"c’est précisément l’opposition entre souverainistes et autonomistes qui empêche le Québec de trouver une solution"
Le Parti québécois va-t-il abandonner le français au profit du québécois?
Ce projet tient en trois mots: ouvrir le Québec. L'ouvrir par sa grande porte du Nord, l'ouvrir au reste du Canada, l'ouvrir à l'Europe.
Si le débat était moins partisan, Pauline Marois moins crinquée et Jean Charest moins jovialiste, on découvrirait que les libéraux et les péquistes modernes sont en fait du même côté, assez d'accord avec les mêmes grandes orientations, valoriser l'enseignement du français, mieux intégrer les immigrants, accélérer la francisation des PME.
Canadian, go home !!
Plusieurs des recrues sont anglophones et les disputes avec les citoyens francophones de la région sont nombreuses.
Bien qu'il ait obtenu samedi l'appui de 97,2% des militants libéraux, Jean Charest n'est pas pressé de tenir des élections.
Flagornerie jusqu'à l'indécence - Quand Charest se fait poète et nous parle de "sa vision", il faut se méfier...
Le Ducon de la Presse - comme si le nationalisme québécois n'avait pas évolué depuis Groulx.
"La Commission Boucar pour un raccommodement raisonnable, petit traité sur l'intégration"
Première tempête idéologique pour Mme Marois qu’on accuse de vouloir mettre la souveraineté au rancart. C’est un peu comme si on accusait Miss Météo de faire pleuvoir.