la paix pour expliquer que Churchill ait pu promettre un jour du sang et des larmes. Que cela ne serait plus possible, l’électorat ne le permettant plus. Mais alors, quelle différence y avait-il entre le régime de Vichy, la France pacifiée mais tourmentée, qui refoulait, retournait aux franquistes, qui abando...

Force Québec, matière à réflexion

le nom du parti en anglais sera Power (Corp.) Quebec


Les membres du PQ sont appelés les péquistes, les membres du BQ sont appelés les bloquistes, comment appellerons-nous les membres du FQ ? Le concours est ouvert.

Les "en-attendantistes"



Le phénomène est fascinant. D'un côté, les sondages indiquent depuis des mois que le PQ remporterait une victoire majoritaire s'il y avait élection. De l'autre, Pauline Marois est de plus en plus critiquée pour son incapacité à "profiter" de la déconfiture du gouvernement Charest... Pis encore pour elle, une rumeur persiste quant à la création d'un mouvement politique ou groupe de réflexion de centre-droit par ...

Droite-Gauche souverainiste

J'ai envie de hurler !

Mais alors, si la posture péquiste défendue par Lisée et celle, typiquement bouchardienne, prônée par Facal, sont à peu près semblables, pourquoi y a-t-il débat ?


Des frictions, donc, entre souverainistes de tendances différentes, le souverainisme étant par ailleurs cette doctrine qui consiste à remettre l'indépendance à plus tard tout en sollicitant le vote indépendantiste. Joli tableau.

Un nouveau parti?



Michel.Hébert - Ça n’arrive pas souvent au Québec. En France, on voit ça régulièrement, des intellectuels de la même chapelle qui se crêpent le chignon poliment mais ici, c’est plus rare. On assiste en ce moment à un de ces précieux moments impliquant les experts parmi les mieux cotés de la chronique politique québécoise: Jean-François Lisée, ancien compagnon d’armes de Lucien Bouchard, maintenant c...

Facal II réplique à Lisée II en citant Lisée I — Vous nous suivez ?



Je vous parlais la semaine dernière [sur ce blogue de l’évolution (fulgurante) de la pensée de Joseph Facal->30932] au sujet de la souveraineté.

Un conte de fées

M. Fortier n'est cependant pas le seul à penser que la question nationale accapare trop d'énergie au Québec et qu'elle empêche de s'attaquer aux «vrais problèmes»


La proposition de Michael Fortier — tenir un référendum sur la souveraineté à date fixe tous les 15 ans — aura au moins servi à une chose: on peut maintenant exclure son nom de la liste des prétendants à la succession de Jean Charest. Lors de la dernière campagne fédérale, son panneau-réclame en forme de chèque, qui prétendait chiffrer le coût du Bloc québécois depuis sa fondation, avait déjà laissé planer u...

Réponse à Michael Fortier

Évacuons plutôt le Parti libéral



Dans une [lettre publiée dans La Presse du 30 septembre, Michael Fortier->31037] préconise la tenue d'un référendum tous les 15 ans et plaide «l'évacuation de la question nationale», ce qui permettrait, selon lui, de remanier l'échiquier politique, d'en finir avec «l'homogénéité politique». L'idée de congeler la tenue d'un référendum pour 15 ans est irrespectueuse de la démocratie. Il y aura un référendum quand...

Le cauchemar

Non, ce qui donne des cauchemars aux péquistes ces jours-ci, c'est plutôt la perspective d'une résurgence de la «troisième voie» parrainée par Lucien Bouchard.


Six mois plus tard, la souveraineté demeure «évidemment souhaitable», mais M. Facal constate que la population n'est pas disposée à l'envisager. Conséquemment, «il nous faut ouvrir un nouveau cycle politique», dit-il.

Legault, Facal, Dumont

Les Lulus

Halte là, Lucien revient... par derrière!


Dans la morosité ambiante actuelle les Lulus représentent la luminosité au bout du tunnel. À moins qu’ils ne soient le prolongement du tunnel… Mais ne soyons pas négatifs. Les Lulus ont le droit de s’amuser tout en nous amusant. Tout le monde aura compris que chaque roi a ses fous et que Lucien a droit aux siens.

Question référendaire à tous les 15 ans: "Voulez-vous demeurer dans la fédération canadian?" - Un Non serait un OUI... Et puis, rien de grave, on se ravisera dans 15 ans!

Un référendum tous les 15 ans



Le PQ reprendra le pouvoir un jour et, malgré la timidité de certaines de ses affirmations sur le sujet, tiendra un référendum. Puisque nous en aurons un autre, et un autre après celui-là, la sagesse nous commande de le reconnaître et les encadrer dès maintenant.

Un référendum à tous les 15 ans, obligatoire et à date fixe

Michael Fortier met la table pour le parti des Legault et Facal

C’est comme si les difficultés du Québec - et surtout les solutions à y apporter - n’avaient aucun rapport avec la situation du Québec au sein de la fédération canadienne.


Comment réunir au sein d'un nouveau parti politique des fédéralistes et des souverainistes, sans qu'aucune des deux familles politiques n'abdiquent ses positions? Ce qui semblait jusqu'à maintenant être la quadrature du cercle n'était après tout que le cube Rubik s'il faut en croire Michael Fortier. Dans le journal La Presse du 30 septembre, il propose sa solution : Un référendum statutaire tous les 15 ans ! En...

Facal vs Facal. Je prends pour le premier !



C’est donc avec tristesse, mais sans le moindre irrespect, que j’apprends aujourd’hui qu’il quitte, au moins temporairement, non l’idéal, mais l’effort souverainiste.

L’aventure « héllénico-calendiste » de Facal et Legault

L’art de ramer à contre-courant

Si le leadership de Pauline Marois apparaissait plus solide, c&#8217;est le genre de chose qui ne se produirait pas.


L’art de ramer à contre-courant Si le leadership de Pauline Marois apparaissait plus solide, c’est le genre de chose qui ne se produirait pas Il ne manquait plus que ça ! La rumeur voudrait en effet que Joseph Facal et François Legault forment un nouveau parti nationaliste de droite http://www.vigile.net/Un-nouveau-parti-avec-Legault-et sous l’oeil bienveillant de Lucien Bouchard pour d’abord mettre de l’ordre...

Un débat à suivre !

Un nouveau parti avec Legault et Facal, appuyés par Bouchard ?



L’éventuel nouveau parti serait nationaliste, voire souverainiste, mais reporterait aux calendes grecques toute démarche vers l’indépendance du Québec, le temps de mettre de l’ordre dans les finances publiques, l’éducation et la santé.

Le déclin tranquille



Je quitte inquiet pour l'avenir du Québec, inquiet parce que je sens que le Québec s'est engagé dans un déclin tranquille, et ce...