(Lettre ouverte aux membres du Conseil supérieur de la langue française)
Les propos de Nicolas Sarkozy, à savoir que le monde n'a pas besoin de division mais plutôt d'unité, visaient-ils le Québec?
Des relations plus étroites avec Ottawa ne l'empêcheraient pas de s'atteler à la reconnaissance internationale du Québec dès lors qu'un hypothétique Oui emporterait l'adhésion d'une majorité de Québécois.