Strophes pour se souvenir
La nuit du 15 février
Nos Patriotes, mais aussi les "Résistants étrangers de 1944"
« Pleurez, oiseaux de février… au sinistre frisson des choses »… (À sa manière, Émile Nelligan décrivait la dureté de notre hiver, la lassitude de nos corps secoués par le froid, l’omniprésence de la neige, le manque de soleil.) Ces mots ont servi à une fondation de charité pour nous rappeler que le « petit mois » ne doit pas nous amener à nous refermer sur nous-mêmes mais au contraire à nous rappeler ...